Cette recherche comparative envisage une micro-histoire du divorce, du point de vue des conjoint·es et des acteurs·trices judiciaires. Deux moments sont analysés : la « transition du divorce » (1960-1990), et la situation en 2020, au terme d’une série de réformes. Nous posons l’hypothèse que la transition du divorce s’inscrit plutôt dans une continuité que dans une rupture : elle resterait marquée par des asymétries sociales et de genre et par la continuité des cultures judiciaires cantonales. Notre source principale est constituée des dossiers de divorce (archives judicaires), qui permettent la micro-analyse prévue. Ils feront l’objet d’une analyse quantitative et qualitative, afin de saisir les changements des rapports de genre dans les motivations du divorce, l’impact des cultures institutionnelles cantonales, les effets des jugements sur les inégalités sociales et de genre. Pour l’année 2020, l’analyse sera complétée par des entretiens avec des juges des deux cantons. L’équipe de recherche est formée par Marta Roca i Escoda, Fiona Frendli, Aurore Müller et Anne-Françoise Praz.
Cette recherche a été conçue par Marta Roca i Escoda avec Catherine Fussinger. A travers 20 entretiens semi-directifs, cette petite recherche vise à pouvoir donner une image des réflexions, expériences et besoins des couples de femmes qui ont été amenées à se rendre dans une clinique de fertilité à l’étranger pour réaliser leur projet de maternité et dont certains souhaiteront peut-être aussi pouvoir concevoir un nouvel enfant dans une clinique de fertilité en Suisse.
Cette recherche est soutenue par NCCR LIVES (IP5) et Marta Roca i Escoda y est engagée comme chercheuse associée. Dir. Eric Widmer en collaboration avec l’Association faîtière Familles-arc-en-ciel. Cette recherche a pour objectif d’inclure les réalités des familles arc-en-ciel dans les enquêtes en cours portant sur les relations familiales dans le cadre de la macro enquête MOSAiCH qui porte sur différents thèmes sociaux et vise à connaître les attitudes et les comportements de la population suisse vis-à-vis des institutions politiques et sociales. Elle s’intéresse également à des sujets d’actualité, comme l’environnement, l’identité nationale, la famille ou le travail.
Cette recherche, soutenue par le FNS, est dirigée par Eléonore Lépinard et a démarré en 2020.
Cette recherche, soutenue par le FNS, est dirigée par Sébastien Chauvin et a démarré en 2022.
Cette recherche, dirigée par Sébastien Chauvin au niveau de l'Université de Lausanne, entre dans un projet Européen Horizon. Elle a démarré en 2022.
Cette recherche, soutenue par le FNS, est dirigée par Madeleine Pape et a démarré en 2022.