Félicitations aux lauréates et lauréats des prix de Faculté 2024-2025

Découvrez les lauréates et lauréats 2024-2025:

Ont reçu un prix récompensant leur thèse de doctorat:

PRIX DE FACULTÉ

Jasmina Cornut

À Jasmina Cornut, pour sa thèse de doctorat intitulée « Femmes d'officiers militaires en Suisse romande : implications, enjeux et stratégies de l'absence, XVIIe-XIXe siècles. ». Cette enquête, vaste et en même temps rigoureuse, a permis de mieux comprendre les implications et les conséquences du service mercenaire, jusqu’à maintenant considéré surtout du point de vue des hommes, en mettant en lumière le rôle parfois très actif des femmes et l’importance des réseaux familiaux.
 

Daniela Greger

Pour son excellente thèse de doctorat intitulée “ Central Euboean Trade in the 8th and 7th Century B.C. through Social Network Analysis “ dans laquelle elle reconstruit les mécanismes et les réseaux du commerce eubéen autour de la mer méditerranéenne au début de l’âge du fer, en utilisant une méthode innovative (Social Network Analysis), développée pour les sciences sociologiques et adaptée par elle pour des recherches archéologiques, et en mettant en évidence tous les aspects économiques qui ont contribué à la dominance de l‘île d’Eubée au 8e s. et à son déclin au 7e s. av. J.-C. 

Cédric Margot

Pour sa thèse intitulée « L’ombre de la quantification : le présupposé de mesure dans le discours de l’information » dont l’originalité d’approche, la rigueur méthodologique et la finesse d’analyse forcent l’admiration de toute personne désireuse de mieux connaître les éléments qui unissent et qui séparent langage verbal et langage mathématique quand il s’agit de raisonner en termes médiatiques.

Adèle Morerod

Pour sa thèse de doctorat intitulée « "Laisser cartouchières et pistolets au vestiaire". Les activités de diffusion de la Cinémathèque suisse : une histoire de relations (1948-1973 ) », qui éclaire de façon inédite l’histoire du processus d’institutionnalisation de la Cinémathèque suisse, en s’arrêtant sur une période durant laquelle son activité principale consistait en la diffusion des films auprès des ciné-clubs. Dans cette perspective, l’apport fondamental et décisif de la thèse est de montrer que la diffusion doit être pensée avant tout comme le fruit d’une négociation entre la Cinémathèque et les ciné-clubs, donc comme une "relation", sur le modèle épistémologique du "care". 

Raphael Müller

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Thomas Manns Roman Königliche Hoheit im Spiegel der Kultur- und Diskursgeschichte des Luxus ».
Pour une étude intelligente et originale qui explore une œuvre peu connue, voire méconnue, du futur prix Nobel Thomas Mann, étudiée ici dans son contexte histo-rique et culturel avec une vue d'ensemble magistrale, portée par un sens aigu de l'enquête, une conscience méthodologique rigoureuse et une sensibilité éminente aux phénomènes littéraires et esthétiques en général. Enfin, ce prix récompense le courage de l’auteur d’avoir mené à bien une aventure intellectuelle qui, pour l’essentiel, ne se terminera jamais ...

Amy Player

La réussite exceptionnelle de cette thèse est la manière dont elle construit progressivement une image de la façon dont la New Nature Writing s'appuie sur ses racines dans la pastorale, la géorgique, le romantisme et le transcendantalisme, pour trouver des moyens de raconter les effets et les significations de l'Anthropocène. La thèse d'Amy Player explore courageusement et de manière exhaustive la question fondamentale de savoir ce que la littérature peut faire en réponse à l'urgence climatique. Sans perdre de vue que ces textes sont des œuvres littéraires, valables pour leurs mérites artistiques, Amy démontre comment un langage imaginatif peut nous aider à reforger notre relation avec le monde plus qu'humain.

Grégory Rauber

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Comme "Sy", comme "Za" : les pionniers de la solmisation heptacordale en France au XVIIe siècle » et pour sa remarquable contribution dans le domaine de la théorie musicale et de l’histoire du solfège, offrant un éclairage nouveau sur l’implantation de la septième syllabe de solmisation et le passage du système hexacordal (échelle de 6 notes) à la gamme heptacordale (échelle de 7 notes). Ce travail a l’immense mérite de présenter des documents inédits, essentiels pour comprendre ce changement de paradigme qui est à l’origine d’une « révolution » musicale.

Noémie Rochat Nogales

Pour sa thèse de doctorat intitulée "Réécritures de la Genèse au 18e siècle : le récit des origines au prisme de la fiction".
Pour avoir réalisé dans les délais fixés par son contrat une thèse de qualité très supérieure sur un sujet particulièrement complexe. On y voit se conjuguer à la perfection l’acuité d’une recherche de vaste envergure, un brillant esprit de synthèse doublé d’une vigueur analytique rare, l’élégante clarté du propos. Cette thèse est déjà sur le point d’être publiée dans une prestigieuse collection; de l’avis unanime du jury, c’est un livre qui fera date.

Camille Schaer

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Le rapport à la bande dessinée des enseignant·e·s de français au secondaire suisse romand : conceptions et pratiques en construction », qui explore avec brio les dilemmes soulevés par la lecture scolaire de bandes dessinées. En s’appuyant sur une méthodologie originale, Camille Schaer montre que les gestes interprétatifs associés à l’analyse des œuvres littéraires doivent être repensés en profondeur pour relever le défi posé par les récits graphiques et tirer le meilleur parti de leurs spécificités médiatiques.

Gérald Sinclair

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Qu’est-ce que le posthumanisme ? Enquête philosophique sur les natures plastiques, hybrides et plus qu’humaines », une étude originale et de grande ampleur d’un ensemble divers de discours contemporains. A partir de l’analyse d’une multiplicité de théories issues de disciplines allant de la biologie à la cybernétique et à l’informatique en passant par la biogéochimie, l’écologie et la géographie, la thèse propose une définition philosophique précise du posthumanisme en adoptant comme critère principal la fin de l’exception humaine et de l’anthropocentrisme.

Silvia Rosa Torres

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Intimidad y representación en la narrativa argentina y española reciente », dirigée par le Professeur Marco Kunz.
Ce travail d'une extraordinaire qualité scientifique constitue une contribution importante et innovatrice à la réflexion théorique sur le concept complexe et ambigu d'intimité. En analysant dans une perspective interdisciplinaire des formes hétérodoxes par rapport aux canons traditionnels de la littérature narrative contemporaine en espagnol, cette thèse explore les limites du dicible avec une profondeur intellectuelle exceptionnelle.

Mathilde Zbaeren

Pour l’excellence et l’originalité de sa thèse intitulée "Paroles tenues. Recueils de voix et dette littéraire dans la littérature française contemporaine", qui examine avec brio la constitution d’un genre, à la croisée des sciences sociales, des théories du "care" et de la littérature documentaire. Mathilde Zbaeren y examine les enjeux formels, éthiques et politiques liés à la restitution de la parole des témoins, envisagée comme une forme d’“hospitalité littéraire”.

PRIX ARNOLD REYMOND, FONDATION CHARLES-EUGÈNE GUYE

Jamil Alioui

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Le "numérique". À la lumière de la philosophie de la culture de Gilbert Simondon » qui se propose une double tâche : lire la philosophie de la technique de Simondon comme une philosophie de la culture et interroger le numérique depuis une philosophie de la technique. La rigueur et l’originalité de ce travail philosophique s’inscrivent au sein de débats contemporains aigus et urgents en humanités numériques.  

PRIX DAVEL

Auguste Bertholet

Pour sa thèse de doctorat intitulé « Dans l’ombre de l’Ours. Penser les réformes économiques dans le Pays de Vaud au XVIIIe siècle », Auguste Bertholet a été désigné comme lauréat du prix Davel. En s’intéressant à la contribution des penseurs du Vaud à des débats théoriques sur la modernisation de l’économie suisse, il a réussi à ouvrir un tout nouveau champ de recherche, réunissant des approches d’histoire des idées, d’histoire économique avec une étude socio-culturelle de la production littéraire au dix-huitième siècle. Sa thèse montre de manière exemplaire comment une analyse des sources locales peut amener à une relecture de l’histoire intellectuelle des lumières en Europe.

PRIX DE LA BANQUE CANTONALE VAUDOISE, LAUSANNE "SCIENCES HUMAINES"

Aniko Fehr

Pour sa thèse de doctorat intitulée « La politique fiscale de la Confédération suisse ou l’art de vider les caisses, 1958-1977 ». Le travail de Madame Fehr analyse avec brio — en s'inspirant des méthodes de la sociologie financière — la profonde réorientation que les milieux dirigeants suisses adoptent, à partir de la crise économique de 1974-1976, dans ce domaine crucial qu'est la fiscalité. Elle apporte donc une contribution remarquable à la compréhension de la politique économique dominante depuis lors en Suisse et dans le reste du monde, qu'il est convenu d'appeler le néolibéralisme.

PRIX ÉGALITÉ ET DIVERSITÉ

Chiara Boraschi

Novatrice par son approche via des médias audiovisuels, cette thèse étudie le rôle des discours institutionnels, professionnels et médiatiques sur la représentation sociale des mères célibataires dans la Suisse dans le deuxième après-guerre, sujet très peu traité en histoire du genre et des femmes en Suisse. Cette étude reconstitue non seulement les aspects législatifs clés qui accompagnent le passage entre les définitions sociétales de la « fille mère » et celles de la « famille monoparentale », mais elle révèle aussi l’influence des discours médiatiques et politiques sur la légitimité de la sexualité féconde, ainsi que sur la bonne moralité de telles mères face à des politiques sociales patriarcales. Elle montre comment des mères célibataires se sont vues considérées au fil des temps comme des femmes adultes, autonomes et responsables.

PRIX FOLLOPPE

Thibaud Mettraux

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Épis blonds-dorés et autres beautez sans pareilles. L’épithète entre langue et style : une archéologie des métadiscours (1570-1700). » Ce travail d’une exceptionnelle ampleur de vue va bien au-delà de la simple érudition : il s’interroge sur les raisons qui ont permis qu’une catégorie rhétorique devienne une catégorie grammaticale et sur la porosité des frontières entre linguistique et stylistique. Mais il fait aussi apparaître la mutation qu’a connue l’idée de poésie en France, au cours de ce qu’il convenu d’appeler « la première modernité ».

PRIX SOCIÉTÉ DANTE ALIGHIERI

Carlotta Contrini

Dans sa thèse, exemple rare de stylistique comparée, Mme Contrini étudie un outil formel crucial dans la narratologie, à savoir le discours indirect libre. Après en avoir retracé la genèse et l’histoire, entre France et Italie, la candidate se concentre sur l’hypothèse – souvent évoquée mais jamais pleinement explorée – d’une « influence directe » exercée par Zola sur le style de Verga.
La thèse de Carlotta Contrini propose des analyses fines des formes linguistiques et des enjeux esthétiques, ainsi que des objets théoriques audacieux.
Déjà couronné en 2023 du prestigieux prix Nencioni de l’Accademia della Crusca, et en attente de publication, le travail de Carlotta Contrini mérite la reconnaissance du Prix Dante Alighieri. On ne peut que souhaiter à son auteure de poursuivre avec autant de bonheur son si brillant parcours de recherche.

PRIX WHITEHOUSE

Jan Chiarelli

Pour sa thèse de doctorat intitulée « Débats monétaires et naissance du franc suisse : un outil d'intégration aux marchés internationaux au service des marchands et des banquiers (1815-1865) », travail de recherche remarquable qui permet de comprendre l'importance de la création du franc dans la success story économique de la Suisse. Pour la maîtrise méthodologique alliant des approches qualitatives et quantitatives dans une parfaite complémentarité ainsi que pour la finesse didactique de l'analyse et de la présentation des résultats rendus accessibles à un public non spécialisé.

Ont reçu un prix récompensant leur parcours et/ou mémoire de maîtrise universitaire:

PRIX DE FACULTÉ

Manon André

Pour ses excellents résultats généraux et pour son excellent mémoire de maîtrise intitulé "Le sommeil des enfants à l’époque moderne" qui, par une analyse fine et d’une grande clarté, se basant sur le dépouillement de plus d’une centaine de sources médicales, philosophiques, pédagogiques, matérielles et d’écrits personnels de l’époque moderne, offre une véritable somme sur un sujet jusqu’alors inexploré.

Valentine Bovey

Pour ses excellents résultats généraux et pour la qualité de son mémoire intitulé : "Monsieur Vénus de Rachilde : un siècle de lectures perverses", qui offre une étude approfondie de la réception de ce roman sulfureux paru en 1884 et des différents usages (politiques, idéologiques, militants) auxquels celui-ci s’est prêté, un siècle durant.
L’essai de Valentine Bovey montre notamment comment, à la faveur d’une traversée de l’Atlantique, cette fiction fin-de-siècle nous est revenue, plus ambiguë que jamais, mais aussi comment elle est en passe de devenir aujourd’hui l’un des classiques de la littérature française, comme en témoigne sa récente parution dans la collection « Folio Classiques » des éditions Gallimard.

Elena Cereghetti

Pour ses excellents résultats généraux et pour la qualité, la maturité et la rigueur scientifique de son mémoire « La conservation volontaire des peintures de Sainte-Suzanne à Rome » ; mémoire qui a su complexifier et valoriser une des plus fascinantes énigmes de la production artistique du haut Moyen Âge.

Margaux L'Eplattenier

Pour ses excellents résultats généraux, ainsi que pour la rigueur méthodologique et l’analyse fouillée et novatrice dont elle a fait preuve dans son mémoire de maîtrise intitulé : "LLM et langage: Investigations philosophiques et statistiques".

Samuel Sandri

Pour la rigueur intellectuelle et l’innovation critique d’un mémoire consacré à des classiques de la littérature américaine et pour un parcours académique qui allie la détermination à la profondeur de pensée. Le mémoire, « And for What ? A Little Bit of Money », est un travail original, fouillé et spirituel, qui réévalue le "Confidence Man" de Herman Melville et la légende populaire de Paul Bunyan à l’aune de nos crises théoriques et politiques contemporaines, et fait que la lumière de ces textes d’hier nous illumine aujourd’hui.

Johan Vaucher

Pour son mémoire de maîtrise intitulé « Les Helvètes de Napoléon : enquête historique et perspectives archéologiques sur le quotidien des soldats suisses romands de la Grande Armée (1803-1815) », dirigé par Léonard Burnand.
Pour ses excellents résultats généraux et pour son remarquable mémoire, lequel renouvelle notre perception de l’engagement des soldats suisses dans les troupes napoléoniennes, en s’écartant de l’histoire militaire traditionnelle et en privilégiant une approche anthropologique et sensible de la culture de guerre à l’aube du XIXe siècle. En conciliant l’analyse de nombreux écrits personnels et l’apport de données issues de fouilles archéologiques, cette recherche parvient à reconstituer l’expérience du conflit telle qu’elle a pu être vécue au quotidien par des acteurs méconnus de cette période.

Gaëtan Zinder

Pour un parcours académique sans faille en français et en philosophie. Pour l’excellence d’une recherche d’une ampleur considérable qui, partant d’un impressionnant travail de découverte d’archives et de sources inédites, à travers une prospection historienne et herméneutique serrée, propose une poétique du
« voir » dans l’œuvre de Victor Hugo, relue à la lumière de sa relation avec Nadar, entre photographie et aéronautique. Pour la force interprétative et la maturité critique de ce texte.

Abel Zuchuat

« De la toile au mur. Simultanéisme et purisme » est le titre de cette étude, qui explore deux mouvements majeurs ainsi que trois figures emblématiques de l’avant-garde de l’entre-deux-guerres : Sonia et Robert Delaunay ainsi que Le Corbusier. Ce travail se distingue par la profondeur de son analyse et constitue une contribution académique significative. Véritable chef-d’œuvre scientifique, il combine des découvertes inédites avec une méthodologie novatrice. L’auteur, s’appuyant sur une connaissance approfondie des sources et de la littérature, adopte une approche de pensée interconnectée, où chaque idée interagit et s’enrichit mutuellement. Ce mode de pensée, unique en son genre, offre un processus créatif original et apporte un regard neuf sur les interactions et les divergences entre ces mouvements artistiques et leurs pionnier·e·s.

PRIX CONSTANTIN VALIADIS DES AMITIÉS GRÉCO-SUISSES

Noémie Favre

Pour ses excellents résultats généraux et la qualité de son mémoire de maîtrise intitulé « Σῆμα ἐπῆν κύκλῳ : l’emblème de bouclier au services des poètes et des peintres », Noémie Favre est récompensée par le prix Constantin Valiadis des Amitiés gréco-suisses. Dans son mémoire, cernant un corpus parfaitement défini, confrontant textes et images, la lauréate a fait du bouclier antique, outil de guerre et œuvre d’art, un passionnant et incontournable objet d’études interdisciplinaires. Elle a prouvé avec brio ses doubles compétences philologiques et iconographiques. Bravissimo !

PRIX DE L'ÉDITION

Marylou Gasser

Pour la grande qualité de son édition numérique des Lettres de Mistriss Henley. Non contente d'avoir découvert un manuscrit inédit d'Isabelle de Charrière, Madame Marylou Gasser en a proposé une édition numérique de grande qualité. En associant la grammaire du jeu vidéo et des illustrations d'archive, son travail offre une mise en dialogue innovante et ludique de ces lettres avec des textes voisins, saluée par le jury à l’unanimité.

PRIX DE LA FONDATION POUR L'ENCOURAGEMENT DU LATIN, LA RECHERCHE ET L'ARCHÉOLOGIE "FELRA"

Maude Benoit

Pour ses brillants résultats généraux et pour l'excellence de son mémoire de maîtrise intitulé "Création, utilisation et destruction des liens de parenté pour asseoir un pouvoir dynastique : le cas particulier de l'empereur Constantin I et de sa lignée", un travail qui repose sur une approche originale, une méthodologie rigoureuse, et une large documentation analysée avec finesse et prudence.

Lucien Raboud

Pour ses excellents résultats généraux, ainsi que pour la rigueur méthodologique et l’analyse fouillée et novatrice dont il a fait preuve dans son mémoire de maîtrise intitulé : « Châtelard, Châtillon, Château : les sites défensifs entre la vallée de La Broye et la plaine de l’Orbe. Une étude du territoire par les systèmes d’information géographique et la prospection ». Grâce au travail méticuleux et novateur de Lucien Raboud, c’est un pan peu connu de notre bâti vaudois qui émerge à la surface des taillis, des champs et des cours de villages, comme par miracle, ressuscité en quelque sorte par son expertise, ses vastes connaissances, son approche du paysage, son abnégation et son usage intelligent des SIG et du LiDAR.

PRIX DE LA VILLE D'ECUBLENS

Daniel Burdet

Pour ses excellents résultats généraux et son parcours mêlant curiosité à toute épreuve, enthousiasme et passion communicatives, ses études brillantes et son mémoire témoignant du savoir-faire d’un spécialiste intitulé :
"Insula 3 d’Avenches : étude et analyse du mobilier métallique issu des états précoces (états I-III). Des artisans en ville : quotidien et évolution d’un quartier mixte." consacré à l’analyse approfondie et replacée dans son contexte culturel du mobilier d’un quartier romain d’Avenches.

Autres prix :

PRIX FACULTÉ OUT

Océane Mahieu

Pour l'excellence des résultats obtenus en Anglais et en Histoire lors de son séjour à l'Université d'Aberdeen.

PRIX FACULTÉ IN

Angelica Celestial

Pour la richesse des cours suivis en Anglais et l’excellence des résultats obtenus dans cette discipline ainsi qu'à l'École de français langue étrangère lors de son séjour à l’Université de Lausanne.

PRIX DE L'ÉCOLE DE FRANÇAIS LANGUE ÉTRANGÈRE

Pei Yi Huang

Pour son travail approfondi intitulé « L’écriture inclusive dans les guides de rédaction francophones officiels : étude comparative des stratégies au Québec, en France, en Suisse romande et en Belgique francophone » dirigé par Cyrille François.
Pour son excellent parcours à l’EFLE, de l’Année préparatoire au Diplôme de français langue étrangère, et son travail approfondi exemplaire démontrant une réelle capacité à accomplir des recherches et à proposer une analyse rigoureuse dans un français académique maîtrisé. Pei Yi Huang a fait preuve d’assiduité, d’indépendance et de qualité d’écoute lors des échanges sur ses travaux.