Un nouveau retour à la Terre dans la littérature romande ?
Depuis une dizaine d’années, un tournant écopoétique semble avoir (re)gagné la littérature romande. De Fanny Desarzens à Blaise Hofmann et de Matthieu Ruf à Anne-Sophie Subilia, nombre de jeunes auteuricexs contemporainexs s’évertuent à raconter les enjeux écologiques, souvent en s’inspirant des sciences de la nature. Quels sont les nouveaux imaginaires écologiques qu’iels façonnent aujourd’hui ? Peut-on parler d’une littérature engagée de ce côté-ci du Léman ?
Modération et introduction
Colin Pahlisch, chargé de projet au Centre de compétences en durabilité (CCD) et à l’ORIA – UNIL
Intervenant·e·s
En partenariat avec l’Observatoire sur les récits et imaginaires de l’Anthropocène (ORIA) – UNIL