Atallah Marc

Atallah Marc

Coordonnées Curriculum Recherches Enseignements Publications
e-mail : Marc.Atallah@unil.ch
Page personnelle : http://www.unil.ch/fra/marcatallah
ORCID record : Orcid icon https://orcid.org/0000-0003-2105-4545

Faculté des lettres

Centre interdisciplinaire d'étude des littératures
Fonction(s): Maître d'enseignement et de recherche

Section de français
Fonction(s): Maître d'enseignement et de recherche

Section de français
Quartier UNIL-Chamberonne
Bâtiment Anthropole 3180
CH - 1015 Lausanne
Téléphone: 021 692 47 41

Marc Atallah

Mots clés

Humanisme
Littérature contemporaine
Littératures conjecturales
Merveilleux/Fantasy
Philosophie
Philosophie de la technique
Récits de voyage
Science-fiction
Technosciences
Théorie des genres
Théorie des mondes possibles
Théories de la fiction
Utopie/Dystopie

Prix et distinctions scientifiques

Prix de faculté pour ma thèse de doctorat (Faculté des Lettres, Université de Lausanne) 2009

Prix de Faculté pour ma licence ès Lettres (Faculté des Lettres, Université de Lausanne) 2002


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Ouvrages

2020

Les dystopies du numérique

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La Parade monstrueuse. La naissance des monstres modernes

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2019

Mondes (im)parfaits. Autour des « Cités obscures » de Schuiten et Peeters

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Le jeu

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2017

Je suis ton père. Origines et héritages d’une saga intergalactique

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Le Posthumain

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2016

BD – US : les comics vus par l’Europe
Marc Atallah & Alain Boillat (dir.), Gollion : infolio, 2016.

Cet ouvrage réunit des spécialistes de l’étude de la bande dessinée qui proposent une série d’éclairages sur la manière dont les productions culturelles européennes ont diffusé, exploité, reformulé ou détourné l’imaginaire et le langage des comics venus d’outre- Atlantique. L’approche se veut comparative, interculturelle et intermédiale : les chercheurs abordent autant Edgar P. Jacobs ou les récents albums de Serge Lehman que les séries TV de science-fiction britanniques ou les films d’Alain Resnais, et interroge la réception et les réappropriations de motifs et genres populaires situés au croisement d’influences et de références diverses. La production américaine est ainsi discutée dans toute sa richesse, des super-héros à l’underground, à travers des (re)lectures proposées en Europe.
Les comics américains, qu’ils soient mainstream ou underground, influencent sans conteste la BD, la télévision et le cinéma européens, mais par le biais de réappropriations et de détournements analysés ici avec brio par des amoureux du « 9e art ».

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Pop Art, mon Amour. L’Art de Tadanori Yokoo et du manga

Quel point commun existe-t-il entre Tadanori Yokoo – un des plus grands artistes contemporains japonais, lauréat du Praemium Imperiale 2015 – et les mangas de science-fiction ? Apparemment, aucun. Et pourtant, outre le fait que les noms de Yokoo et des mangaka soient peu connus en Europe – Osamu Tezuka est encore relativement inconnu ici, alors qu’il est surnommé le « dieu du manga » au Japon –, les affiches sérigraphiées du premier procèdent d’un mode de création sensiblement identique à ces bandes dessinées tant adulées de nos jours. Les posters de Yokoo et les mangas d’après-guerre s’inspirent de motifs au départ non japonais (Pop Art, science-fiction), les font entrer en résonance avec l’esthétique nippone (emakimono, ukiyo-e) et créent des œuvres hybrides qui, à leur tour, influenceront les travaux des artistes ou dessinateurs européens et américains.
Publié à l’occasion de l’exposition éponyme à la Maison d’Ailleurs d’Yverdon-les-Bains, cet ouvrage richement illustré fait état de ce dialogue original entre les œuvres de Yokoo et les pages originales de Tezuka, et montre de manière spectaculaire la façon dont les créateurs japonais ont hybridé les traditions nippones et les tendances occidentales afin de réinventer une identité culturelle mis à mal après la Seconde Guerre mondiale. Un ouvrage explosif et fascinant, qui passionnera non seulement les amateurs de mangas et de Pop Art, mais également tous ceux désireux de faire connaissance avec deux figures majeures de la création artistique japonaise.

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Les Mangas
Marc Atallah (dir.), David Javet & Matthieu Pellet, Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2016.

Ce volume donne la parole à deux chercheurs de l’Université de Lausanne – David Javet et Matthieu Pellet –, spécialistes de la culture populaire japonaise et de l’esthétique manga. Plus précisément, les trois textes composant ce volume réfléchissent à l’importance après-guerre d’Osamu Tezuka – père d’Astro le petit robot –, à l’histoire et aux thématiques phares du manga de science-fiction, et à la réception de la culture japonaise en Europe dès la fin des années 1970. Cet ouvrage est une véritable introduction pour comprendre les enjeux du manga, ses origines, ses thèmes et sa symbolique – dans un monde éditorial saturé de bandes dessinées mais étrangement pauvre en essais.

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L’art de la science-fiction
Marc Atallah, Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2016.

Cet ouvrage réfléchit à l’aide de nombreux exemples à la dimension esthétique de la science-fiction, afin de montrer, d’une part, que celle-ci est avant tout un art du langage (textuel ou iconique) qui, d’autre part, est en mesure de créer une langue, c’est-à-dire de proposer une alternative à notre utilisation quotidienne du langage. La thèse sous-jacente à ce volume est de rappeler que l’art a toujours été une manière d’offrir à la condition humaine des « images » pour lui permettre de se penser, voire de se réinventer. La science-fiction possède une ambition similaire dans le sens où ses récits sont avant tout l’articulation d’un « lexique » – cristallisé autour de la conjecture – et d’une « grammaire » (le scénario) qui, lorsque cette articulation est novatrice, nous invite à mieux saisir l’aliénation subie par notre identité dans le monde moderne.

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2015

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Portrait-Robot ou Les multiples visages de l’humanité
Marc Atallah (dir.), Lausanne / Yverdon-les-Bains : Editions Favre / Maison d’Ailleurs, 2015.

Dignes héritiers d’une tradition symbolique que l’on peut faire remonter à l’Antiquité gréco-romaine, les robots doivent originellement leur nom à l’écrivain Karel Čapek et à sa pièce de théâtre R. U. R. (1920). Depuis lors, ces êtres de métal – initialement des « travailleurs-esclaves » décidant de se rebeller contre leurs « employeurs-maîtres » – ont à tel point contaminé les récits de science-fiction qu’il semble aujourd’hui difficile de ne pas pouvoir en citer quelques modèles illustres. Cet ouvrage rappelle que le robot, dans les productions fictionnelles, doit avant tout être considéré comme une métaphore de l’être humain tel qu’il se définit à l’aune de certains modèles paradigmatiques – et, donc, comme une figure dont le visage nous renseigne, au cours du temps, sur l’image que nous nous faisons du nôtre.

   
   

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Les Robots
Marc Atallah (dir.), Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2015.

Cet ouvrage se concentre sur les robots et montre que ces entités, à l’origine organique, ont très vite épousé les grands paradigmes scientifiques du moment pour se muer en êtres mécaniques, positroniques ou cybernétiques. Par le biais des trois essais qui composent ce recueil, la Maison d’Ailleurs a souhaité se pencher sur nos cousins de métal tels qu’ils ont été rêvés par les auteurs de science-fiction et ce, en vue d’étudier les symboliques associées aux robots ainsi que les portraits – apologétiques ou angoissés – qu’ils n’ont eu de cesse de brosser d’une humanité plus que jamais réfléchie par ses métaphores.

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6. Couv_LesRobots.jpg

Portrait-Robot ou Les multiples visages de l’humanité

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2014

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Pouvoirs des jeux vidéo. Des pratiques aux discours
Marc Atallah, Nicolas Nova, Christian Indermühle & Matthieu Pellet (dir.), Gollion : infolio, 2014.

À quels imaginaires sociaux les jeux vidéo renvoient-ils ? Quelle convergence entre jeu vidéo et cinéma ? Quel statut esthétique est-il assigné au jeu vidéo lorsque celui-ci est exposé ? Quels liens entre la création d’univers vidéoludiques et le soft-power du gouvernement japonais ? Comment l’espace de jeu est-il inscrit dans les interfaces ludiques ? Comment jeu et hors-jeu se mêlent-ils dans l’expérience ludique ? Le game designer peut-il se faire poète ? Cet ouvrage tente de répondre à ces questions – miroir réfléchissant la complexité d’un objet culturel à l’importance croissante.

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De H. P. Lovecraft à J. R. R. Tolkien
Marc Atallah (dir.) et Francis Valéry, Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2014.

Ce volume propose trois essais consacrés à deux écrivains apparus au cours des années 1930 : H.P. Lovecraft (1890-1937) et J. R. R. Tolkien (1892-1973). En dépit d’un manque de considération en leur temps, leurs œuvres de fiction sont devenues de véritables icônes de la culture populaire occidentale. Celle de Lovecraft s’est révélée fondatrice d’une mythologie moderne : le Mythe de Cthulhu, repris par de nombreux écrivains. Tandis que les récits de la Terre du Milieu de J. R. R. Tolkien sont à l’origine de la renaissance populaire de la fantasy. Les deux premiers essais retracent de manière factuelle les itinéraires littéraires et éditoriaux, ainsi que la réception critique, de ces œuvres, de leur origine à aujourd’hui. Un troisième essai montre en quoi ces œuvres sont profondément originales et novatrices, puis s’interroge sur leur changement de statut, dès lors que les nouveaux médias (jeu de rôle, informatique ludique, cinéma numérique) leur eurent donné une nouvelle visibilité.

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Star Wars, un monde en expansion
Marc Atallah (dir.) et Alain Boillat, Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2014.

Cet ouvrage part du constat selon lequel l’univers créé originellement par George Lucas constitue l’une des franchises cinématographiques les plus lucratives de tous les temps : l’étude de ses ramifications à travers différents produits dérivés – comic books, romans, jouets, jeux vidéo, etc. – est riche d’enseignements sur la culture de masse actuelle. Afin d’examiner comment se joue (dans un sens à la fois théorique et ludique), à travers l’expansion d’un monde inauguré par la première trilogie produite par Lucas, l’exploitation des pouvoirs de la fiction et du récit, l’auteur de ce volume discute en particulier un type d’artefacts très souvent ignoré dans les études sur le cinéma : les jouets. Envisagés en tant que composantes et prolongements d’un univers, figurines Kenner et modèles LEGO® passent enfin sous la loupe d’un théoricien des médias.

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Superman, Batman & Co… mics !
Marc Atallah (dir.), Paris : Urban Comics (Urban Books), 2014.

Cet ouvrage, fruit du partenariat exceptionnel entre Urban Comics – éditeur parisien spécialisé dans l’édition de comic books et représentant du géant américain DC Comics en France – et la Maison d’Ailleurs, s’articule autour des œuvres d’art de l’exposition « Superman, Batman & Co… mics ! » : on pourra y contempler les travaux des cinq artistes de Superman, Batman & Co… 
mics ! accompagnés d’essais originaux.

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Les Super-héros
Marc Atallah (dir.), Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2014.

Les super-héros ont investi nos grands – et petits – écrans : l’industrie hollywoodienne semble en effet intéressée, depuis une décennie, à nous raconter les exploits de Spider-Man, Superman ou Batman. Pourtant, et malgré cette somme de récits renversants, nous ne connaissons pas grand-chose à la tradition dans laquelle s’inscrivent ces personnages hauts en couleur et qui, depuis les années 1930, a produit quantité de super-héros mais aussi, et surtout, quantité d’histoires d’individus en prise avec leurs pouvoirs – ou ceux des autres. C’est à cette tradition méconnue et aux courants symboliques souterrains qui l’informent, qu’est dédié cet ouvrage : la Maison d’Ailleurs continue ainsi son travail de réflexion sur notre imaginaire contemporain et offre quatre nouveaux essais – ainsi qu’une sélection iconographique – pour mieux saisir ce que nous disent, aujourd’hui, les super-héros.

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2013

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Le Post-apocalyptique
Marc Atallah (dir.), Chambéry/Yverdon-les-Bains : ActuSF/Maison d’Ailleurs (Les Collections de la Maison d’Ailleurs), 2013.

Le post-apocalyptique est un genre relativement connu, principalement grâce aux innombrables productions cinématographiques hollywoodiennes qui sont apparues sur nos écrans cette dernière décennie. Or, il serait terriblement réducteur d’imaginer que seuls Le Jour d’après, La Route, 2012 et autre After Earth sont représentatifs d’une tradition aussi ancienne que diversifiée. Afin de mieux saisir la spécificité et la richesse de cette esthétique, la Maison d’Ailleurs a confié à quatre spécialistes le soin de proposer des points de vue inédits sur ces récits faisant la part belle aux zones et, surtout, à la manière dont les humains tentent de reconstruire une société digne de ce nom après la catastrophe. Quatre essais, une sélection iconographique exceptionnelle : le post-apocalyptique dévoile ses secrets.

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Souvenirs du Futur. Les Miroirs de la Maison d’Ailleurs
Marc Atallah, Frédéric Jaccaud & Francis Valéry (dir.), Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, 2013.

Les quelques 100’000 objets qui constituent les collections de la Maison d’Ailleurs, musée de la science-fiction, de l’utopie et des voyages extraordinaires basé à Yverdon-les-Bains en Suisse, sont d’une richesse inégalée en Europe. Paradoxalement, ils n’ont été que peu présentés jusqu’à maintenant. Publié à l’occasion du vernissage de l’exposition permanente « Souvenirs du Futur », cet ouvrage propose un point de vue inédit sur une culture à la fois répandue et méconnue : celle de la science-fiction et de ses origines. Constitué de neuf textes et de neuf encarts thématiques, très richement illustré, ce recueil offre une succession de regards singuliers sur l’histoire de l’imaginaire conjectural. L’utopie, les voyages imaginaires, la vulgarisation, le merveilleux scientifique, les pulps, la bande dessinée ou le cinéma constituent autant de perspectives, qui, éclairées par une iconographie exceptionnelle, convient le lecteur à un voyage dans son propre imaginaire. Les genres conjecturaux ont en effet toujours proposé de réfléchir le présent par un détour vers l’ailleurs. Cet ouvrage sans équivalent intéressera tant les amateurs et les curieux, que les connaisseurs ou les novices.

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2011

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L’Homme-machine et ses avatars. Entre science, philosophie et littérature. XVIIe-XXIe siècles
Marc Atallah & Dominique Kunz Westerhoff (dir.), Paris : Vrin (Pour Demain), 2011.

Dans le contexte de la révolution galiléenne, Descartes a fondé une anthropologie mécaniste qui n’a cessé de se redéfinir au fil des découvertes scientifiques et des controverses qu’elle a suscitées : après l’Homme-Machine, est venu l’Homme Électrique, puis l’Homme Cybernétique. Ces avatars signalent la constante réévaluation, la mesure toujours reprise d’une métaphore originaire, à la fois féconde et insuffisante, heuristique et limitée. Au carrefour des sciences humaines, des sciences et de l’ingénierie, il s’agit d’historiciser cette construction culturelle au long cours, jusqu’à la robotique bio-inspirée et à l’hybridation contemporaine du corps et de la technologie.
L’approche littéraire en éclaire, elle, toute la dimension imaginaire : de l’automate parleur au cyborg, l’innovation scientifique est indissociable, sinon indiscernable, d’une saillance de la fiction. Fable philosophique, poésie scientifique, roman libertin, conte fantastique, théâtre satirique, roman social ou science-fiction : ces différents genres font ainsi valoir la compétence de la littérature pour penser la culture de l’homme-machine, et pour faire émerger le mécanique, le non-mécanique, ou l’anti-mécanique, comme autant de procès d’humanisation opérés par la pratique symbolique.

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