L’étudiant·e établit d’entente avec le conseiller aux études un contrat d’études ("learning agreement"). Ce document a une valeur contractuelle et sert à déterminer quels enseignements, quelles évaluations et quels crédits de l’université hôte la FTSR s’engage à reconnaître comme équivalents à des enseignements, évaluations et crédits dans le cursus de l’UNIL et dans quelles parties, quels modules, sous-modules de celui-ci.
Dans le cas d’un programme d’études hors FTSR, comme une mineure externe dans le cadre du Bachelor en sciences des religions, un second contrat est requis pour des équivalences dans ce programme. Dans ce cas, il faut veiller au respect du nombre de crédits qu’il est permis de valider en totalité (cf. ci-dessus et directive).
On trouve ce document sur la fiche de l’accord. Au départ, il s’agit d’un document provisoire, mais précis, indiquant la liste des cours que l’on souhaite valider à l’étranger. Cela suppose qu’il faut consulter l’offre de cours de l’université d’accueil. Dans la phase de préparation, soit avant le séjour mobilité, on fait comme si cette offre serait la même au moment du séjour lui-même.
Le but est d’établir une équivalence structurelle avec le plan d’études UNIL, en tenant compte des critères suivants :
- Niveau: BA / MA ;
- Contenu / type d’enseignement: discipline, champ, approche, langue, etc. ;
- Crédits ;
- Respect du nombre de crédits en fonction de la durée de l’échange ;
- Intégration dans les modules !
Ce dernier critère implique donc qu’il faut aussi bien connaître son cursus à l’UNIL.
D’une manière générale, on cherche à remplacer des cours UNIL par quelque chose d’équivalent et pas par quelque chose de forcément identique.
Le contrat d’études doit donc être discuté avec le conseiller aux études, qui le signe dès qu’il estime que le programme est cohérent.
Une fois sur place l’offre de cours peut avoir changé et il est nécessaire de mettre à jour le contrat (cf. ci-dessus).