Prof. Patrick Rérat, co-directeur de l’OUVEMA
Prof. Bengt Kayser, co-directeur de l’OUVEMA
Suzy Blondin travaille autour du concept de motonormativité et s'intéresse notamment au référendum sur les extensions autoroutières, au militantisme anti-voiture et aux cultures automobiles en Suisse. Elle travaille avec des méthodes qualitatives telles que les entretiens et l'analyse de discours et de contenus médiatiques et culturels.
Andreia Dinis Pinto s’intéresse à la pratique du vélo chez les personnes issues de la migration portugaise. Sa recherche vise à analyser les écarts entre les populations immigrantes et celles sans parcours migratoire, à travers les facteurs socio-démographiques, le potentiel de mobilité (accès, compétences et appropriation), l’influence de la socialisation aux modes de transport (travel socialisation), l’assimilation aux modes de transports (travel assimilation), et le rôle du contexte territorial (distances des trajets, sécurité, infrastructures, régions linguistiques).
Laura Hostettler Macias s'intéresse à la question de recherche suivante : comment le télétravail (remote work, home office) influence-t-il la mobilité ? D'une part la mobilité quotidienne, comme par exemple le comportement pendulaire, mais aussi les effets plus larges sur la mobilité de loisirs. Mais aussi la mobilité ou l'immobilité du logement et l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail.
Les recherches de Dimitri Marincek portent sur toutes les pratiques du vélo – qu’il soit à assistance électrique ou cargo – du point de vue des usagers. Il s'intéresse à leurs profils, au rôle du vélo dans leur parcours de vie, à leurs motivations et déclencheurs, aux effets de report modal sur d'autres pratiques de mobilité, mais aussi aux obstacles et expériences négatives, notamment en matière de sécurité.
Emmanuel Ravalet travaille sur les comportements de mobilité et les politiques de mobilité durable avec un double prisme : comment se déplacer mieux, c’est-à-dire avec des modes de déplacements plus vertueux sur le plan environnemental, et comment se déplacer moins, en favorisant la proximité et la connectivité. En lien avec ce dernier point, il copilote actuellement un projet de recherche du FNS sur la manière dont le télétravail vient perturber les mobilités résidentielles et quotidiennes.
Aurélie Schmassmann s’intéresse à la pratique du vélo chez les jeunes. Elle cherche à identifier les facteurs permettant d’expliquer leurs trajectoires cyclistes, qu’ils soient d’ordre individuel (compétences, accès, appropriation), social et familial, ou territorial (topographie, sécurité, infrastructure, normes et règles). L’enjeu est de comprendre les besoins des jeunes pour se (re)mettre à la pratique du vélo utilitaire, et encourager une mobilité bas carbone.
Cinzia Zanetti s’intéresse à la psychologie sociale, à l’impact des normes et des caractéristiques contextuelles sur les intentions et les comportements, à l’éthique et à la moralité, ainsi qu’à la psychologie environnementale et aux comportements pro-environnementaux—tels que le choix de se déplacer à vélo.
Dr Yann Dubois
Matthieu Gillot
José Ibarra
Dr Salifou Ndam
Noëlle Guinard, ENTPE Lyon
Lauren Morvan, Université Lyon III Jean Moulin
Dr Claire Pelgrims, Université Gustave Eiffel
Pierre-Jean Pillonnet, Aix-Marseille Université
Dr Mehmet Ali Toprak, Manisa Celal Bayar University (Turquie)