GeoAgenda de l'Association Suisse de Géographie (ASG)

L'Association (ASG) et son bulletin GeoAgenda | GeoAgenda - Bulletins par année
 

L'Association (ASG) et son bulletin GeoAgenda

L'Association Suisse de Géographie (ASG) est l'association faîtière des géographes suisses. Les membres réguliers sont les sociétés de géographie affiliées (sociétés spécialisées et sociétés régionales) ainsi que les instituts de géographie des écoles supérieures de Suisse. L'ASG publie notamment 4 numéros par an de son bulletin GeoAgenda qui traite de thèmes spécifiques de la géographie et informe sur les activités de ses membres et de ce qui se fait dans le domaine de la géographie en Suisse. Lors de l'assemblée des délégués de l'ASG en mars 2019, il a été décidé de diffuser les numéros de GeoAgenda auprès des étudiant·e·s de géographie, afin de mieux faire connaître cette association et son bulletin.

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GeoAgenda - Bulletins par année

Bulletins année 2024

Numéro GeoAgenda 2024/4

GeoAgenda 2024/4

Chères lectrices, chers lecteurs,

 

Que signifie être seul.e ? Comment la solitude est-elle vécue individuellement ou socialement ? Comment l'environnement et les événements récents façonnent-ils notre compréhension et notre approche de la solitude ? L'éditrice invitée Nina Goldman a réuni quatre articles qui abordent ces questions pour le « focus » de ce numéro. Vous y lirez la contribution de la géographie humaine à la recherche sur la solitude, des expériences avec des environnements virtuels, des approches d'aménagement du territoire pour favoriser l'interaction sociale et la santé mentale, ainsi que des lieux de la « solitude positive » et de l’utilisation solitaire.

Dans les « autres contributions », vous trouverez des rapports sur une conférence, le projet sCHoolmaps, ainsi que sur le nouvel atlas mondial Diercke Suisse.

Veuillez noter que le GeoAgenda se présente dans une robe neuve en 2025 et que les deux premiers numéros du GeoAgenda seront publiés en février et en avril.

 

Je vous souhaite une bonne lecture.

Katharina Pelzelmayer

 

Numéro GeoAgenda 2024/3

GeoAgenda 2024/3

Chères lectrices, chers lecteurs

 

Après une courte pause estivale, nous lisons dans la rubrique « autres contributions » un rapport sur l'événement du centenaire de la Société de géographie et d'ethnologie (GEG) de Bâle ainsi que sur des mises en œuvre réussies de la nouvelle matière « Bildung für nachhalige Entwicklung » (BNE) dans les gymnases suisses . Dans le « focus » de ce numéro, vous en apprendrez plus sur les groupes thématiques de l'ASG, qui servent aux géographes comme réceptacle créatif pour les activités de réseautage les plus diverses.

 

Je vous souhaite une bonne lecture,

Katharina Pelzelmayer

Numéro GeoAgenda 2024/1

GeoAgenda 2024/1

Chère lectrice, cher lecteur,

Quelles sont les conditions-cadres pour un enseignement de la géographie tourné vers l'avenir ? Quelles sont les chances, quels sont les défis ? En douze articles, cette édition couvre l'ensemble des connaissances pertinentes et leur transmission adéquate, ainsi que les projets et coopérations innovants dans la formation des futurs enseignant·e·s. 

Dans la partie « focus » vous découvrirez comment la formation des enseignant·e·s de géographie du secondaire I est organisée et développée dans dix établissements de formation différents. La partie « autres contributions » aborde l'utilisation des types d'attitude liés au climat dans la formation des enseignant·e·s et le manuel « Geographie unterrichten lernen – Die Didaktik der Geographie ».

Je vous souhaite une lecture instructive et vous adresse mes salutations les plus cordiales,

Katharina Pelzelmayer

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Bulletins année 2023

Numéro GeoAgenda 2023/4

GeoAgenda 2023/4

Chère lectrice, cher lecteur,

C'est un grand plaisir de vous présenter ma première édition du GeoAgenda en tant que nouvelle secrétaire générale de l'Association Suisse de Géographie (ASG). Avec cinq contributions exceptionnelles sur la thématique du climat dans la rubrique « Focus », quatre articles captivants sur la géographie et la vie associative dans la rubrique « Autres Contributions » et des nouvelles de la géographie en Suisse dans la rubrique « Actualité », vous trouverez dans ce numéro une lecture de fin d'année variée.

Dans le « Focus », notre vice-présidente et éditrice invitée Nora Komposch présente des réflexions issues de l'Action Group Climate Crisis à Berne sur la manière dont le savoir géographique relatif aux changements climatiques peut être utilisé et associé à des actions concrètes.

Dans la rubrique « Autres Contributions », Jöri Hoppler commence avec une présentation du portail électronique « Développement de l'enseignement spécialisé axé sur les compétences » et le projet de recherche correspondant « Travail de cas basé sur la vidéo » de la PHBern. Ensuite Luca Gnädinger, dans une contribution issue de sa thèse, soulève la question suivante : « Comment expliquer la surreprésentation massive des étranger·ère·s dans les prisons suisses ? ». A l'occasion des 150 ans de la Société Bernoise de Géographie, Stefan Brönnimann se penche sur l'avenir et le passé dans son article. Enfin Stefan Reusser présente un rapport de l'assemblée générale de l'Association Suisse des Enseignants de Géo- graphie (ASEG) du 28 octobre 2023.

Je vous souhaite une bonne lecture !

Katharina Pelzelmayer

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Numéro GeoAgenda 2023/3

GeoAgenda 2023/3

Chère lectrice, cher lecteur

Le Focus de GeoAgenda 2023/3 est intitulé « Participatory Methodologies in Switzerland and the Americas ». Yvonne Riaño, présidente de l’ASG, est la Guest Editor de ce numéro qui réunit quatre contributions de praticien.ne.s et d’universitaires aillant travaillé au Canada, en Colombie, au Chili, en Équateur et en Suisse, pour présenter leurs expériences de travail avec des méthodologies participatives.

Dans son introduction, Yvonne Riaño présente les enjeux liés aux méthodologies participatives, notamment leur potentiel en termes de production de connaissance permettant de questionner les relations de pouvoir, et l’intégration des participant.e.s à la recherche comme coproductrices et coproducteur de savoir. Puis, Yvonne Riaño présente une méthodologie participative nommé Minga qui repose sur 5 principes d’une pratique de recherche qui se veut être plus démocratique, plus inclusive et moins colonialiste. La contribution de Maria Inés Garcia-Reyes Röthlisberger porte sur les « Saberes Colectivos », une méthodologie de conception participative avec les communautés noires, indigènes et paysannes en Colombie. Ensuite, Stefano Anzellini présente son travail avec les populations déplacées par les catastrophes naturelles en Colombie, dans un article portant sur le renouvellement urbain et la participation sociale. Finalement, une interview de Irène Hirt réalisée par Yvonne Riaño, intitulée « la recherche participative avec les peuples autochtones au Chili et au Canada » clos le Focus de ce numéro.

Dans la rubrique « Autres Contributions », Florence Nuoffer, Lara Bolzman, Sylvain Perichon, Izabel Samson proposent un article intitulé « L ’expérience spatiale comme moteur d’apprentissage en géographie scolaire. L’exemple du photo mapping et des cartes sensibles ».

Bonne lecture !

Isabelle Schoepfer

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Numéro GeoAgenda 2023/2

GeoAgenda 2023/2

Chère lectrice, cher lecteur,

Le deuxième GeoAgenda de 2023 est intitulé « Field Trips as Pedagogical Devices ». Il cherche à répondre à la question « Quels sont les bénéfices éducatifs des excursions en milieu urbain ? » à travers 10 contributions originales, sous forme de récits d'expériences et de réflexions d’expert.e.s de la géographie urbaine. D’abord, les Guest Editors Julio Paulos et Sven Daniel Wolfe introduisent le numéro sur les sorties de terrain comme dispositifs éducatifs. Puis les articles, un à un, apportent des perspectives et des exemples à travers une multitudes de formes d’excursions, des espaces urbains hétéroclites parcourus par différents moyens de transports, sur des temporalités diverses, pour en tirer une large palette d’apprentissages et de leçons de vie.  

Gabriela Debrunner nous emmène dans la région de la Ruhr avec les étudiant.e.s de l’Université de Berne. Coups de pédales au programme : avec Karine Duplan et Armelle Choplin nous partons en voyage d'étude à vélo le long du Rhône, avec les étudiant.e.s de l’Université de Genève. Sylvana Jahre et Laura Kemmer nous emmènent au Brésil, en ajoutant une perspective nord-sud à la question. Pas à pas, Tatiana Debroux et Stefan De Corte, nous guident dans une marche à travers Bruxelles. Avec Geetika Anand, cap vers le sud, pour six semaines en Afrique du Sud avec l’Université de Bâle. Issues de ce même terrain, Laura Nkula-Wenz, Geetika Anand et Anna Selmeczi nous offrent leurs réflexions pour développer des pédagogies collaboratives.

Retour en Suisse : l’interview réalisé par Sven Daniel Wolfe avec Hanna Hilbrandt, nous présente Züri Urban, un projet pédagogique combinant l’apprentissage basé sur la recherche et l’enseignement collaboratif. Changement de perspective : avec Micol Rispoli, Tomás Criado et Patrick Bieler nous nous immergeons dans la ville de Berlin pour comprendre l’espace urbain au prisme de la neurodiversité. Finalement, Sven Daniel Wolfe et Julio Paulos concluent ce riche numéro, qui met en lumière la diversité des approches pour interagir avec les étudiant.e.s en géographie en dehors de la salle de classe.

Trois « Autres Contributions » complètent ce numéro. Regula Grob et Brigitte Kürsteiner proposent une réflexion autour d’un outil pédagogique permettant une approche critique des stéréotypes dans l'enseignement de la géographie. Yvonne Riaño présente le documentaire « Weaving Threads Across Borders » qu’elle a réalisé dans le cadre d’un projet de recherche sur la frontière entre la Colombie et le Venezuela. Elle y discute le potentiel d’empouvoirement et de transfert de connaissances des documentaires. Finalement, Jonathan Bussard propose une interview avec le climatologue Jean-Michel Fallot. Jean-Michel était le délégué de l’Université de Lausanne pour l’ASG depuis 2006 et nous lui souhaitons un bon départ à la retraite !

Bonne lecture !

Isabelle Schoepfer

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Numéro GeoAgenda 2023/1

GeoAgenda 2023/1

Chère lectrice, cher lecteur,

Le premier GeoAgenda de 2023 porte sur la santé mentale en géographie. Notre guest editor Marc Winz introduit le numéro puis propose une interview avec le psychiatre Philippe Conus et le géographe Ola Söderström, qui collaborent sur des projets de recherche visant à comprendre la relation entre villes et psychoses. Puis, l’article de Aurora Ruggeri thématise la question des bienfaits des espaces verts en ville par une approche biosociale. Ensuite, Claire Daugeard présente son étude sur la manière dont l’espace d’une unité psychiatrique impacte le bien-être des patient.e.s et des soignant.e.s. Rebecca Durollet questionne le système de prise en charge des personnes souffrant de troubles cognitifs. Enfin, l’équipe de l’agence (S)CITY de Paris présente son travail, important pour informer les aménagistes de la ville, sur les perceptions sensorielles et la manière dont elles impactent le bien-être des humains. 

Dans la rubrique Autres Contributions, l’article de Julie Grieshaber porte sur la question à savoir si les institutions culturelles, notamment le théâtre, peuvent contribuer à la transition écologique. Puis trois articles sont consacrés à la didactique et l’enseignement de la géographie. Celui de Monika Reuschenbach, Tobias Schifferle et Pascal Tschudi présentent le projet de recherche GeoDigIT qui étudie comment les compétences digitales peuvent être encouragées dans la formation en géographie des élèves du secondaire. Anne-Sophie Gavin propose un article sur la contribution de la géographie scolaire à l’Éducation à la Durabilité, à travers le cas du cours d’eau. Finalement, Karin Huser, Alain Pache et Roger Keller offrent un aperçu d’un projet de recherche-développement bilingue intitulé « Je découvre des paysages ».

Bonne lecture !

Isabelle Schoepfer

Bulletins année 2022

Numéro GeoAgenda 2022/4

GeoAgenda 2022/4

Chère lectrice, cher lecteur

2022/4 est le 30e numéro de GeoAgenda publié depuis sa restructuration en 2016 ! Le Focus est dédié au féminisme noir et aux géographies noires. 

Notre Guest Editor Mélanie-Evely Pétrémont introduit le numéro en situant les approches du féminisme noir, des black geographies et des théories critiques de la race par rapport au contexte social et politique actuel et à la recherche en géographie. S’en suit l’interview de la professeur Patricia Noxolo par John Lyon. Elle y discute notamment la question de l’appartenance à un lieu au prisme de la race. Puis, Polo Moji et Mélanie-Evely Pétrémont proposent une contribution sur le féminisme et la géographie noirs dans la littérature et les films, issue d’une table ronde sur la thématique du genre et de la spatialité de la condition noire. Ensuite, Silvia Wojczewski propose un article illustré de dessins originaux, qui retrace des histoires de vie de femmes afrodescendantes en Allemagne. La contribution de Jovita dos Santos Pinto retrace l'histoire de Tilo Frey, première femme afrodescendante élue au Conseil National en Suisse en 1971. Bansoa Sigam présente ensuite sa recherche avec l’article intitulé « Collections ethnographiques suisses d’Afrique au prisme du matrimoine ». Léa Sallenave soulève la question des sentiments d’illégitimité des personnes noires dans l’espace de supposée liberté que sont les montagnes. Finalement Yannick Rousselot présente sa recherche autour de la question « Comment faire une géographie du racisme hydraulique ? ».

Dans la rubrique Autres Contributions, Moritz Gubler fait un compte-rendu de la conférence «Beating the Heat» qui a réuni les climatologues s’intéressant aux villes.  Urs Kaufmann et Abigaëlle Geng présentent une plateforme d'apprentissage innovante pour l'enseignement de la géographie au niveau secondaire I et II. Kateřina Zäch-Kozlova offre une contribution méthodologique issue de son terrain au Kyrgyzstan, autour des entretiens biographiques. Le numéro se termine par un compte-rendu de l’assemblée annuelle 2022 de l’association de ASEG par leur président, Stefan Reusser.

Bonne lecture !

Isabelle Schoepfer

Numéro GeoAgenda 2022/3

GeoAgenda 2022/3

Chère lectrice, cher lecteur  

À partir de janvier 2023 un nouveau vent soufflera sur les rives du lac de Neuchâtel où siège l'ASG. En effet, après 8 ans de mandat, le bureau de l’ASG va connaître de grands changements.  L’équipe actuelle, avec le président Francisco Klauser et les vice-président.e.s Sara  Landolt et Martin Müller, va céder la place à la nouvelle équipe. Celle-ci sera composée de la présidente Yvonne Riaño et des vice-président.e.s Nora Komposch et Sven Daniel Wolfe.

Ce numéro a pour but de donner la parole à ces personnes merveilleuses qui s’engagent pour la géographie suisse et qui font vivre l’ASG, à travers deux interviews. Un autre changement concerne les graphistes qui s'occupent de la mise en page de GeoAgenda : Nadia de Donno a passé le relais à Gabriel Küenzi.

Goodbye – Hello ! Il est temps de remercier chaleureusement l’ancienne équipe et dire au revoir. Par la même occasion, je souhaite la bienvenue à la nouvelle équipe !  

Trois « Autres Contributions » viennent compléter ce numéro. Jonas Aergerter consacre un article aux défis de la durabilité et la justice à travers une étude de cas sur la mobilité dans les périphéries de Rome. La contribution de Marco Lupatini et Lúcio Botelho présente une collaboration entre des universités suisses et brésiliennes dans le cadre des objectifs du développement durable de l’Agenda 2030 de l’ONU. 

Finalement, une interview avec la présidente de l’association allemande de géographie Ute Wardenga, réalisée par Sara Landolt clôt ce numéro.  

Bonne lecture !  

Isabelle Schoepfe

Numéro GeoAgenda 2022/2

GeoAgenda 2022/2

Chère lectrice, cher lecteur,


Le numéro 2022/2 de GeoAgenda est une Open Issue constitué de 7 contributions. D'abord, Kateřina Zäch propose une discussions sur les méthodes ethnographique, à travers le récit de son travail de terrain réalisé au Kirghizistan. Puis, Aurora Ruggeri traite du rapport que les Seniors ont avec les technologies d'information et de télécommunication, notamment à travers la question des liens sociaux. Après, Noemi Imfeld et Peter Stucki soulèvent la question des canicules en Suisse, en retraçant leur historique jusqu'à la vague de chaleur de l'été 1947.


Trois articles contribuent ensuite à la réflexion autour de la manière d'adapter l'enseignement de la géographie à l’époque contemporaine et au-delà. Celui de Pascal Tschudi propose de repenser les atlas scolaires, et celui de Monika Reuschenbach, soulève la question de la digitalisation et du développement durable. Enfin, Luc Tripet propose le récit d'une expérience inédite : la participation, dans le cadre d'un cours de géographie, d'une classe d’élèves à l'émission radio “Tout est possible”.
Finalement, Sébastien Berthold nous emmène en Amérique latine en nous présentant son Carnet de voyage “Cono Sur (Sin Cabeza)”.


Bonne lecture et bon été !


Isabelle Schoepfer

Numéro GeoAgenda 2022/1

GeoAgenda 2022/1

Chère lectrice, cher lecteur

Alors que les images et la dimension visuelle sont très présentes au sein de la géographie contemporaine – par la cartographie, à travers des méthodes mobilisant la photographie ou simplement comme illustrations dans les articles publiés par les géographes – le son a beaucoup moins fait l’objet de débats et d’attention. C’est pourquoi les Guest Editors Hendrikje Alpermann et Simone Ranocchiari consacrent le « Focus » du premier GeoAgenda de 2022 à la géographie du son.

Dans leur introduction, iels nous invitent à écouter des lieux du quotidiens tels que la ville et le métro, en portant notre attention sur l’invisible pourtant bien présent. Puis, avec Britta Sweers, nous découvrons le soundscape de l’eau dans la ville de Berne. Clotilde Trivin et David Gogishvili nous emmènent ensuite dans le centre de congrès et de culture (KKL) à Lucerne, et nous donnent des clés de lectures pour « écouter » ce fameux bâtiment. S’ensuivent deux interviews avec des professionnel.le.s du son, le compositeur Dragos Tara et l’anthropologue urbaine Kathrin Wildner qui utilisent, dans des contextes différents, le soundwalk respectivement comme outil de travail et comme méthode de recherche. Finalement, Laura Stoffel nous accompagne dans les archives des sons recueillis durant le lockdown de 2020 au début de la pandémie du Covid-19, pour nous initier à une pratique réflexive de l’écoute.

Dans la rubrique « Autres Contributions », l’article de Caroline Broennimann est dédié aux représentations des étudiant.e.s en lien avec le développement durable. 

Bonne lecture, et surtout, ouvrez grand vos oreilles !

Isabelle Schoepfer 

Bulletins année 2021

Numéro GeoAgenda 2021/4

GeoAgenda 2021/4

Le quatrième numéro de GeoAgenda de 2021 vous invite dans l’imaginaire de la géographie. Dans l’introduction, Romain Valadaud et Isabelle Schoepfer développent l’importance de l’imaginaire en géographie, tant du point de vue de la méthodologie que de l’objet d’étude. 

 

A travers l’interview d’Eloi Audoin-Rouzeau, écrivain aux méthodes très géographiques, ce numéro explore ensuite la manière dont un raisonnement géographique soutient la création de mondes imaginaires. Puis, André Ourdenik, avec un récit imaginaire, nous invite à penser le défi impossible de la cartographie : comment représenter les réalités subjectives d’un territoire sur une carte ? Juliet Fall nous incite ensuite, en nous plongeant dans le monde de ses bandes-dessinées, à réfléchir sur l’importance de la posture dans le processus de recherche en géographie. 

 

La contribution de Joëlle Salomon-Cavin s’intéresse à la manière dont la mobilisation de l’imaginaire de la nature, à travers des luttes politiques, change la manière de voir l’environnement urbain. Sylvie Joublot-Ferré, de son côté, nous convie à une rencontre avec les imaginaires géographiques des enfants, à travers une réflexion méthodologique et thématique sur l’espace du Lavaux pour mieux comprendre la diversité des relations humaines à l’espace. 

 

Deux articles dans la rubrique « Autres contributions » complètent ce numéro. Le premier, de Karin Huser, s’intéresse à la représentation de l’espace à travers les métaphores de la langue. Le deuxième est un compte-rendu de la réunion de l’assemble générale 2021 de l’ASEG, écrit par le président de cette association, Stefan Reusser.

 

Finalement, la rubrique MyGeography propose le point de vue de deux géographes qui racontent leur manière de faire de la géographie.

 

Numéro GeoAgenda 2021/3

GeoAgenda 2021/3

2021/3 est une Open Issue riche de six articles.

L’article de Romain Valadaud et d’Olivia Aubriot est guidé par la question de comment les relations de pouvoir et les inégalités sociales peuvent se reproduire à travers la gestion de l’irrigation, en se penchant sur le cas des infrastructures d’irrigation au Népal.

Puis, la contribution de David Gogishvili et Suzanne Harris-Brandts montre comment les nouvelles technologies, en particulier les technologies du spectacle, sont utilisées par l’état du Kazakhstan pour créer une narrative de la modernité dans le but de placer le pays sur la carte mondiale.

Ensuite, Alain Pache, Joël Schwab, Matthieu Valley et Anne-Sophie Gavin exposent les résultats d’une recherche menée entre 2018 et 2021 sur l’usage des MER (moyens d’enseignement romans) dans l’enseignement des sciences humaines et sociales au cycle 3.

L’article de Chiara Bernasconi fait ensuite un état de l’art concernant la migration comme stratégie d’adaptation aux changements climatiques, grand défi de notre époque.

La contribution de Paolo Maggini propose une réflexion autour des relations à repenser entre les humains et les milieux naturels, et le rôle que le service civil suisse peut jouer au sein des organisations de protection de la nature tels que Naturnetz.

Finalement, la rubrique MyGeography propose le point de vue de trois géographes qui racontent leur manière de faire de la géographie.

Numéro GeoAgenda 2021/2

GeoAgenda 2021/2

Le deuxième numéro de GeoAgenda de 2021 présente le large spectre de la géomorphologie suisse. A l’occasion des 75 ans de la Société suisse de géomorphologie, le co-président Nikolaus Kuhn est notre Guest Editor. Il introduit ce riche numéro avant de présenter la société avec l’autre co-président de la Société, Cristian Scapozza. 

S’en suit un article rédigé par Cristian Scapozza qui fait le bilan des connaissances quant à l'évolution à long terme du paysage des Alpes du Sud. Ensuite, Stuart Lane discute les conséquences morphologiques de l'utilisation des plans d'eau pour la production d'électricité.

La contribution de Quentin Vonlanthen et Luc Braillard fait l'inventaire des sites du canton de Fribourg qui ont une signification morphologique particulière, alors que celle de Géraldine Régolini, Sébastien Morard et Amandine Perret présente le site internet sur la géomorphologie des Alpes développé par le Bureau Relief. Dans leurs articles, Christophe Lambiel s’intéresse à l’usage des drones pour le suivi des glaciers rocheux et Andreas Zischg aux outils interactifs dans le domaine de la gestion des risques naturels. Finalement, pour clore ce Focus, la contribution de Nioklaus Kuhn ouvre les horizons de la géomorphologie en nous emmenant aussi loin que la planète Mars !

Deux articles viennent compléter la rubrique « Autres Contributions ». D’abord une interview réalisée par Francisco Klauser, avec Stefan Reusser et Christian Häberling, autour de l'Atlas mondial suisse numérique. Finalement celle de Matthias Probst sur le lien entre les humains et l’eau.

Numéro GeoAgenda 2021/1

GeoAgenda 2021/1

Le Focus du GeoAgenda 2021/1 est dédié à la première phase d’un projet de livre sur divers lieux de la Suisse, racontés par des géographes. Il est initié par les membres actuels du bureau de l’ASG : le président Francisco Klauser, les vice-président.e.s Sara Landolt et Martin Müller et moi-même dans mon rôle de secrétaire générale. Chacun.e d’entre nous y raconte un lieu, à travers une thématique géographique. Nous vous emmènerons donc successivement à la ferme du Bois Genoud vers Lausanne (VD), dans les Bunkers de Valangin (NE), à la salle paroissiale de Wiedikon (ZH) et dans le village de Fresens (NE). Par la suite, environ 25 autres textes de ce type seront rédigés par des géographes afin de poursuivre le voyage géographique à travers la Suisse que nous venons d’entamer.

La rubrique Autres Contributions est riche de six articles. Stefan Brönnimann présente le film « Im Aufwind », qu’il a réalisé en 2020 sur l’histoire de la recherche climatique à l’institut de géographie de l’Université de Berne. Karine Duplan et Elisabeth Militz, leaders du groupe thématique de l’ASG sur la géographie féministe restituent l’événement de lancement du groupe. La contribution de Julie Wee présente les objectifs et les activités de « Girls on Ice », une plateforme intergénérationnelle d’échanges et de communication dédiée aux femmes impliquées dans le monde scientifique. L’article de Samuel Hubert traite de l’évolution des dynamiques territoriales des risques naturels dans la commune de Fully en Valais, sujet de son travail de master réalisé à l’Université de Fribourg. Le dernier texte, écrit par Stefan Reusser et Matthias Probst au nom du VSGG, défend l’intérêt de la géographie et de l’histoire comme disciplines indispensables dans l’enseignement gymnasial.

Bulletins année 2020

Numéro GeoAgenda 2020/1

GeoAgenda 2020/1

Le premier GeoAgenda de 2020 est dédié aux études urbaines en Suisse. Le Focus est coordonné par Sven Daniel Wolf et Julio Paulos, leaders du groupe « Etudes urbaines », l’un des 10 groupes thématiques de l’ASG.

Ces auteurs cosignent l’introduction du numéro, dont l’objectif est de présenter la diversité de la recherche urbaine réalisée dans les départements de géographie des universités suisses ainsi que dans les écoles polytechniques fédérales. L’ambition de cet inventaire en 2020 est aussi d’encourager la mise en réseau des chercheuses et chercheurs qui partagent un intérêt pour les problématiques urbaines en Suisse.

Neuf articles sont consacrés aux départements de géographie des Universités de Berne, Zurich, Neuchâtel, Bâle, puis de l’Université de la Suisse italienne, de Genève et Lausanne. Finalement le laboratoire de sociologie urbaine de l’EPFL et les études urbaines à l’EPFZ sont présentés.

Le Focus est enrichi par un article de Thomas Ingold dans la rubrique « Autres contributions ». Il propose une réflexion autour de l’utilisation des Systèmes d’informations géographiques (SIG) dans le cadre de l’enseignement de la géographie.

Numéro GeoAgenda 2020/2

GeoAgenda 2020/2

GeoAgenda 2020/2 est dédié aux associations internationales de géographie. Francisco Klauser, président de l’ASG, a exprimé, lors de la dernières assemblée des délégué.e.s de l’ASG, notre intention d'établir et d'approfondir des contacts internationaux, dans le but de positionner l’association sur le plan international.

Ce numéro est composé d’un article introductif écrit par Francisco Klauser ainsi que de trois interviews, qui offrent un aperçu de différents mondes de la géographie internationale. La première interview est réalisée avec Zoltán Kovács le président de la European Association of Geographical Societies (EUGEO). La deuxième est réalisée avec David Kaplan, le président de l’Association of American Geographers (AAG). Finalement, la troisième relate une conversation avec Suresh Chand Rai, le président de la National Association of Geographers India (NAGI).

Quelles sont les buts, les activités et les défis de ces associations ? Quelles sont les motivations qui mènent une personne à s’engager comme président.e d’une association de géographie ? Telles sont les questions autour desquelles se structurent les échanges avec nos invités.

Dans la rubrique « Autres contributions » l’article de Nadia Lausselet est dédié à la question de la formation des enseignant.e.s de géographie, dans leur tâche, donnée par le plan d’étude, d’accompagner les élèves dans l’apprentissage des enjeux de durabilité mondiaux actuels.

Numéro GeoAgenda 2020/3

GeoAgenda 2020/3

GeoAgenda 2020/3, est une « Open Issue », qui remplace l’habituel dossier thématique « Focus ». Elle est constituée de cinq contributions libres.

La première contribution, de Moritz Burger et Moritz Gubler, s’intéresse à la recherche urbaine du point de vue de la climatologie, en partant sur les traces de la température mesurée dans la ville de Berne surveillé depuis 50 ans.

Le deuxième article est écrit par Cécile Pellet et Jeannette Nötzli, responsables du réseau suisse d’observation du pergélisol PERMOS. Il expose les résultats saillants documentés depuis 20 ans qui démontre le réchauffement du pergélisol en Suisse.

Puis, deux contributions de Kathrin Schulman sont en lien avec l’enseignement de la géographie. La première présente quelques résultats issus de plusieurs travaux de masters portant sur la transmission et l’acquisition de concepts géographiques. La seconde présente « Au cœur des paysages suisses », une plateforme d’apprentissage innovante destinée aux élèves de la 8ème à la 12ème année scolaire.

Finalement, le dernier article présente les motivations et les visions d’avenir des jeunes géographes qui s’engagent pour la géographie à travers le groupe thématique des JUGS (Junge Geographie Schweiz), actif auprès de l’ASG.

Numéro GeoAgenda 2020/4

GeoAgenda 2020/4

Nous consacrons le focus du dernier numéro de GeoAgenda de l’année au sujet qui a marqué 2020 : la pandémie de covid-19. Les guest editors Maren Larsen et Sara Landolt ont coordonné un dossier riche de 6 contributions.

La première contribution, écrite par Maren Larsen, ouvre le débat sur la géographie et la pandémie de covid-19. La seconde, par Manuel Wirth et Xavier Balaguer Rasillo s’intéresse à l’économie alternative dans le cas des Ecoxarxes en Catalogne comme réponse à l’effondrement des chaines de productions mondiales, suite aux conséquences économiques du covid-19. La troisième, par Johanna Herrigel, Sarah Schilliger, et Silva Lieberherr s’intéresse aux problématiques, liées au travail agricole effectué par des migrant.e.s, émergeant sous covid-19.

La quatrième, par Sara Landolt et Holger Frey explore la question du travail à domicile et de la distanciation sociale auprès des étudiant.e.s universitaires suisses. Reprise d’un article du blog Gender Campus, la cinquième, éditée par Carolin Schurr, Heike Mayer, et Andrea Winiger traite des effets genre dans les situations des académicien.nes engagé.es dans le domaine des soins dans le contexte de la pandémie. Finalement, l’essai visuel de Giulia Scotto illustre par des photographies prises à Zurich, la manière dont les corps sont pensés et régulés à travers de nouveaux signes et symboles, ainsi que le langage visuel de la résistance.

Dans la rubrique Autres Contributions, l’article de Karin Huser, Petra Breitenmoser, Norman Backhaus et Roger Keller thématise la notion de paysage, et son importance à tous les niveaux scolaires. Pour clore ce numéro, un article présente Critical Scientists Switzerland, une association qui promeut la recherche scientifique indépendante sevrant l’intérêt public.

Bulletins année 2019

Numéro GeoAgenda 2019/1

GeoAgenda 2019/1

GeoAgenda 2019/1 est dédié à la géographie féministe. Les Guest Editors Sara Landolt et Marina Richter proposent en introduction un état de l’art de la géographie féministe en Suisse. Jasmine Truong et Carolin Schurr présentent ensuite le nouveau groupe de recherche “Geographies of the global intimate” de l’institut de géographie de l’Université de Berne. Isabella Stingl offre une contribution sur la production de connaissances scientifiques féministes au sein de la recherche sur les migrations. Jennifer Steiner, Karin Schwiter et Anahi Villalba introduisent le projet de “Live-in care“, liant le travail de soins à domicile et la migration internationale. Susan Thieme et Marina Richter proposent, quant à elles, une analyse intersectionnelle des compétences du personnel médical dans les hôpitaux au prisme du genre et du parcours migratoire. Kathrin Naegeli et Marlene Kronenberger présentent le programme “Girls on Ice“. Enfin, Karine Duplan et Elisabeth Militz font un résumé du workshop “Bodies, space and difference in the global intimate“ qui s’est tenu lors du Swissgeosciences Meeting 2018.

Dans la rubrique « Autres Contributions », Suzy Blondin nous emmène dans la vallée du Bartang au Tadjikistan. Juliane Krenz présente un guide pratique de l’étude du sol, en tant qu’expérience d’enseignement de la géographie. La contribution de Itta Bauer propose de penser au-delà des frontières disciplinaires de la géographie et de la didactique. Finalement, Stephanie Summermatter et Peter Stucki discutent des enjeux liés aux inondations en Suisse, à partir d’une perspective historique remontant à 1868.

Numéro GeoAgenda 2019/2

GeoAgenda 2019/2

2019 est l’année du 250e anniversaire de la naissance d’Alexander von Humboldt, à qui nous dédions ce numéro de GeoAgenda. Stefan Brönnimann und Jeannine Wintzer ont préparé un Focus riche, qui commence par une interview avec Oliver Lubrich nous invitant à relire Humboldt. Ensuite, Sarah Bärtschi vient contredire l’idée présentant Humboldt comme le dernier des savants universels. Puis, Heinz Veit nous initie à des pratiques de recherche humboldtiennes concrètes inspirées par la géographie et l’écologie du paysage. Par son article « Rattacher le visible à l’invisible : le monde sous l’oeil d’Alexander von Humboldt », Alexandre Chollier propose des visions pour une pratique cartographie renouvelée. Les deux contributions suivantes, de Stefan Brönnimann et de Martin Claussen, s’inscrivent dans le débat sur l’intérêt de Humboldt porté au climat. L’article de Jeannine Wintzer s’intéresse au Humboldt-Forum et à l’héritage colonial en Allemagne, complété par une interview avec Johannes Wien du Humboldt-Forum. Puis, Hans Baumgarten suggère une réflexion, chère à Humboldt, autour du rapport entre les humains et la nature.

Finalement, la contribution de Stephan Rist met en relation Humboldt, Marx et la géographie intégrative. Deux « Autres contributions » du domaine de la géographie scolaire viennent enrichir ce numéro. La première, de Julien Bachmann est intitulée « Cartographie 2.0 et apprentissage de la géographie au secondaire I ». La seconde présente les motivations de la mise en place de l’exposition « Vom Globus zum Zweikugelfisch », basée sur le principe de l’auto-activité des élèves.

Numéro GeoAgenda 2019/3

GeoAgenda 2019/3

GeoAgenda 2019/3 est consacré aux sociétés régionales de géographie. Membres de l’ASG, elles représentent des éléments fondamentaux pour la géographie Suisse, faisant le pont entre le monde académique  et la société. Depuis plus d’un siècle, elles s’investissent pour la reconnaissance de la géographie comme discipline, dans le milieu universitaire et au-delà.

Un texte introductif, écrit par Elisabeth Bäschlin et Max Maisch propose un survol de l’histoire des sociétés régionales de géographie. Il expose leurs raisons d’être ainsi que les défis auxquels elles sont confrontées. S’en suivent les présentations des sociétés de Genève, Berne, Saint-Galles, Zürich, Bâle, Neuchâtel et du Tessin. Ces articles mettent en lumière la diversité des sociétés régionales de géographie en Suisse et des activités qu’elles poursuivent. Le dossier se termine par une interview avec Samuel Notari, un jeune membre de l’association tessinoise.

Dans la rubrique « Autres Contributions », Marco Lupatini propose une réflexion autour de la manière dont l’enseignement de la géographie contribue à former une prise de conscience de l’espace publique. Stefan Reusser s’intéresse également aux compétences que les élèves acquièrent dans le cadre des cours de géographie, notamment au sujet du développement durable.

Numéro GeoAgenda 2019/4

GeoAgenda 2019/4

GeoAgenda 2019/4 est une « Open Issue », qui remplace l’habituel dossier thématique « Focus ». Elle est constituée de six contributions libres. La première contribution, de Jérémie Sanchez, expose les défis liés à l’urbanisation et à la gouvernance urbaine au Myanmar. Puis, Patrick Rérat, Lucas Haldimann, et Alexandra Stam présentent les résultats d’une enquête concernant la mobilité temporaire de jeune suisses et suissesses. L’article de Sarah Morard discute ensuite la question de la modélisation à l’aide de méthodes géophysiques, dans le but de décrire le sous-sol, en particulier le permafrost. La contribution de Samuel Burri soulève la question de la « Digital Literacy », c’est-à-dire les compétences liées aux technologies d’information et de communication, dans la planification des cours de géographie des futur·e·s enseignant·e·s. Carinne Domingos et Cecilia González, assistantes-doctorantes en géographie à l’Université de Genève, offrent une réflexion autour des problématiques liés au monde académique, soulevées par la grève des femmes du 14 juin 2019. Finalement, Mirjam Sager propose un compte rendu des olympiades de géographie 2019, qui ont eu lieu à Hongkong, et lors de laquelle les jeunes suissesses et suisses ont remporté trois médailles de bronze.

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