Spécialisation Automne 2018 (Brayan, Micael, Laura, Ryan, Justine, Céline H., Mallory, Vincent, Marcel Burger, Laura, Camille; absent: Maël, Céline S.; Ivana, Marine)
| Joséphine - diplômée en 2018
| Elodie - diplômée en 2018
| Ryan - diplômé en 2019
| Kevin - diplômé en 2018
| Lucile - diplômée en 2018
| Rachele - diplômée en 2016
| Antoinette - diplômée en 2011
| Valentin - diplômé en 2011
| Ivana - diplômée en 2011
| Gilles - diplômé en 2010
Spécialisation Automne 2018 (Brayan, Micael, Laura, Ryan, Justine, Céline H., Mallory, Vincent, Marcel Burger, Laura, Camille; absent: Maël, Céline S.; Ivana, Marine)
Titulaire d’un MA de français moderne de l’UNIL, j’ai choisi cette spécialisation car elle apporte une dimension concrète à des études de Lettres qui peuvent parfois s’attacher à des objets d’étude éloignés de la réalité. Les interactions verbales, les discours politiques, la communication publique, médiatique ou encore digitale façonnent le monde dans lequel tout un chacun est amené à évoluer. J’ai dès lors trouvé beaucoup de pertinence dans les travaux qu’il m’a été donné de réaliser sur ces questions actuelles.
Par ailleurs, cette spécialisation invite les étudiants à s’interroger sur leur parcours durant leurs années d’étude et sur les opportunités qui s’ouvrent à ceux sur le point de finir leur carrière académique. Ainsi le programme prépare au monde extérieur en aidant les intéressés à produire un discours d’auto-évaluation en mettant en lumière les compétences acquises.
Cet aspect théorique s’incarne véritablement dans le stage que j’ai, pour ma part, fait dans une rédaction de journal indépendant, à Lausanne. Immergée dans le monde professionnel, j’ai dû simultanément tenir un carnet de bord qui a agrémenté mon expérience d’une dimension réflexive non sans intérêt : j’ai ainsi directement évalué les bénéfices de ce stage, jaugé mes attentes en début et fin de stage et apprécié les compétences acquises au fil des semaines.
Ce stage m’a permis d’exploiter une dimension créative, le travail d’écriture et de prospection propre au journalisme (caractéristiques qui m’étaient chères) tout en me spécialisant dans un domaine particulier, loin de la frénésie des rédactions informationnelles et de l’actualité en continu qui ne me plaisaient pas.
Dans le cadre de mon Master en français moderne et espagnol, j’avais envie d’acquérir des connaissances liées à la communication publique – en particulier politique – et à la rédaction de contenu destinés à la diffusion en ligne et hors-ligne, j’avais également envie de mettre en pratique mes acquis académiques et de préparer au mieux la transition entre les études universitaires et le monde professionnel. Cette spécialisation a vivement rempli ces attentes, notamment en enrichissant les activités politiques menées hors de l’université et en élargissant mes horizons professionnels.
Les enseignements dispensés ont permis de se familiariser aux enjeux de la communication médiatisée, à l’argumentation en contexte politique et aux enjeux de la confrontation sur la scène publique. L’aspect multilingue de la spécialisation avait été un paramètre décisif au moment de me décider : la mobilisation et la conséquente amélioration de compétences linguistiques en allemand et anglais ont été plus que bienvenues, ne les ayant que très peu utilisés au cours de mon parcours universitaire.
Un autre aspect important à mes yeux était lié au traitement de problématiques concrètes, quotidiennes, et la possibilité d’allier la théorie à la pratique. Engagée politiquement dans ma commune, la spécialisation était une occasion de lier l’universitaire au non-universitaire. Au début du programme, la possibilité de collaborer comme assistante parlementaire m’a été donnée, et cette activité a été pleinement enrichie et favorisée par le parcours de la spécialisation.
Le programme témoigne d’un aspect professionnalisant qui a été très important dans mon choix de départ. La réflexion menée sur les compétences acquises au cours du parcours académique et leur valorisation en fonction des perspectives futures nous prépare à la recherche d’un emploi. Aussi, un stage à l’Académie suisse des sciences sociales et humaines (ASSH) à Berne, proposé par la SPEC, a été l’occasion d’acquérir pour la première fois une véritable expérience professionnelle, ceci en contexte plurilingue. A l’issu du stage, l’opportunité m’a été offerte de continuer de travailler dans l’administration de l’Académie, me permettant ainsi d’avoir déjà un pied dans le monde professionnel. J’y travaille toujoursà temps partiel, m’occupant de la mise en page de publications et de l’organisation d’événements, et mon pourcentage sera étendu dès la fin des études pour des tâches de rédaction.
Afin de rendre mon CV plus compétitif et attirant pour de futurs employeurs, par rapport à un “simple” Master à 90 crédits, j’ai opté pour une spécialisation : parmi les programmes offerts, la SPEC en Analyse de Discours et Communication Publics était celle qui me parlait le plus. En effet, ayant un intérêt personnel pour les sciences du langage, et en particulier les applications forensiques, cette spécialisation m’apporterait le plus de savoirs et d’expériences pertinents pour mes intérêts personnels.
J’ai achevé le programme en deux temps : au cours de l’été 2018, j’avais pris le temps de réfléchir à mon avenir du point de vue professionnel, et décidai de saisir l’opportunité proposée d’entreprendre un stage. Mon raisonnement était que si je pouvais bénéficier d’une expérience professionnelle avant même d’avoir fini mes études, cela rendrait mon profil plus attractif.
J’ai mené mes recherches afin de trouver moi-même un stage. Ayant un intérêt pour le domaine du renseignement et de la surveillance, j’ai d’abord pensé à la police fédérale (FEDPOL), mais la longueur des stages proposés par cette organisation publique était généralement bien plus longue que 3 ou 4 semaines. J’ai fini par trouver une entreprise privée basée à Zürich, I-intelligence GmbH, spécialisée justement dans le domaine de la collecte et l’analyse de renseignements, qui enseignait ces pratiques à un nombre d’institutions en Suisse et à l’étranger ancrées tant dasns le privé (banques, assurances, etc) que dans le public (polices cantonales, FEDPOL, école militaire de l’OTAN à Oberammergau, etc).
En stage, mon travail a consisté à contribuer au développement des projets commerciaux de I-intelligence. Comme l’entreprise était petite, et comme le personnel était la plupart du temps à l’étranger, mon travail était réalisé sur mon ordinateur personnel de manière autonome, et en parallèle des cours suivis à l’UNIL. Satisfait de mes services, le directeur me donnait régulièrement son feedback. En guise de récompense, j’ai été invité à participer à un séminaire sur 6 jours à Zürich, qui tournait autour de la recherche, la collecte et de l’analyse de renseignements publics (OSINT). Les nouveaux savoirs acquis pendant cette formation étaient d’une grande valeur pour moi, autant au niveau personnel que professionnel, et constituent très clairement un atout pour mon CV et mes futurs dossiers de candidature.
J’ai choisi le programme de spécialisation « Analyse des discours et de la communication publics » car il répondait a priori à mon désir de l’époque de conjuguer mon intérêt personnel pour les langues et mes connaissances théoriques en sciences sociales : comment les acteurs sociaux utilisent-ils les ressources linguistiques à leur disposition pour transmettre un message ?
Le programme m’a permis d’entamer une réflexion sur mes propres compétences de communication en me donnant les outils nécessaires pour décrypter les stratégies et les enjeux inhérents aux discours présents dans l’espace public. Autrement dit, en étudiant comment se construisent les discours, j’ai appris à communiquer plus efficacement et, en particulier, à diversifier mes compétences rédactionnelles et à adapter mon expression écrite et orale à des publics cibles.
À cet égard, j’ai pu mettre à profit ces connaissances lors de mon stage auprès de l’Académie suisse des sciences sociales et humaines (ASSH), à Berne, un environnement plurilingue stimulant où je me suis occupé de tâches de communication interne et externe. Une structure comme celle de l’ASSH illustre particulièrement bien la nécessité de penser la communication comme faisant partie du processus d’élaboration du discours même. En effet, je devais collaborer avec des personnes aux profils et aux formations très différents en vue d’un but commun – à savoir la promotion des sciences humaines et sociales –, et il était essentiel que j’adapte au quotidien mes ressources de communication afin de me faire comprendre.
Si mon expérience de stage m’a conforté dans ma volonté de travailler dans des milieux multiculturels et plurilingues, elle m’a surtout rendu attentif à l’omniprésence des enjeux relatifs à la communication dans les milieux professionnels : la portée de cette spécialisation se révèle alors bien plus importante, car savoir communiquer est une compétence que l’on peut faire valoir quel que soit le domaine professionnel.
Je souhaitais un Master qui me permettrait de me diriger vers le domaine des relations publiques. Par mon parcours en littérature française, il m’a paru évident d’aborder ce domaine par les aspects linguistique et médiatique. La spécialisation en Analyse des discours et de la communication publics s’imposait comme une évidence car elle représentait un aboutissement académique : à elle seule tous les domaines d’études que j’avais pu explorer jusque-là étaient réunis avec une dimension plus spécifique. De plus, ce programme représentait un formidable pont entre le domaine académique et le monde professionnel grâce au stage qu’elle permettait de réaliser. Les cours que j’ai pu y suivre, quant à eux, m’ont permis de comprendre toute la complexité des discours publics.
Désireuse de faire une première expérience professionnelle pouvant avoir un effet concret sur la suite de ma carrière, j’ai choisi un stage de six mois, et j’ai eu la chance travailler au service de presse des Éditions du Seuil à Paris. Ce stage m’a d’abord rassurée sur mes capacités, me faisant réaliser que mon parcours m’avait préparée de façon optimale au monde professionnel. En relation directe avec la directrice de la communication et les attachées de presse, j’avais pour mission de les assister au quotidien dans la réalisation des dossiers de presse ou des différents communiqués émanant de la maison d’édition. Mes acquis en communication m’ont permis d’être rapidement en charge de dossiers importants : pour la rentrée littéraire, j’étais en lien direct au jour le jour avec les journalistes et les professionnels du milieu pour la promotion des auteurs dont j’avais la charge. J’ai aussi eu la chance de me familiariser de près avec le monde médiatique en accompagnant les écrivains sur les plateaux de télévision ou en radio pour assurer la promotion de leurs livres.
Cette spécialisation m’a amené une solide confiance dans mes capacités et m’a confortée dans mon envie de travailler dans le domaine des relations publiques. Je projette de réaliser un second stage dans le domaine dans une organisation internationale avant de me positionner plus spécifiquement sur le marché du travail.
Après un diplôme obtenu à l’Université Catholique du Sacré-Cœur de Milan, j’ai choisi, pour mon MA, l’Université de Lausanne pour son environnement plurilingue et multiculturel de haute qualité. La spécialisation en Analyse des Discours et de la Communication Publics a tout de suite attiré mon intérêt, car elle aboutissait à un stage pratique dans le domaine de la communication et des relations publiques.
Les compétences acquises en spécialisation et le stage que j’ai pu mener auprès de l’Académie Suisse des Sciences Humaines et Sociales à Berne a contribué à développer mon intérêt pour le domaine de la communication. Après mon cursus, j’ai commencé à travailler à Milan à l’agence de mode Major Model Management où j’ai participé à l’organisation de la Green Fashion Week. J’ai notamment eu l’opportunité d’organiser trois éditions : à Milan, à Los Angeles et Las Vegas, puis à Rome.
J’ai ensuite reçu une offre de travail à Genève en tant que Communication Associate au sein de Campus Biotech, un centre d’excellence suisse en Biotechnologie et en Sciences de la vie, en collaboration avec des partenaires et des institutions de renommée mondiale dont l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), l'Université de Genève (UNIGE), la famille Bertarelli et Hansjörg Wyss. Depuis mai, je m’occupe donc de promouvoir l'image de Campus Biotech, en consolidant sa marque et en élaborant des stratégies de marketing et de médias sociaux.
Mon Bachelor ès Lettres (allemand et italien) en poche, je souhaitais que mon Master porte sur un domaine concret et actuel, intégrant mes acquis en langues et ayant un lien direct avec le monde du travail. Le Master en Sciences du Langage et de la Communication répondait exactement à mes besoins, me permettant de tisser des liens entre mes acquis en linguistiques allemande et italienne et des enseignements proposés dans divers domaines des sciences du langage. A la suite de mon Master, la spécialisation en Analyse des discours et de la communication publics a été pour moi une véritable opportunité : un pont entre l’université et le monde professionnel. Ses cours, variés et ancrés dans l’actualité, m’ont montré la complexité et appris quels étaient les enjeux d’une communication publique et plurilingue. En plus de connaissances et de compétences spécifiques, cette spécialisation m’a également offert des ressources techniques utiles au monde du travail, comme la transcription et le codage de corpus.
Le stage, proposé en programme de spécialisation, est à lui seul un pont qui mène au monde du travail. Il m’a donné la possibilité de me confronter à la vie active et de me faire des relations qui faciliteront mon insertion professionnelle. Il m’a permis de confronter les connaissances théoriques apprises à l’université au monde de la pratique dans un univers riche et plurilingue. J’ai ainsi passé cinq semaines à l’Académie Suisse des sciences humaines et sociales établie à Berne où – en plus d’avoir un aperçu général d'une organisation d'encouragement à la recherche – j’ai pu faire de la traduction, de la recherche d’information et m’occuper des relations publiques. Ce stage m’a donné de l’assurance quant à ma capacité d’appliquer les compétences acquises à l’université dans un contexte professionnel. Il m’a aussi permis de me questionner sur mes attentes par rapport au monde du travail, tout en m’y projetant.
A la suite de cette formation, je souhaite travailler dans le domaine de la communication. Grâce au stage, qui m’a aussi montré les contraintes du monde du travail, je sais mieux ce que je veux et où j’ai envie de travailler. J’envoie mes candidatures à des endroits variés : des centres consacrés au plurilinguisme, des offices cantonaux et fédéraux ou encore des agences de communication. Je ne me fais pas trop de soucis en ce qui concerne mon avenir professionnel, car je pense que cette spécialisation ouvre de nombreuses portes : le monde du travail a besoin de spécialistes en communication publique.
Lorsque je me suis inscrit en cursus de spécialisation, j’étais sur le point d’achever ma licence ès Lettres. N’ayant plus qu’à rédiger mon mémoire de philosophie, entamer une formation de spécialisation était idéal dans la mesure où cela me permettait de terminer la rédaction de mon mémoire tout en restant en contact avec le monde académique. Par ailleurs, comme elle me permettait de m’initier au fonctionnement médiatique dans sa globalité, cette spécialisation répondait à mes attentes du moment.
Le programme – axé sur des analyses ciblées de discours publics – m’a donné l’opportunité de mettre en pratique mes acquis théoriques par le biais d’un stage qui m’a amené à rédiger plusieurs articles pour le compte d’un quotidien suisse romand. Un tel stage a été l’occasion d’acquérir l’expérience professionnelle exigée des jeunes diplômés par les employeurs tout en me ménageant un accès facilité à des secteurs comme le journalisme, la communication ou encore les relations publiques.
Après l’obtention d’une demi-licence en Langue et Littérature anglaise à l’Université de Belgrade et quelques années d’expérience professionnelle dans le domaine de la traduction, j’ai eu l’opportunité d’approfondir mes connaissances dans trois disciplines – Anglais, comme branche principale, Histoire de l’art et Français (Ecole de Français Moderne) – à l’Université de Lausanne.
Suite à la défense d’un mémoire en linguistique anglaise pour l’obtention d’une Licence ès Lettres, j’étais désireuse de poursuivre ma formation dans le domaine de la communication verbale par une spécialisation en Analyse des Discours et de la Communication Publics. Dans le cadre de ce cycle de spécialisation interdisciplinaire du Master ès Lettres, j’ai eu l’occasion de m’interroger sur l’analyse des interactions verbales et de mettre en œuvre différentes approches méthodologiques quant aux stratégies communicationnelles observées en communication publique et plurilingue. Ce faisant, je me suis également familiarisée avec les types de marques langagières de l’argumentation dans le contexte économique. Une telle démarche théorique m’a beaucoup servi lors de ma préparation à l’expérience de stage, choisie parmi les sous-modules du travail personnel concluant la formation.
Mon stage au sein de l’unité de communication du Bureau de Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à Genève était une opportunité de découvrir l’univers d’une organisation internationale et de travailler dans un environnement multiculturel. Il m’a permis d’appliquer les connaissances acquises et a contribué à ma formation en tant que conseillère en communication plurilingue. Dans le cadre de mon stage, il m’a été demandé de mettre en œuvre certaines stratégies de communication afin d’attirer l’attention des partenaires potentiels et de les convaincre de soutenir cette organisation dans ses initiatives de développement à travers le monde. Communiquer les succès du PNUD afin de créer de nouveaux partenariats implique de rechercher les manières les plus efficientes d’informer et de persuader les différents publics auxquels s’adresse l’organisation. Cet objectif m’a conduite à être responsable de la rédaction des articles bilingues pour l’agence médiatisant les réalisations du PNUD et, plus généralement, des Nations Unies.
En tant que conseillère en communication publique et plurilingue, avec les qualifications académiques appropriées et un désir d’exceller dans ce domaine, je souhaite aujourd’hui pouvoir mettre en œuvre mes compétences dans le cadre d’une agence de communication ou d’une organisation internationale, institution ou entreprise. Je suis notamment intéressée à pratiquer mon activité professionnelle dans le secteur de la communication ou des relations publiques plurilingues en prenant en compte les spécificités des différents moyens de communication, médias traditionnels, sociaux et internet. Ayant développé d’importantes compétences dans les domaines de la multiculturalité et du plurilinguisme lors de mon cursus de spécialisation, je suis extrêmement attentive aux enjeux de la diversité des langues et à la manière de gérer celles-ci en regard des stratégies communicationnelles déployées. Il me plairait ainsi également de soutenir une entreprise dans l’organisation d’événements de communication (conférences, séminaires, exhibitions, etc.) et dans le lancement de publications multilingues.
Après un Baccalauréat ès Lettres en Français Moderne, en Sciences de l’information et de la communication et Histoire à l’université de Lausanne et à l’université de Neuchâtel, des intérêts scientifiques pluriels et diverses expériences professionnelles m’amenèrent à effectuer un programme de Master en Français et en Sciences du langage et de la communication. Pointant les phénomènes de communication verbale en contexte, cette formation me conduisit à réaliser un mémoire portant sur les relations entre argumentation et narration dans le discours publicitaire. Quoique j’eusse, à cette époque déjà, un pied dans la vie professionnelle de par mes activités de journaliste, l’expérience de recherche fournie par ce travail de fin d’étude me motiva à m’inscrire en programme de spécialisation.
De fait, le programme de spécialisation en Analyse des Discours et de la Communication Publics répondait à deux attentes préalables : il offrait une formation pointue en communication publique et proposait à l’étudiant d’évoluer dans un environnement de formation plurilingue. Privilégiant une approche interdisciplinaire des discours, la spécialisation me permit de développer des compétences tournées vers les pratiques professionnelles de communication tout en me donnant la possibilité de développer une réflexion sur ces savoir-faire eux-mêmes. En outre, le contact avec des chercheurs provenant de traditions académiques différentes et préoccupés par d’autres questions élargit mon champ de vision et m’ouvrit à de nouveaux domaines de connaissance. Préférant l’expérience « recherche » à la voie pré-professionnalisante, je pus me familiariser en fin de cursus au monde de la recherche et développer de nouvelles compétences : rédactionnelles et scientifiques.
Je suis aujourd’hui responsable de recherche à l’Université de Lausanne. Depuis janvier 2010, je travaille à l’élaboration d’un Portfolio électronique destiné aux étudiants en programme de spécialisation en Analyse des Discours et de la Communication Publics. Mes activités de recherche se concentrent par ailleurs sur des questions de communication publique, notamment par le biais d’un projet interdisciplinaire pour lequel j’analyse un corpus de discours institutionnels (brochures, dépliants, affiches, placards) délivrés en trois langues par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans les récentes campagnes de promotion du don d’organes.
Parallèlement à ces activités scientifiques, je suis mandaté comme conseiller en communication par l'Antenne des Diététiciens Genevois (ADiGe) depuis juin 2008. Je collabore également avec le trimestriel Point de Mire, la tribune indépendante des entrepreneurs de la finance, comme journaliste en communication depuis juillet 2005.