Institut de psychologie

Giulia Spagnulo, doctorante au FADO, récompensée par une bourse LIVES
Giulia Spagnulo fait partie des six lauréat·es 2025 de la bourse Young Scholar Grant du Centre LIVES.

Macro-Level Climate and Minority Voice: How Indigenous Multiculturalism Relates to...
Within the framework of the NCCR project, new publication of Jessica Gale, Prof Eva Green (UnilaPS, Institut de psychologie) and researchers in European Journal of Social Psychology

SWISS100 : la première étude nationale sur les centenaires suisses
La Suisse figure parmi les pays avec la plus haute espérance de vie dans le monde. Aujourd’hui, les personnes très âgées, y compris les centenaires, représentent le groupe démographique à la croissance la plus rapide. Mais que sait-on de nos aîné·es? Sur leur bien-être, leur mode de vie ou encore les défis rencontrés au quotidien? Pour en savoir plus sur ce sujet encore méconnu, une étude nationale a recueilli les témoignages de 446 centenaires de 2020 à 2024.

A qualitative and quantitative study of radical pro-environmental social change as...
New article of UnilaPS researchers and others in British Journal of Social Psychology

Detecting collective cheating culture in academic contexts
New publication of Cinzia Zanetti, Première Assistante, et Professeur Fabrizio Butera (Institut de psychologie, UnilaPS), in Journal of Experimental Educational Psychology

« Nos mémoires collectives » : le nouveau programme du Laboratoire Histoire et Cité
Une nouvelle série de rencontres - conférences, projections, ateliers et visites guidées - explorent comment la mémoire collective influence notre compréhension du monde.

Se reconvertir malgré soi: des adultes en lutte pour leur survie professionnelle
Si les témoignages d’adultes en reconversion vers des professions plus alignées avec leurs valeurs se multiplient dans les médias, ceux des personnes contraintes de changer de métier restent peu documentés. Pourtant, en Suisse, de nombreux adultes font face à une reconversion professionnelle involontaire en raison de problèmes de santé, de diplômes non reconnus après une migration ou d’une pénurie d’emplois dans leur domaine. Depuis 2020, une recherche menée à l’Université de Lausanne explore ces parcours difficiles pour mieux accompagner les personnes concernées et prévenir leur précarisation.