<Collaborateur·trice IGD concerné·e> | <Titre de l'article ou de l'émission> | <Date> | <Média>
« Débat entre Elisabeth Baume-Schneider, conseillère aux Etats (PS/JU), membre de la Commission de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de l'énergie, et Julia Steinberger, professeure en économie écologique à [l'Instiut de géographie et durabilité] de l'Université de Lausanne, membre de l'association "Degrowth Switzerland"» (rts.ch).
Avec la participation de Samantha Sithole, assistante-doctorante à l'Institut de géographie et durabilité et co-autrice de l'article paru récemment dans l'« Anthropological Journal of European Cultures ».
« L’idée d’un revenu de transition écologique [pensé initialement par Sophie Swaton, Maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité] commence à faire son chemin dans les milieux économiques, sociaux et politiques. Encore embryonnaire, le projet pourrait bien constituer un des piliers du paradigme durable que l’on doit impérativement atteindre. Explications…».
« Alors qu’une association en faveur de la décroissance vient de voir le jour en Suisse, Julia Steinberger en est convaincue: l’être humain n’a d’autre choix, pour assurer son avenir, que de viser la décroissance, en diminuant notamment la consommation. Un plaidoyer qui s’adresse principalement aux pays riches, dont la Suisse bien entendu, et que détaille pour Heidi.news la professeure en économie écologique à l’Université de Lausanne et auteure principale du rapport du 3e groupe du Giec, attendu pour le printemps 2022…».
« Selon la carte de l'OCDE, la Suisse pourrait manquer d'eau dans un futur très proche. Avec Trash Talk, on a voulu comprendre pourquoi …».
Avec la participation de Marianne Milano, hydrologue à l’Institut de géographie et durabilité (IGD), Nathalie Chèvre, ecotoxicologue et membre associée de l'IGD et Frédéric Pitival, directeur de l'association id-eau.
« Alors que Meyrin (GE) vient d’annoncer la création prochaine d’un revenu de transition écologique, plusieurs cantons sont aussi intéressés. Interview de sa conceptrice, la philosophe et économiste Sophie Swaton [Maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité] ».
« Invité : Christian Arnsperger, Professeur en durabilité et anthropologie économique au sein de l'Institut de géographie et durabilité (IGD) de la Faculté des géosciences et de l'environnement (FGSE) à l’Université de Lausanne, auteur de Écologie intégrale: pour une société permacirculaire (avec Dominique Bourg, PUF, 2017) et Éthique économique et sociale (avec Philippe Van Parijs, La Découverte, 2003) ».
Avec l'éclairage de Muriel Delabarre, Maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité (IGD) et directrice de l'Observatoire de la ville et du développement durable de l'UNIL (OUVDD).
« Pas de business sans place de parc. Tel fut longtemps le slogan des commerçants. Au gré des nouvelles politiques de mobilité, mais aussi des nouvelles habitudes de consommation, la voiture a cependant perdu du terrain dans nos bourgs. Décryptage ».
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
L'article est paru dans la version imprimée du quotidien « La Côte » du 6 décembre 2021.
« En soutenant que les tribunaux doivent écouter la science et acquitter les activistes du climat, six chercheurs et chercheuses [dont Julia Steinberger, professeure à l'Institut de géographie et durabilité] sont-ils sortis de leur rôle? Ils s’en défendent ».
Avec la participation de Mélanie Clivaz, chargée de recherche à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Martin Müller, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec Michel Marthaler, géologue, professeur honoraire de l'Institut de géographie et durabilité (UNIL) et co-auteur du guide géologique « Zermatt: un safari océanique : balade géologique du Gornergrat à Riffelberg » paru aux éditions LEP.
« Longtemps prônée par les écologistes, la densification se voit remise en question par leur aile radicale, qui pose la question: une bétonneuse peut-elle cracher du vert ? ».
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur de géographie des mobilités à l’Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Interview d'Aurélie Schmassmann, assistante-doctorate à l'Institut de géographie et durabilité (IGD) et membre de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités durables (OUVEMA).
Rapport de l'étude dont il est fait mention dans l'interview (avec accès au texte intégral) :
« Comment les stations de ski de petite et moyenne montagne envisage-t-elle lʹavenir de leur modèle économique face à la baisse constante de lʹenneigement? Faut-il miser sur la neige de culture, quitte à fragiliser lʹapprovisionnement en eau potable, ou investir dès aujourdʹhui dans des infrastructures de loisirs estivaux? Comment les stations suisses se préparent-elles à la fin de lʹor blanc?
Lucile Solari reçoit Christophe Clivaz, Professeur associé à lʹInstitut de géographie et durabilité de lʹUnil, spécialiste du tourisme alpin, et Martin Calianno, chercheur à lʹUnil et spécialiste des usages de lʹeau en montagne » (rts.ch).
La discussion avec les deux chercheurs est précédée d'un reportage à la Clusaz, station de moyenne montagne confrontée à la baisse constante de lʹenneigement, qui, pour y remédier, entend construire une bassin de rétention dʹeau de 148'000 m3, destiné aux 2 tiers à la neige de culture. Mais cette infrastructure divise et les opposants dénoncent un projet anachronique et délétère pour lʹenvironnement. (rts.ch)
Durant la semaine du 8 au 12 novembre, Jonas Schneiter et Marc Muller se rendent dans la région lausannoise. Ils partent à la rencontre de celles et ceux qui travaillent et font des recherches sur les changements de comportement en faveur de lʹenvironnement. Avec eux, ils tentent de comprendre comment tout un chacun peut adopter ou favoriser des pratiques plus durables au quotidien, que ce soit au niveau individuel ou structurel »
Jeudi 11 novembre, ils rencontraient Patrick Rerat, professeur de géographie des mobilités à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Avec les commentaires de Dominique Barjolle, responsable de recherche à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l’Institut de géographie et durabilité et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives.
« Alors que s’ouvre la COP26, quatre écolos pas bobos nous montrent leurs contributions quotidiennes, commentées par deux expertes [Sophie Swaton, maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité et Franziska Meinherz, postdoctorante spécialisée dans la mobilité et les transformations urbaines à l’EPFL et à l'UNIL] . Sans donner de leçons, sauf à rappeler la responsabilité des États et des entreprises ».
« La nature, la sauver, la préserver pour notre survie. Pour éviter les désastres annoncés par les scientifiques. Et si entre la nature et nous, il n'y avait pas de différence, pas de séparation ? Imaginez, car c'est bien d'imagination dont nous avons besoin, que nous sommes un tout ? Que les forêts pensent. Que la nature sait ? Et si nous chaussions d'autres lunettes pour réenchanter le monde ?…» (rts.ch).
Entretien avec Sophie Swaton, maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité et co-auteure de « Primauté du vivant, essai sur le pensable » paru aux Presses Universitaire de France.
Avec les commentaires de Dominique Barjolle, responsable de recherche à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur de géographie des mobilités à l'Institut de géographie et durabilité et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives.
« Antonio Da Cunha est arrivé en Suisse il y a cinquante ans. Établi depuis très longtemps à Renens, le professeur honoraire de géographie de l’Unil analyse le succès du «vivre-ensemble» de cette ville qu’il aime tant…».
« Nos arrière-petits-enfants ne pourront plus admirer ce qui fait aujourdʹhui la carte postale helvétique. Sur les 1400 glaciers que compte encore la Suisse, seuls 50 subsisteront dʹici la fin du siècle en très haute altitude. La fonte des glaciers génère des risques concrets: problèmes dʹapprovisionnement en eau, en électricité et risques dʹéboulis plus fréquents. Mais elle nous force aussi à redéfinir notre lien affectif, identitaire et patrimonial à ces symboles du territoire alpin. Des espaces mal connus et effrayants il y a encore deux siècles, créateurs de tourisme et sources de revenus au XXème siècle et désormais marqueurs visibles du changement climatique » (rts.ch).
Invité.e.s:
Mélanie Hugon-Duc, anthropologue et conservatrice au Musée de Bagnes et Emmanuel Reynard, professeur de géographie à lʹInstitut de géographie et durabilité et directeur du Centre interdisciplinaire de recherche sur la montagne à l'UNIL.
Avec l'éclairage de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
« Les rapports du GIEC tirent la sonnette d’alarme du réchauffement climatique à l’échelle mondiale. Mais qu’en est-il chez nous? Les hélicoptères qui ont livré de l’eau dans les alpages frappés par la canicule en 2015 et en 2018 sont encore dans toutes les mémoires. Était-ce occasionnel ou devons-nous craindre des pénuries plus fréquentes et plus importantes au Jura ces prochaines années?
Des réponses ont été apportées mercredi soir dernier par le professeur Emmanuel Reynard et sa collaboratrice scientifique Marianne Milano, tous deux attachés à l’Institut de géographie et de durabilité de l’Université de Lausanne.
Ils étaient invités par le Parc Jura vaudois pour une conférence publique à Arzier, intitulée «Aurons-nous toujours assez d’eau dans le Jura en 2050?» Plus de 50 personnes étaient présentes, qui ont posé de nombreuses questions…».
Lire la suite sur :
Avec l'éclairage d'Emmanuel Reynard, géographe et professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
« Débat entre Romain Carrupt, correspondant valaisan pour la RTS, Alexis Metzger, géographe de l'environnement à l'Université de Lausanne [Institut de géographie et durabilité], Blaise Melly (UDC/VS) et Emmanuel Revaz (Verts/VS) » (rts.ch).
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l’Institut de géographie et durabilité et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives.
« Plus de la moitié des cours dʹeau mondiaux sont à sec au moins un jour par an, selon une étude franco-canadienne. Les raisons de cette perte de pérennité sont multiples.
On en parle avec Thibault Datry, directeur de recherche à lʹInstitut national français de recherche pour lʹagriculture, lʹalimentation et lʹenvironnement (Inrae), et Emmanuel Reynard, professeur de géographie physique à lʹInstitut de géographie et durabilité de lʹUniversité de Lausanne… » (rts.ch).
Interview de Gretchen Walters, professeure assistante à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Christophe Clivaz, professeur associé à l’Institut de géographie et durabilité.
Avec les explications de Christian Kull, professeur à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne
Avec les explications de Christian Kull, professeur à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne
Une tribune co-écrite par Olivier Hymas, collaborateur scientifique externe de l’IGD, Gretchen Walters, professeur à l'Institut de géographie et durabilité et Jean-François Joye, professeur de droit public à l'Université Savoie-Mont-Blanc.
La liste des signataires est accessible sur https://mourex.fr/biens-communaux/Tribune.html
Avec les explications de Julia Steinberger, professeure à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l’Institut de géographie et durabilité et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives.
« Joëlle Salomon Cavin est géographe à l’Université de Lausanne. Son principal axe de recherche porte sur les relations ville-campagne, ou plutôt ville-nature. Pourquoi même les urbains tendent-ils à devenir anti-ville alors que la nature y est de plus en plus présente? La biodiversité trouverait-elle son avenir en ville? Ce sont deux exemples des questions qu’elle se pose. Et que nous lui avons posées. » (rts.ch).
« Un projet de recherche des universités de Zurich et de Lausanne sur le thème des prestations paysagères montre comment la notion de prestations paysagères peut être utilisée dans le cadre de projets concrets à l’exemple de deux projets menés sur les sites IFP «Pyramides d’Euseigne» (VS) et «Thurgauisch-fürstenländische Kulturlandschaft mit Hudelmoos» (TG/SG)…».
«… Avec ses lacs, ses cours d'eau et ses glaciers, notre petit pays renferme plus de 6% des réserves d'eau douce du continent européen. Mais ces réserves, avec le réchauffement climatique, diminuent déjà et cette tendance n'est pas près de s'inverser. Pour en parler, François Egger a invité Marianne Milano, hydrologue à l’Université de Lausanne (UNIL)… » (rts.ch)
Avec la participation de Christophe Clivaz, professeur à l'IGD et conseiller national vert, et Emmanuel Reynard, professeur de géographie physique à l'IGD.
Interview de Dominique Bourg, professeur honoraire à l'IGD.
Interview de Sarah Koller, chercheuse en écopsychologie et doctorante à l'Institut de géographie et durabilité, dans le cadre de la série « Convergences » diffusée dans l'émission « Forum ».
Tous les épisodes de la série (5) sont accessibles sur la page web RTS dédiée.
« Pour Le Temps, Dominique Bourg, spécialiste des questions environnementales [et professeur honoraire à l'IGD], passe à la loupe les expressions communes qu’il faudra (peut-être) changer ».
Avec les explications de Christian Kull, professeur à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne
Avec les explications de Christian Kull, professeur à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne
Reportage de la RTS dans le cadre du projet Val d'Hérens 1950/2050, porté par le Centre interdisciplinaire de recherche sur la montagne (CIRM) et le Service de culture et médiation scientifique de l'UNIL.
Avec la participation d'Alexis Metzger, chercheur FNS à l'Institut de géographie et durabilité et membre du CIRM.
« Inondations, canicules, tempêtes: les phénomènes climatiques extrêmes que notre monde traverse rappellent l'urgence d'un changement de notre rapport à la nature. Toutefois, comme le souligne l'économiste et philosophe à l'Université de Lausanne Sophie Swaton, "l'humain n'aime pas se remettre en question " » (rts.ch).
« Balades en forêt, marches en montagne: le Covid a réconcilié plus d'un.e citadin.e avec la Nature. Un appel du vert qui s'est aussi traduit par un boom des déménagements de la ville vers la campagne. Un appel du vert, qui répond également aux inquiétudes actuelles liées aux changements climatiques. Un mal de planète qui entraîne chez certain.e.s de l'écoanxiété. D'autres cherchent à se "reconnecter" à la Terre, en méditant avec le vivant, ou en suivant la voie du chamanisme.
Avec Muriel Morand Pilot, formatrice à l'éducation par la nature, à la fondation Silviva, Joëlle Salomon Cavin, maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité de l'UNIL, Joëlle Zask, philosophe, enseignante à lʹUniversité Aix-Marseille, Marie Romanens, psychothérapeute et Arnaud Riou, chamane » (rts.ch).
« Débat entre Jean-Luc Pirlot, secrétaire général de l’Union des professionnels de l’automobile section Vaud, David Raedler, président de l’Association transports et environnement et écologiste vaudois, et Patrick Rérat, professeur de géographie et d'urbanisme à l’Université de Lausanne [à l'Institut de géographie et durabilité] et co-directeur de l’Observatoire sur les mobilités actives ».
Série d'articles sur les vents rédigés par Catherine Frammery avec les précieux conseils de Jean-Michel Fallot, maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne, et de Lionel Fontannaz, de MeteoSuisse.
« A force d’étudier le réchauffement climatique, Julia Steinberger, professeure [à l'Institut de géographie et durabilité] à l’université de Lausanne, est convaincue que l’enfer nous attend. Elle ne cesse pourtant de chercher des solutions, malgré le scepticisme des citoyens-consommateurs: tant que leur propre maison ne brûle pas, pourquoi se soucier de quelques scientifiques désespérés qui utilisent des gros mots alarmistes? ».
Entretien avec Christophe Clivaz, professeur associé à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Avec les commentaires d'Emmanuel Reynard, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Dans le cadre de la série d'été « À Vaud l’eau » [1/42]
Entretien avec Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité et codirecteur de l’Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives (OUVEMA) de l’Université de Lausanne.
Portner, A. (2021, 5 juillet). «Il existe une demande latente pour se déplacer à vélo, en sécurité». Migros Magazine, 27, p.16-17,19 et 21. https://issuu.com/m-magazin/docs/migros-magazin-27-2021-f-vd
« Garantir un niveau de vie décent tout en réduisant la consommation d’énergie est possible. Mais comment y parvenir ? Une étude publiée le 30 juin dans la revue Global Environmental Change [coécrit par Julia Steinberger, professeur à l'Institut de géographie et durabilité] propose des pistes ».
Avec les commentaires de Martin Müller, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
« L’application Plans, sur iPhone et iPad, se base désormais sur des données de l’Office fédéral de topographie (Swisstopo). La firme californienne ne paie pas un centime, les informations étant en libre accès. Cette politique interroge ».
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les explications de Patrick Rérat, professeur de géographie des mobilités à l'Institut de géographie et durabilité.
« À 69 ans, le professeur honoraire de l’Institut de géographie et de durabilité (sic) de l’Université de Lausanne, également président de la Fédération des associations portugaises de Suisse, n’est pas près de prendre sa retraite ».
Avec la contribution de Christian Arnsperger, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
« Ce nʹest peut-être pas pour rien que la région porte le nom de "milieu du monde". Les quelques hectares de la colline du Mormont, entre le village de La Sarraz et le village dʹEclépens dans le canton de Vaud, sont en effet un condensé des transformations et des tensions de notre temps. Cʹest sur cette jolie colline que des Celtes ont enterré des morts et des trésors il y a plus de deux mille ans. Cʹest là que poussent des orchidées rares et des jonquilles faisant de ce lieu un site classé à lʹIFP (Inventaire fédéral des paysages, sites et monuments naturels dʹimportance nationale). Cʹest là aussi que depuis septante ans, une cimenterie ronge le calcaire de la colline. Cʹest là enfin que sʹest implantée en octobre 2020 la première ZAD de Suisse, évacuée le 30 mars de cette année. Et si ce petit bout de terre mis sous les projecteurs des médias par les zadistes avait quelque chose à nous dire de notre rapport à notre passé, à notre environnement sauvage, à nos modes de construction et dʹexploitation des sols? » (rts.ch).
Les invité·e·s :
Caroline Lejeune, Maître assistante à l'Institut de géographie et durabilité et chercheuse en Humanités environnementales.
Luca Pattaroni, professeur de sociologie urbaine à l'EPF.
Entretien avec Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité et codirecteur de l’Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives (OUVEMA) de l’Université de Lausanne.
Haener, J. (2021, juin). OUVEMA : un changement de perspective. PRO VELO info, 56, p.10. https://news.unil.ch/document/1623684648818.D1623685037308
Entretien avec Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité et codirecteur de l’Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives de l’Université de Lausanne.
Entretien avec Martin Müller, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Van Hai Thi Nguyen, directrice adjointe de l'organisation PanNature et doctorante à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec l'éclairage de Christophe Clivaz, spécialiste du tourisme et professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Entretien avec Sophie Swaton, philosophe, économiste et maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires d'Antonio Da Cunha, professeur honoraire à l'Institut de géographie et durabilité, qui cite, à titre d'exemple, le projet « Micropaysages » réalisé dans l'ouest lausannois.
Entretien avec Alexis Metzger, chercheur FN Senior à l'Institut de géographie et durabilité, suite à la parution de son dernier ouvrage « Les catastrophes climatiques : 21 idées reçues pour comprendre et agir » paru aux éditions du Cavalier Bleu.
Entretien avec Martin Müller, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur de géographie des mobilités à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec la contribution de Dimitri Marincek assistant-doctorant à l'Institut de géographie et durabilité.
« Le documentaire Netflix "Seaspiracy", réalisé par Ali Tabrizi et sorti en mars 2021, fait un carton. Le jeune réalisateur britannique y dénonce la face cachée de la pêche industrielle. Des ONG ont toutefois dénoncé des chiffres erronés, ce qu’on confirmés les fact-checking de différents médias. Quelle est la situation de la surpêche au niveau mondial? Et qu’en est-il en Suisse? La chercheuse Mialy Andriamahefazafy nous éclaire dans ce Point J. Elle a réalisé une thèse sur la pêche industrielle dans (sic) l’Institut de géographie et durabilité à l’Université de Lausanne. » (rts.ch).
Avec la contribution de P. Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Une dépêche intitulée « Olympia: Der Trend ging Richtung weniger Nachhaltigkeit », rédigée par Jean-Christophe Bott pour l'agence Keystone-ATS, commente l'article de M. Müller et al. paru dans la revue Nature sustainability sur la (non-)durabilité des JO.
Elle a été reprise dans plusieurs médias suisses alémaniques : Bündner Zeitung, vilan24.ch, bluewin.ch, fm1today.ch… (cette liste n'est pas exhaustive).
Une liste des médias anglophones commentant ce même article est disponible sur le site web de l'éditeur (rubrique « Mentions in news and blogs »).
« Une poubelle intelligente qui vous dit ce que vous gaspillez ou des vagues qui produisent de l’énergie: Bertrand Piccard et sa fondation Solar Impulse ont certifié 1000 solutions à travers le monde permettant de protéger l’environnement tout en gagnant de l’argent.
Peut-on réconcilier économie et écologie? Pourra-t-on sauver la planète sans renoncer à notre niveau de vie? Ni décroissante, ni productiviste, la «croissance qualitative» est-elle le modèle d’avenir?
Alors que de nombreux pays lessivés par la pandémie annoncent des plans de relance orientés vers la transition écologique, la question se pose plus concrètement que jamais » (rts.ch).
Bertrand Piccard, président de la Fondation Solar Impulse, psychiatre et aéronaute
Valentine Python, conseillère nationale Les Verts/VD, climatologue, consultante scientifique
Sophie Swaton, philosophe et économiste, maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité et présidente de la fondation Zoein
Kevin Grangier, président de l’UDC Vaud
Pascal Jeannerat, journaliste RTS
Entretiens avec Patrick Rérat, professeur de géographie et d'urbanisme à l'Institut de géographie et durabilité (IGD) et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives (OUVEMA).
Entretien avec Emmanuel Reynard, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL) et directeur du Centre interdisciplinaire de recherche sur la montagne (CIRM).
« La crise sanitaire et la misère économique et sociale qui en découle marquent une nouvelle étape dans le délitement de la société, s’inquiète le jeune universitaire vaudois Gabriel Salerno [doctorant à l'Institut de géographie et durabilité] dans "Effondrement… c’était pour demain?" ».
« L’Observatoire du vélo et des mobilités actives [OUVEMA] de l’UNIL se penche sur les villes faites pour les cyclistes. Que copier? ».
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité et codirecteur de l’OUVEMA.
Avec les commentaires de Sophie Swaton, Maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité.
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
« Der Edelmetall-Lieferant Metalor und die Universität Lausanne haben einen Pass lanciert, um die Herkunft von geschürftem Gold zu bestätigen. Problematische Quellen lassen sich so aus dem System heraushalten, was eine Priorität für die Industrie werden sollte…».
« Schweizer lancieren Tool für Herkunfts-Check von Minengold » (2021, 16 mars). https://www.finews.ch/news/finanzplatz/45473-metalor-gold-goldmine-geoforensisch-pass
« L’affineur neuchâtelois Metalor et l’Université de Lausanne [Barbara Beck, chargée de recherche à l'Institut de géographie et durabilité] dévoilent une approche scientifique visant à garantir la propreté des dorés, en analysant notamment leur signature isotopique…».
Interview d’Emmanuel Reynard, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL), à l'occasion de la publication des résultats du projet Hydro-CH2018 sur le cycle hydrologique menées sous la direction de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) dans le cadre du National Centre for Climate Services (NCCS). Plus d'informations à ce sujet dans notre actualité.
OPINION. L’enjeu essentiel aujourd’hui n’est pas celui de la «dette publique». C’est l’immense accumulation des dettes privées des ménages et des entreprises, écrivent Christian Arnsperger, professeur à l’Université de Lausanne, et Jean-Michel Servet, professeur honoraire à l’IHEID, à Genève
Avec l'éclairage de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Entretien avec Dominique Bourg, professeur honoraire de l'UNIL.
Interview de Sophie Swaton, philosophe, économiste et Maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité.
« L’idée d’un revenu de transition écologique fait son chemin. Le concept, élaboré par Sophie Swaton, maître d’enseignement et de recherche à la Faculté des géosciences et de l’environnement de l’UNIL, semble coller à l’air du temps. Dans le canton du Jura, sa mise en place va être étudiée. Au Parlement vaudois, un postulat attend de passer en plénum. Trois questions à son auteure, Rebecca Joly… ».
«Docteure en physique, professeure à l’Université de Lausanne [Institut de géographie et durabilité] et autrice principale du 6e rapport du GIEC, Julia Steinberger milite sur plusieurs fronts. Echo à sa fibre écologiste ».
Avec les explications de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (IGD).
Entretien avec Patrick Rérat, professeur de géographie et d’urbanisme à l’Institut de géographie et durabilité et co-directeur de l'Observatoire universitaire du vélo et des mobilités actives.
La version PDF de l'article est diffusée avec l'aimable autorisation de l'éditeur.
« Dans On va vers le beau, Jonas Schneiter et Tristan Miquel sont accompagnés cette semaine de Gabriel Salerno, doctorant à la Faculté des géosciences et de l'environnement à l'Université de Lausanne [Institut de géographie et durabilité] et auteur de lʹouvrage " Effondrement… Cʹétait pour demain? ". Avec lui, ils partent à la rencontre de plusieurs intervenant·e·s : historien, militant·e·s ou encore psychologue, et discutent ensemble de collapsologie et des implications concrètes que pourrait avoir ce courant de pensée sur nos vies » (rts.ch).
Dans le troisième épidode, ils sont rejoints par Sarah Koller, chercheuse en écopsychologie et doctorante à l'Institut de géographie et durabillité.
« Annuler les dettes et construire l'avenir. C'est ce que réclame un groupe autour de l'économiste français Thomas Piketty. Plus précisément, la Banque centrale européenne (BCE) devrait annuler les dettes des États de l'UE. N'est-ce pas trop simple ? Une question pour l'économiste Christian Arnsperger de l'Université de Lausanne » (traduit de srf.ch).
« Comment se porte le tourisme à lʹheure du COVID? Un an après le début de la pandémie en Suisse, le secteur est durement affecté. Une crise qui pourrait toutefois lui permettre de se réinventer, de sʹadapter aux nouveaux comportements des touristes et de répondre aux défis climatiques. Entretien avec Leïla Kebir, professeure associée en tourisme et économie territoriale à lʹInstitut de géographie et durabilité de lʹUniversité de Lausanne » (rts.ch).
Avec l'éclairage de Christophe Clivaz, spécialiste du tourisme et professeur à l'Institut de géographie et durabilité.
Entretien avec Christophe Clivaz, professeur associé à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
L'appel de 150 économistes européens en faveur de l'annulation de la dette souveraine détenue par la BCE n'est-il vraiment qu'un "rêve de gauche", comme l'a écrit la NZZ ? Cinq cosignataires suisses de l'appel se défendent.
« Dans On va vers le beau, Jonas Schneiter et Tristan Miquel sillonnent […] le canton de Vaud. Ils partent à la rencontre de celles et ceux qui proposent ou ont suivi des formations intégrant pleinement lʹenvironnement à leurs cursus ou qui expérimentent de nouvelles pratiques professionnelles plus durables » (rts.ch).
Dans cet épisode, ils rencontrent Mathilde Vandaele, doctorante à lʹInstitut de géographie et durabilité à lʹUNIL et François Yerly, diplômé du master en Fondements et pratiques de la durabilité à lʹUNIL.
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur de géographie des mobilités à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Dans la série « Covid - saison 3 » – épisode 4 « Tourisme d’hiver : la pente glissante »
« Privées de la majorité de leur clientèle par les restrictions de circulation et par des mesures sanitaires strictes, les stations de ski sont bien loin de vivre un hiver comme les autres. Néanmoins, les années à venir pourraient bien être à l’image de la saison actuelle pour le tourisme d'hiver...
Une discussion en compagnie de Christophe Clivaz, professeur associé à l’Université de Lausanne [Institut de géographie et durabilité], responsable du master « Tourisme, innovation et durabilité », membre du centre de recherche interdisciplinaire de la montagne (CIRM) et de Bertrand Réau, professeur de sociologie au Cnam, titulaire de la chaire "Tourisme, voyages et loisirs" » (franceculture.fr).
« Dans On va vers le beau, Jonas Schneiter et Tristan Miquel se rendent […] dans les Alpes valaisannes. Dans un contexte de changement climatique imminent, ils sʹintéressent à différentes solutions durables mises en place dans certaines communes de montagne pour y faire face » (rts.ch).
Dans cet épisode, ils rencontrent Marianne Milano, hydrologue à lʹUniversité de Lausanne [Institut de géographie et durabilité] et Laurent Vaucher, directeur de Téléverbier.
Christian Arnsperger, économiste, qui enseigne à l'Université de Lausanne, a cosigné la tribune « Annuler les dettes publiques détenues par la BCE pour reprendre en main notre destin ».
Professeur à l'Institut de géographie et durabilité, il mène notamment des recherches sur la théorie monétaire et l'économie durable.
Dans cette interview, il explique sa motivation et ce que la Suisse devrait faire pour s'orienter vers un avenir vert.
Avec les commentaires de Patrick Rérat, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (UNIL).
Erard-Guenot, V. (2021, 4 février). Densifier le bâti, prochain enjeu dans le district. Le Quotidien Jurassien. p.7
La version PDF de l'article est diffusée avec l’aimable autorisation des Editions D+P SA, société éditrice du Quotidien Jurassien.
« Des résidus de pesticides sont régulièrement détectés dans l'eau du robinet de certaines communes, même si es critères pour qu'elle reste potable sont respectés. Cela pousse à s'interroger sur ce que contient l'eau que nous buvons au quotidien. Le Point J a interrogé Marianne Milano, hydrologue à l'Université de Lausanne [collaboratrice scientifique à l'Institut de géographie et durabilité]. L'écotoxicologue Nathalie Chèvre, elle, nous éclaire sur les polluants, davantage liés à nos habitudes de consommation qu'aux pesticides » (rts.ch).
Avec les explications d'Emmanuel Reynard, professeur à l'Institut de géographie et durabilité (IGD) et directeur du Centre interdisciplinaire de recherche sur la montagne (CIRM) qui co-organise la série de manifestations mises sur pied à l’occasion des 75 ans du tremblement de terre qui a frappé le Valais le 25 janvier 1946.
« Dans un texte qui va à l’encontre de toutes les théories économiques orthodoxes, Christian Arnsperger, professeur en durabilité et anthropologie économique à l’UNIL [Institut de géographie et durabilité], nous explique comment pour un pays comme la Suisse, certains des principaux arguments justifiant la nécessité «vitale» d’un maintien de la croissance macroéconomique sont non seulement problématiques sur les plans social et écologique, mais tout simplement faux ».
« Pendant des décennies, la population a été conditionnée à considérer la consommation comme le droit humain le plus important, explique Julia Steinberger, professeure d’économie écologique à l’Université de Lausanne ».
« Julia Steinberger est professeure à l’Université de Lausanne, chercheuse en économie et écologie, et coauteure du prochain rapport du GIEC. Elle livre son analyse du plan [climat] présenté par la Ville [de Lausanne] ».
Avec les explications de Julia Steinberger, professeure à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne et co-auteure principale du 6e rapport d’évaluation du GIEC.
Entretien avec Dominique Bourg, professeur honoraire de l'UNIL.
Entretien avec Sophie Swaton, philosophe, économiste et maître d'enseignement et de recherche à l'Institut de géographie et durabilité.