Membres associés
Nom | Fonction(s) |
Aeby Gaëlle | Chargée de cours, UNIFR / collaboratrice de recherche, UNIGE |
Benz Pierre | Docteur en sociologie |
Bolano Danilo | Senior researcher, NCCR LIVES |
Cavalli Stefano | Maître assistant, Centre Interfacultaire de Gérontologie, UNIGE |
Clémence Alain | Professeur honoraire |
Dasoki Nora | Chargée de recherche, FORS |
Falcon Julie | Collaboratrice scientifique externe |
Fasel Hunziker Rachel |
Coordinatrice de recherche, LIVES |
Fassa Recrosio Farinaz | Professeure ordinaire |
Gash Vanessa | Professeure invitée |
Giudici Francesco | Dr. soc., responsable de service, USTAT |
Hanappi Doris | Chercheuse Senior SNF |
Hummel Cornelia | Maître d'enseignement et de recherche, Département de sociologie, UNIGE |
Korber Maïlys | Collaboratrice scientifique externe |
Kradolfer Morales Sabine | Chargée de projet égalité des chances et diversité, HES·SO |
Labouvie-Vief Gisela | Professeure, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, UNIGE |
Lefeuvre Nicky | Professeure, Faculté des sciences sociales et politiques |
Leko Minja | Doctorante |
Leresche Jean-Philippe | Directeur, Observatoire, Science, Politique, Société |
Levy René | Professeur honoraire |
Luisier Victorin | Chercheur FNS junior |
Lutz Georg | Directeur, FORS |
Maggiori Christian | Chercheur FNS senior 1ère année |
Marquis Lionel | Maître d'enseignement et de recherche, Institut d'études politiques et internationales |
Mc Kenzie Tsering | Doctorante FNS |
Oris Michel | Professeur ordinaire, Département d'histoire économique, UNIGE |
Passy Florence | Professeure associée, Institut d'études politiques et internationales |
Rauschenbach Mina |
Post-doctoral researcher, Leuven institute for criminology (LINC) |
Roch Pierre-Alain | Public Policy Evaluator, Cour des comptes de Genève |
Roux Patricia | Professeure associée |
Ryser Valérie-Anne | Cheffe de projet de recherche, FORS |
Sánchez Núria | Professeure assistante, Unine |
Spini Dario | Professeur ordinaire |
Staerklé Christian | Professeur associée |
Turner-Zwinkels Felicity | Chercheure FNS senior |
Vacchiano Mattia | Post-doc Researcher, NCCR LIVES |
Valarino Isabel | Chargée de missions, Bureau de l'égalité |
Vandenplas Caroline | Post-Doctorante, KU Leuven, Belgique |
Wernli Boris | Chef de section de recherche, FORS |
Widmer Eric | Professeur ordinaire, Département de sociologie, UNIGE |
Secrétariat
Nom | Adresse |
Chappuis Anne-Sophie | Bâtiment Géopolis, bureau 5105 |
Enseignant·e·s
André Berchtold
André Berchtold est professeur associé de statistique à l’Institut des Sciences Sociales de l’Université de Lausanne. Il donne différents cours de méthodes quantitatives et de statistique, ainsi qu’un séminaire consacré aux consommations de substances, dans les programmes de bachelor et de master en sciences sociales. Il est titulaire d’un doctorat en sciences sociales et économiques, mention économétrie et statistique, de l’Université de Genève. Il est aussi membre du Pôle de Recherche National LIVES : Surmonter la vulnérabilité, perspective du parcours de vie.
Intérêts de recherche André Berchtold est un expert en statistique appliquée aux sciences sociales et il développe de nouvelles méthodes pour le traitement des données manquantes et pour la modélisation de données longitudinales au moyen de modèles markoviens. Il s’intéresse également à la collecte de données au moyen de calendriers de vie. Au-delà des développements théoriques, il a aussi publié de nombreux articles dans le domaine de la santé concernant plus particulièrement la santé des adolescents et la consommation de substances.
Laura Bernardi
Laura Bernardi est professeur titulaire de sociologie et de démographie du parcours de vie au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) de l'Université de Lausanne. Elle est membre du Conseil national de la recherche du FNS et de l'Académie suisse des sciences humaines et sociales. Elle est également co-éditrice en chef de la revue Advances in Life Course Research (https://www.journals.elsevier.com/advances-in-life-course-research) et présidente du Conseil scientifique de l'Institut national d’études démographiques (INED). Elle enseigne sur la migration, les politiques familiales et sociales et la théorie du parcours de vie. Avant d'arriver à Lausanne, elle a travaillé au Max Planck Institute for Demographic Research, à l'Université Brown et à l'Université de Rome.
Laura Bernardi a beaucoup travaillé sur la fertilité et la diversité familiale dans une perspective de parcours de vie. Elle a dirigé et participé à plusieurs projets sur la fécondité et la famille, à l'échelle nationale et internationale, en étudiant les choix en matière de reproduction, les relations intergénérationnelles, les normes familiales, les structures familiales et leurs conséquences sur le bien-être et la vulnérabilité.
Felix Bühlmann
Felix Bühlmann a fait des études en sociologie et en sciences politiques à l’Université de Genève, à la Humboldt Universität Berlin et à l’Université de Lausanne. Après son doctorat à l’Université de Lausanne en 2008, il était post-doctoral fellow à l’Université de Manchester et dirigeait le Rapport social suisse à FORS. Il a été nommé professeur assistant (2011) et professeur associé (2017) à la Faculté des Sciences sociales et politiques de l’Université de Lausanne.
Felix Bühlmann s’intéresse particulièrement à la sociologie des parcours de vie et à la sociologie économique. Ses recherches portent sur les carrières professionnelles, les carrières de vulnérabilité les élites suisses et internationales. Il a notamment publié dans le British Journal of Sociology, European Sociological Review, Sociology et Economy and Society.
Page personnelle
Jacques-Antoine Gauthier
Jacques-Antoine Gauthier est sociologue et maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne. Il enseigne l’introduction à la recherche en sciences sociale au niveau bachelor et une approche quantitative de la perspective du parcours de vie au niveau master. Avant son engagement à l’Unil, il a travaillé comme collaborateur scientifique successivement à l’Office fédéral de la statistique, à l’École polytechnique fédérale de Lausanne et à Addiction suisse. Il a été Honorary Fellow de l’Université d’Édimbourg de 2017 à 2018.
Intérêts de recherche Ses recherches portent sur la logique de construction des trajectoires de vie des femmes et des hommes notamment lors du passage de l’école à l’emploi, de la transition à la parentalité ou à la retraite. Il s’interroge en particulier sur la manière dont les institutions sociales, comme l’école, la famille ou le marché du travail anticipent et reproduisent les systèmes de rôles et de valeurs à la base d’un certain type de rapports sociaux de sexe. Son travail s’inscrit dans la perspective du parcours de vie qui montre que les parcours individuels sont multidimensionnels, fortement interdépendants et sensibles à la temporalité des événements, ainsi qu’au contexte dans lesquels ils s’inscrivent.
Lavinia Gianettoni est psychologue sociale. Ses recherches portent sur les inégalités de genre et leur imbrication avec d’autres rapports sociaux hiérarchiques (de classe, sexualité, nationalité, religion, etc.). Dans le cadre de ses recherches récentes elle a plus précisément analysé la manière dont le système de genre, institutionnel et idéologique, influence les aspirations professionnelles des jeunes en fin de scolarité. Actuellement elle dirige une recherche longitudinale visant à évaluer comment le vécu de discriminations sexistes ou homophobes impacte les trajectoires de formation professionnelle et les risques de rupture ou décrochage qui peuvent en découler.
Page personnelle
Michael Grätz
Michael Grätz rejoint l’institut de sciences sociales d’UNIL comme maître assistant Ambizione FNS en septembre 2019. Il est aussi chercheur à l´Institut suédois de la recherche sociale (SOFI) à l’Université de Stockholm.
Michael Grätz a obtenu son doctorat à l’Institut Universitaire Européen (EUI) à Florence en 2015. Ensuite il a travaillé à Nuffield College, Université d´Oxford, à l´Université de Bielefeld et à l´Université de Stockholm. Sa recherche a été publiée dans des revues internationales comme Demography, European Sociological Review et Sociological Science.
Michael Grätz est un sociologue qui travaille sur le processus de transmission des inégalités sociales à travers les générations. À l’UNIL, il va se concentrer sur son projet Ambizone, financé pour quatre ans par le FNS. Ce projet traite des effets des comportements démographiques sur les transmissions des inégalités sociales à travers les générations.
Page personnelle
René Knüsel
René Knüsel est professeur ordinaire de sociologie des politiques sociales et des problèmes sociaux depuis 2004. Après une formation en sciences politiques à l’Université de Lausanne, il a enseigné, entre autres, les politiques sociales à l’Université de Fribourg ; il a collaboré avec différentes écoles de la santé et du social en Suisse romande. Parmi les approches sur lesquelles il s’est appuyé figure la recherche-intervention.
Ses recherches portent sur différents problèmes sociaux, en particulier la question des mauvais traitements envers les enfants, les questions de fin de carrière professionnelle, les groupes d’entraide. Il a développé aussi des travaux de recherche sur l’Economie sociale et solidaire. Ses travaux portent aussi sur les minorités sociales et politiques.
Page personnelle
Jean-Marie Le Goff
Jean-Marie Le Goff est socio-démographe et Maitre d’enseignement et de recherche à l’Institut des sciences sociales (Unil). Il est titulaire d’une thèse en démographie de l’Université Paris Panthéon Sorbonne (1995). Ses enseignements à Lausanne portent sur les méthodes de la recherche, plus particulièrement les méthodes quantitatives. Ses travaux portent sur les transitions du parcours de vie, plus particulièrement la transition à la parentalité, ainsi que sur les inégalités au long des parcours de vie familiaux. Il développe un intérêt pour les méthodes quantitatives longitudinales avec un focus sur les méthodes d’analyse des événements et transitions du parcours de vie. Par ailleurs, il suit depuis 2006 une vingtaine de familles de Suisse romande qu’il interview régulièrement sur l’évolution de leur vie familiale.
Anne Marcellini
Anne Marcellini est professeure associée en sociologie du sport au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) de l’Université de Lausanne. Elle est responsable du Master en « Activités Physiques Adaptées et Santé » de l’Institut des Sciences du Sport. Elle a publié Corps, Sport, Handicaps. Le mouvement handisport au 21ème siècle. Lectures sociologiques (Téraèdre, 2014), et Disability, Recognition and "Community living". Diversity of practices and plurality of values (Revue Alter, European Journal of Disability Research, special issue, 2, 2018). Avant de venir à Lausanne, elle dirigeait le laboratoire « Santé, Education et Situations de Handicap" de l’Université de Montpellier.
Expertise Anne Marcellini a travaillé depuis les années 1990 sur les processus de participation sociale, d’inclusion sociale et de construction identitaire des personnes ayant des limitations de capacités. Elle est spécialiste des approches qualitatives des pratiques corporelles et des usages sociaux des corps atteints. Ses recherches s’orientent depuis 2008 dans le domaine de la sociologie visuelle et filmique.
Davide Morselli
Davide Morselli s'intéresse principalement à la dynamique psychosociale du changement social et aux effets du contexte sur les visions du monde et les attitudes individuelles. Il a étudié l'adaptation psychosociale aux événements critiques de la vie et a participé à la mise en œuvre de méthodes d'enquête rétrospectives pour recueillir les données biographiques.
Page personnelle
Daniel Oesch
Daniel Oesch est professeur associé au Life Course and Inequality Research Centre (LINES) de l'Université de Lausanne et membre du pôle de recherche LIVES. Ses enseignements portent sur la stratification sociale et le parcours de vie, la politique du marché du travail et l'emploi. Il est l'auteur de deux livres : Occupational Change in Europe (2013, Oxford University Press) et Redrawing the Class Map (2006, Palgrave Macmillan). Avant de venir à Lausanne en 2010, il a travaillé aux Universités de Genève, Pompeu Fabra, Barcelone, et Zurich. Il a participé à plusieurs grandes enquêtes sur le chômage en Suisse, étudiant les trajectoires d'emploi après un licenciement de masse ainsi que le rôle des contacts sociaux dans l'accès à l'emploi.
Page personnelle
Caroline Roberts
Caroline Roberts est professeure assistante en méthodologie d'enquête. Elle est actuellement co-responsable de LINES et responsable de la Maîtrise universitaire en méthodologie d’enquête et opinion publique, pour laquelle elle donne des cours sur les méthodes de recherche par sondage et la conception de questionnaires. Elle enseigne également les méthodes quantitatives pour les étudiants de premier cycle. Elle est titulaire d'un doctorat en psychologie sociale et d'une maîtrise en méthodes de recherche sociale de la London School of Economics and Political Science. Avant de travailler à l'UNIL, elle a travaillé à la LSE, à l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, à la City University de Londres et à Stanford University, en tant que méthodologue d’enquête dans des équipes de coordination d'un certain nombre d'enquêtes sociales à grande échelle.
Intérêts de recherche Les principaux domaines d'expertise de Caroline Roberts sont la méthodologie d'enquête et la mesure des attitudes sociales. Ses intérêts de recherche portent sur l'optimisation des protocoles de collecte des données d'enquête et sur la mesure et la réduction des différents types d'erreurs d'enquête, avec un accent particulier sur les méthodes d'évaluation des erreurs de non-réponse et les antécédents des erreurs de réponse. Sa recherche actuelle porte sur la possibilité d'intégrer la collecte de données avec des applications smartphone dans le contexte des sondages en ligne auprès de la population générale, en se concentrant particulièrement sur les préoccupations du public concernant la protection des données et comment réduire la charge des répondants.
Leen Vandecasteele
Leen Vandecasteele est professeure associée au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) à l’Université de Lausanne. Elle est également membre du Pôle de recherche national LIVES sur la vulnérabilité dans les parcours de vie. Titulaire d’un doctorat de l’Université de Leuven, elle a continué sa carrière en tant que chercheuse postdoctorale à l’Université de Manchester. Elle a pris part au programme multidisciplinaire des inégalités et des politiques sociales à l’Université de Harvard. Elle a été Max Weber Fellow à l’Institut universitaire européen à Florence. Entre 2012 et 2017, Leen Vandecasteele a travaillé en tant que professeure assistante à l’Université de Tübingen en Allemagne.
Intérêts de recherche Les domaines d’expertise principaux de Leen Vandecasteele sont les inégalités sociales, la pauvreté et les politiques sociales, des phénomènes qu’elle analyse dans une perspective de parcours de vie. Elle s’intéresse particulièrement à l’analyse des désavantages cumulés lors des transitions de vie ainsi qu’aux ressources qui permettent aux individus de faire face à des périodes de vulnérabilité économique, telles que la famille, le réseau social et les politiques sociales. Ses recherches se portent sur les différences entre pays et entre unités géographiques locales comme les voisinages, ainsi que les évolutions sur le long terme. Elle analyse les données quantitatives de grands échantillons d’individus issus de différents pays. Leen Vandecasteele est actuellement responsable d’une étude financée par le FNS sur le rôle que joue le statut socio-économique du/de la partenaire dans la carrière d’un individu. Cette étude vise également à observer les effets des caractéristiques spécifiques du marché du travail et de la politique familiale sur cette relation. Elle est aussi impliquée dans le pôle de recherche national LIVES et étude comment les contextes macro (politiques sociales) et méso (voisinages, réseaux personnels etc.) influencent les trajectoires de vulnérabilité économique.
Ajdacic Lena
A fait des études en sociologie et en sciences politiques. Dans sa thèse à l'Université de Lausanne, elle a étudié l'augmentation des revenus les plus élevés et la structure de genre au sein des postes de direction des entreprises. Elle a un master de l'Université d'Amsterdam, où elle a fait partie du groupe de recherche CORPNET.
En novembre 2023, elle a rejoint l'Institut des sciences sociales en tant que chercheuse post-doctorale dans le cadre d'un projet axé sur le secteur financier en Suisse. Son travail actuel englobe plusieurs domaines clés, notamment les aspirations professionnelles des récentes générations de diplômés en gestion, le rôle de divers types de réseaux structurant l'industrie, et enfin, les dynamiques et les clivages au sein du secteur dus à l'expansion de la vallée de la cryptomonnaie.
Nursel Alkoç
Depuis mai 2021, Nursel Alkoç est assistante diplômée à l’Institut de sciences sociales et une doctorante dans le cadre du programme scientifique commun FORS-SSP. Elle est titulaire d'une licence en psychologie de l’Université de Boğaziçi et d’un master en méthodologie d’enquête et opinion publique obtenu auprès des universités de Lausanne, Lucerne et Neuchâtel. Ses intérêts de recherches portent sur les inégalités sociales, la participation politique, l’intersectionnalité et les méthodes quantitatives.
Marc Asensio Manjon
Marc Asensio est assistant diplômé en Sciences Sociales à l'Université de Lausanne depuis novembre 2019 et doctorant dans le cadre du programme de collaboration FORS-SSP. Marc est titulaire d’une licence en sciences politiques (Universitat Pompeu Fabra) et d’une maîtrise en méthodes d’enquête pour la recherche sociale (University of Essex). Précédemment, il a travaillé comme chercheur au Research and Expertise Centre for Suvrey Methodology (RECSM) où il a été principalement impliqué dans des projets liés à l'Enquête Sociale Européenne.
Ses principaux intérêts de recherche sont la qualité des données d'enquête, les enquêtes web, la conception et l'amélioration de questionnaires et les nouvelles méthodes de collecte de données.
Johanna Behr
Maite Regina Beramendi
Guillaume Bornet
Guillaume Bornet est assistant diplômé et doctorant auprès de l’Institut des Sciences Sociales depuis octobre 2023. Il est titulaire d’un Bachelor en psychologie et d’un Master en psychologie sociale et interculturelle, tous deux obtenus à l’Université de Lausanne. Ses intérêts de recherche principaux portent sur les attitudes politiques et leur lien à la classe socio-professionnelle. Il est aussi plus généralement intéressé par les sciences de l’éducation, la médiation scientifique, et les méthodes quantitatives novatrices.
Alicia Garcia Sierra
Alicia est chercheuse postdoctorale dans le cadre du projet EQUALOPP (Liberal and Radical Equality of Opportunity). Elle était auparavant candidate au doctorat en sociologie à l'Oxford-Nuffield College et est titulaire d'un master en recherche en sciences sociales de l'Université Carlos III de Madrid. Ses recherches visent à comprendre comment l'inégalité émerge et se reproduit d'une génération à l'autre, ainsi que le rôle que jouent diverses configurations institutionnelles, telles que les systèmes éducatifs, dans ce contexte. Elle s'intéresse également à l'utilisation de données d'enquêtes longitudinales sur les ménages et aux approches causales.
Vasilena Lachkovska
Vasilena Lachkovska est titulaire d’un master et d’une licence en psychologie clinique, avec une spécialisation en psychologie affective, obtenus à l’Université de Genève. Passionnée par les identités nationales, les dynamiques de groupe, la globalisation, la migration et la culture, elle se consacre à l’étude de ce qui forge le sentiment d’appartenance dans un monde diversifié. Formée en méthodes quantitatives et en analyse multivariée, elle explore la cohésion sociale avec une approche méthodique, attentive aux nuances culturelles et humaines. Animée par le rêve d’un monde où chacun peut se sentir chez soi, peu importe l’endroit, tout en gardant ses racines et en bénéficiant d’égalités des chances, elle a entrepris une thèse intitulée Cohésion sociale et sentiment d’appartenance dans un contexte multiculturel – la Suisse et au-delà.
Claire Mariano
Claire Semaani est titulaire d’un master en méthodologie d’enquête et opinion publique délivré par les Universités de Lausanne, Neuchâtel et Lucerne. Depuis février 2023, elle est assistante diplômée au sein de l’Institut des sciences sociales. Avant d’entreprendre son doctorat, elle a travaillé sur des enquêtes liées à la santé de la population suisse. Ces expériences lui ont donné la motivation d’utiliser ses connaissances en sciences sociales pour le domaine de la santé.
Les principaux intérêts de recherche de Claire portent sur les méthodes quantitatives, les inégalités sociales et la santé. Sa thèse se concentre sur l’analyse des interrelations entre la santé mentale des membres de la famille au cours du temps.
Andres Martinez Torres
Andrés Martínez Torres est titulaire d'un bachelor en politique internationale avec mention de la City University de Londres ainsi que d'un master en gestion de la sécurité et des crises de l'université de Leiden, avec une spécialisation dans la gouvernance des crises. Pendant ses études, il s'est concentré sur les études de sécurité et la radicalisation, allant de l'étude des groupes antifascistes au Royaume-Uni à l'analyse du manifesto terroriste du massacre de Christchurch. Andrés a également de l'expérience au sein d'organisations caritatives et d'ONG, tant en Suisse qu'au Royaume-Uni, au niveau local et international. Il a rejoint LIVES en mars 2022 en tant que doctorant travaillant dans le projet FNS : "People-Opinion Networks : A study of polarization in word embeddings and social networks in Switzerland and Southern Africa", un projet multidisciplinaire en collaboration avec des universités d'Afrique du Sud et d'Irlande.
Les intérêts de recherche d'Andrés tournent autour de la polarisation et de la radicalisation politiques aux niveaux individuel, collectif et social - tant d'un point de vue politique que socio-psychologique. Sa thèse de doctorat étudie la polarisation et la radicalisation dans des contextes contemporains et historiques, en utilisant des méthodes multidisciplinaires et innovantes pour étudier les relations personnelles et la formation et le changement d'opinion, sous la supervision de Davide Morselli.
Benjamin Moles Kalt
Depuis octobre 2022, Benjamin Moles est Assistant Diplômé à l’Institut de Sciences Sociales. Il est titulaire d’une licence en Sociologie de l’Université de Barcelone et d’un master en Politiques Sociales, Travail et Bien-être de l’Université Autonome de Barcelone. Précédemment, il a travaillé comme chercheur au Centre d’Études Sociologiques pour la Vie Quotidienne et le Travail (Université Autonome de Barcelone) et le centre LIVES (Université de Lausanne).
Katy Morris
Sonia Petrini
Sonia Petrini est doctorante en Sociologie à l'Institut des Sciences Sociales de l'Université de Lausanne. Elle est titulaire d'un master en Science des Données et d'une licence en Économie,tous deux obtenus à l'Université de Milan. Elle a également travaillé comme chercheuse en linguistique informatique à l'Université polytechnique de Catalogne (UPC). Ses recherches portent sur l'interaction entre l'environnement et les différences génétiques dans la reproduction des inégalités sociales d'une génération à l'autre. En outre, elle s'intéresse à l'avancement des méthodologies quantitatives pour l'étude des inégalités sociales, ainsi qu'auxquestions philosophiques concernant la définition de justice sociale
Niels Rohrer
Magdalena Spasic
Gina-Julia Westenberger
Jeremy Kuhnle
Je suis chercheur postdoctoral dans le cadre du projet Horizon Europe "EqualStrength" à l'Université de Lausanne (Suisse) et chercheur externe au Mannheim Center for European Social Research (MZES) à l'Université de Mannheim (Allemagne). Avant de m'installer à Lausanne, j'étais chercheur postdoctoral au Trento Center for Social Research Methods de l'université de Trente (Italie).
J'ai terminé mes études doctorales à l'Université de Mannheim en septembre 2021, et je suis également titulaire d'une maîtrise de l'Université de Mannheim. Avant de retourner à Mannheim, j'ai fait mes études de premier cycle dans le système universitaire de l'Indiana.
Mes recherches portent sur le rôle du travail, des professions et des organisations dans l'inégalité sociale et la discrimination, avec un accent particulier sur le genre et les groupes ethno-raciaux. Je m'intéresse à la manière dont l'inégalité est créée, maintenue et encouragée par la discrimination dans différents domaines de la vie, tels que l'emploi, le logement et la garde d'enfants.
Steven Piguet
Steven Piguet a étudié les Sciences politiques et l’Histoire à l’UniL (MA 2009). Depuis 2007, il collabore aux projets FNS sur les « Élites suisses au XXe s. ». Il est également associé à l’Observatoire des Elites Suisses (Obelis) fondé en 2015 et à la plateforme technique du LaDHUL (PlaTec) depuis 2019.
Actuellement, il contribue à la gestion des données pour les projets FNS « Élites Financières », « les Fellows Rockefeller », « Structures de pouvoir locales et connections transnationales ». Il est également assistant de recherche à l’UniGe dans un projet ERC sur les « Citizen Sciences ».
Thierry Rossier
Thierry Rossier est chercheur senior à l'Université de Lausanne dans le cadre du projet FNS Sinergia FamyCH, et chercheur invité au département de sociologie de la London School of Economics. Il a obtenu un doctorat en science politique dans la même université en 2017. Il a ensuite obtenu trois bourses postdoctorales pour séjourner à la Copenhagen Business School, à la LSE et à l'Université de Fribourg. Il s'intéresse aux inégalités, à la stratification, à la précarité et au parcours de vie, et a publié sur des sujets liés à la sociologie des élites, à la sociologie des sciences, aux études sociales de l'économie et à la sociologie du travail et de l'emploi. Il est également un spécialiste des méthodologies quantitatives descriptives, telles que l'analyse de séquences, l'analyse géométrique des données et l'analyse de réseaux sociaux. Dans le cadre du projet FamyCH, il est coresponsable de la mise en œuvre de l'enquête par panel du projet, et se concentre spécifiquement sur les déterminants des inégalités de santé, de bien-être et de précarité des enfants et des parents dans le contexte des arrangements de garde post-séparation, en utilisant des méthodes longitudinales et inférentielles.