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Localiser, mémoriser, écrire : esquisse pour une théorie géographique des mémoires

Dans le cadre du séminaire « Penser (avec et par) le tourisme »

Publié le 07 sept. 2017
Lieu
Géopolis, 3799
Format
Présentiel

La thématique des mémoires fait partie du champ des sciences sociales et humaines, de la philosophie à la sociologie, de l’anthropologie à l’histoire et la géographie. Et la Convention du patrimoine mondial de 1972 n’a fait que rendre encore plus visible, encore plus actif aussi, un phénomène qui l’était déjà fortement.

Si les sciences sociales et humaines ont pu se définir par le sujet de leurs études, ce mode de partition semble, aujourd’hui, de moins en moins pertinent. De fait, les mémoires n’appartiennent à personne. En revanche, chaque science peut se singulariser par des manières d’entrer : on pourra considérer des entrées philosophiques dans le champ des mémoires, des entrées anthropologiques, sociologiques, etc.

Dans cette perspective, quelle peut être une des singularités de l’entrée géographique dans cette relation spécifique qui articule, dynamiquement, mémoires et espaces ? Comment permet-elle de distinguer différentes formes de mémorisations ? Différentes formes de processus ? Et comment, à partir de l’exemple des mémoires, réfléchir à la production des espaces habités géographiques et à leurs dynamiques, en l’occurrence comme processus sociaux ?

Le conférencier

Olivier LAZZAROTTI est professeur de géographie à l’Université de Picardie-Jules-Verne.


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