DES HORIZONS PROFESSIONNELS OUVERTS
Posséder un Master de la Section de français est un point fort sur le marché de l’emploi.
Il permet de ne pas dépendre d’un seul métier, mais d’être bien formé à une diversité de métiers, souvent passionnants (culture, enseignement, édition, journalisme, communication…). C’est aussi un moyen d’assurer un avenir professionnel où la motivation à long terme peut être garantie et où les reconversions restent possibles.
Nos diplômés ne sont pas formés pour un seul débouché, mais ils ont un horizon ouvert, varié devant eux, avec une grande capacité d’innovation. Ils trouvent des postes dans l’édition, dans les métiers de la culture, dans les musées, dans l’administration publique ou privée des institutions, dans le journalisme et la communication, dans les festivals ou dans les théâtres.
Parfois, ils deviennent écrivains : plusieurs auteurs suisses romands sont passés par la Section de français ou travaillent en son sein.
Le saviez-vous ?
Contrairement à d’autres formations possibles, le Master de la Section de français est le seul diplôme qui permet d’enseigner à la fois dans le secondaire I (collège) et dans le secondaire II (gymnase, lycée), dans le système vaudois tant public que privé.
Plus de la moitié de nos diplômés choisissent d’autres horizons professionnels que l’enseignement : responsables culturels, métiers du journalisme, communication et édition.
Avec sa réforme du gymnase en quatre ans et l’ouverture de nombreux établissements du secondaire II, l’État de Vaud devrait engager de nombreux diplômés de la Section de français dans les dix prochaines années.
Les diplômés de la Faculté des lettres ont un taux de chômage particulièrement bas après la fin de leurs études, selon l’Office fédéral de la statistique, bien plus bas que d’autres facultés de l’Université.