Groupes interdisciplinaires thématiques

Genre, sexualité et intersectionnalité

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A propos

Le GIT Genre, sexualité et intersectionnalité regroupe les chercheur.es issu.es de différentes disciplines - sociologie, droit, science politique, études de genre, anthropologie -, travaillant sur ces thématiques à l'UNIL et souhaitant développer des réflexions et des recherches collaboratives dans une approche interdisciplinaire "droit et société". Le GIT a pour ambition d'explorer les liens complexes entre le droit et les transformations sociales qui structurent nos sociétés contemporaines. Il mobilise une approche intersectionnelle qui prend en compte l'articulation entre le genre, la sexualité et d'autres rapports sociaux tels que la race, la migration, la classe, le handicap, la religion ou l'âge.

Le GIT a également vocation à établir des liens et des collaborations avec les institutions et acteur.rices sociaux et politiques qui contribuent à façonner les normes en matière de genre, de sexualité et d'intersectionnalité. Il favorise des collaborations avec les autres structures de recherche sur ces thématiques à l'UNIL (PlaGe, CEG...) et valorise les recherches en cours par le biais de séminaires et événements scientifiques, afin de créer des synergies entre chercheur.es intéressé.es par les processus sociaux, les enjeux juridiques et les conséquences des politiques dans le monde de la recherche et au-delà.

Toute personne membre de la communauté UNIL peut adhérer au GIT en faisant parvenir à la coordinatrice de l'IDES (ides@unil.ch) sa demande. Les personnes extérieures à l'UNIL peuvent également devenir membres du GIT en tant que membres associé.es.

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Institutions et justiciables

Membres
A propos

Ce groupe thématique réunit des chercheurs et chercheuses qui mènent des travaux et réflexions centrés sur les notions d’« institutions » et de « justiciables ». Ces notions, envisagées dans leur acception la plus large, englobent l’ensemble des interactions entre les structures institutionnelles et celles et ceux qui s’y trouvent soumis ou en dépendent. À travers une approche résolument pluri/inter-disciplinaire, le groupe explore et questionne les pratiques et les dispositifs qui jalonnent les différents espaces où s’exercent les modalités d’application du droit. Ces espaces, qu’ils soient formels ou informels, sont envisagés comme des lieux où se jouent, se reproduisent, se contestent et se reconfigurent les rapports de pouvoir et de savoir. Ils reflètent et incarnent ainsi les dynamiques complexes qui structurent les interactions entre les « institutions » et les  « justiciables ».

Les activités du groupe visent à mettre en lumière, interpeller et analyser ces dynamiques sociales, politiques et organisationnelles tout en explorant leurs dimensions symboliques et matérielles. 

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Migration, citoyenneté et frontières

Membres
A propos

Les questions de migration, de citoyenneté et de frontières sont centrales pour comprendre comment les individus et les groupes sont construits, comment ils sont marginalisés, stigmatisés, hiérarchisés ou exclus. Le Groupe “Migration, citoyenneté et frontières” s’intéresse à la manière dont se configure un accès inégalitaire au droit et à la justice, qu’il s’agisse de l’accès aux tribunaux ou aux droits sociaux, politiques, économiques et culturels, ou encore du traitement juridique et judiciaire différencié des personnes migrantes. De même, il s’intéresse aux enjeux transversaux liés à la mobilité tant géographique que physique ou sociale.

   Migration, citoyenneté et frontières s’entendent ici au sens large. La notion de migration renvoie aux questions de mobilité, d’exil, d’immigration, d’asile et conduit en ce sens à interroger notamment les catégorisations raciales, ethniques, religieuses, nationales ou de genre. La notion de citoyenneté renvoie non seulement aux droits civiques et politiques, mais elle inclut aussi plus largement le statut juridique, les droits sociaux ainsi que les questions de distinction et de discrimination en lien avec ces statuts. Enfin, la notion de frontière est à prendre au sens large, et polysémique, se matérialisant partout où un contrôle sélectif s’exerce, et pouvant désigner ses manifestations sociales et spatiales liées aux frontières internes et externes des États, aux contrôles qui caractérisent ces espaces, et aux déterminants différenciant les expériences en leurs seins. En cela, au-delà des termes de migration, citoyenneté et frontières, ce groupe thématique porte aussi sur les questions liées aux discriminations et au racisme.

Ce groupe entend réunir des chercheuses et des chercheurs qui travaillent sur ces différentes thématiques en s’intéressant à la fabrique du droit, à ses usages ou à sa mise en œuvre (droit en action). Il développe des recherches et des réflexions critiques sur le rôle des règles juridiques et des institutions dans la régulation de la migration, dans la définition de la citoyenneté, ou dans la production des frontières, mais également la manière dont les questions de migration, de citoyenneté et de frontières configurent les rapports que les individus entretiennent entre elleux ainsi qu’avec le droit.

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Régulation, technologie et société

Membres
Activités
A propos

Vision Statement  

The working group RTS (Regulation, Technology, and Society) brings together researchers interested in investigating, analyzing and understanding how digital societies are evolving and the role that regulation and technology plays within that phenomenon. It connects academia with civil society members and practitioners interested in advancing the state of the art.  

Regulation is understood in its decentred perspective, meaning all activities designed to influence behaviour regardless of source and intent. Technology covers a broad range of modern technologies (e.g., information and communication technologies, neurotechnologies, nanotechnologies, social robotics) that justify regulatory attention but can also deploy a regulatory effect (regulatory technology) on people, communities and organisations. Digital society covers the phenomenon of the mediation of social interactions through information technologies (i.e., Internet, social media, AI) and thereby transforming the “individual self”, organizations, and communities.  

Mission and Working Areas  

We work in interdisciplinary teams, principally in the social sciences, humanities, and computing, and are open to different epistemological perspectives. We aim to analyse the impact of technologies on society, the ways and processes by which these technologies are deployed, and how public authorities, private organisations, and communities deal with and manage these technologies. We also strive to promote and guide public decision-making.   

We focus on research related to the following topics, but not exhaustively: regulation and governance of technologies, artificial intelligence, data governance, automated state, digital state, e-government, e-justicia, privacy, transparency, social media, platform governance, platform labour, digital vulnerabilities, digital rights, discrimination, and eHealth. 

Members and Meetings 

  • People interested in RTS working group should contact the IDES Scientific Coordinator. 

  • We meet every last Friday over lunch, likely at Geopolis, to discuss papers, ongoing projects, book reviews, and make connections.  

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