Communication

Lucile Tonnerre.png

 

 

Lucile Tonnerre

Junior publications manager

En quoi consiste votre fonction au Comité International Olympique (CIO) ?

En tant que junior publications manager au sein du département de la communication institutionnelle et des affaires publiques, je suis responsable des publications du CIO. Nous sommes deux dans l’équipe des publications : ma cheffe, qui est également responsable des traducteurs, et moi. Bien que nous ne contribuions pas à la rédaction de toutes les publications, nous gardons un œil sur l’ensemble d’entre elles. Je suis aussi co-rédactrice en chef de la revue officielle du CIO et du Mouvement olympique, la Revue Olympique, dont je supervise l’ensemble de la planification éditoriale et la version française. Nous nous occupons également du rapport annuel et de la Charte olympique du CIO. Mais notre cahier des charges est très varié et nous sommes aussi en charge de la majorité des documents liés à l’aspect protocolaire des Jeux comme la rédaction et la création des livrets accompagnant le message du président du CIO aux athlètes contenus dans les coffrets des médailles que chaque vainqueur olympique reçoit.

Pour le développement créatif des publications, nous nous tournons la plupart du temps vers des agences spécialisées, et nous nous occupons de la ligne éditoriale. Lorsque cela est possible, nous nous efforçons de privilégier des agences locales. Mais pour la Revue Olympique, nous nous appuyons sur une agence éditoriale en Angleterre. Nous essayons de plus en plus d’introduire des textes de nature académique et de solliciter des journalistes externes au sein de nos numéros. Il s’agit de trouver un équilibre entre, d’un côté, le discours officiel du Mouvement olympique (représenté notamment par le CIO, les Fédérations Internationales (FI) de sports et les Comités Nationaux Olympiques (CNO)) et, de l’autre, des approches venant des sphères académiques et médiatiques, nécessaires pour garder un regard critique sur notre propre travail.

Nous sommes une quarantaine de personnes dans le service de la communication. Il y a une équipe des affaires publiques (qui s’occupe des affaires politiques et des liens avec les grandes organisations comme l’ONU en matière de sport), une de relation médias et de communications sur les Jeux Olympiques, une de veille médias (qui réalise une revue de presse deux fois par jour), une de communication institutionnelle (qui fournit un soutien en matière de communication et storytelling et est le premier point de contact avec les FI et les CNO dans ces domaines), une de communication marketing, une autre de communication interne et une enfin de publications et services linguistiques (4 employé·e·s pour le français, 3 pour anglais et 2 pour l’espagnol). Dans le domaine de la publication, nous ne sommes que deux. Toutes nos publications sont éditées en anglais et en français, voire parfois en espagnol, pour la Revue Olympique et la Charte olympique entre autres. La collaboration entre le personnel est plutôt de nature horizontale, bien que, comme dans toute organisation complexe, nous soyons placé·e·s sous la supervision de directeurs·rices et de managers seniors. Nous collaborons au quotidien avec d’autres départements, qui sollicitent fréquemment notre avis.

Le secteur « publications » veille aussi sur le contenu de la Charte olympique qui régit l’organisation, les actions et le fonctionnement de l’ensemble du Mouvement olympique. Nous sommes responsables de mettre à jour la charte en fonction des éléments votés lors des Sessions du CIO. La charte qui fait foi du point de vue légal est en français. Mais elle existe aussi en anglais et en espagnol. Pour ces deux langues, on fait appel à des traducteurs versés dans les affaires juridiques.

Comme le domaine de la communication digitale occupe une place très importante dans l’organisation, nous avons un département digital distinct du service de la communication, mais nous travaillons en étroite collaboration.

 

Quel parcours avez-vous suivi pour occuper votre poste actuel ?

Après des études de Bachelor en français moderne et en sciences sociales, j’ai accompli un Master en sciences du langage et de la communication avec les sciences sociales comme discipline secondaire et le programme de spécialisation « Analyse des discours et de la communication publics ».

Dans le programme de spécialisation, il est prévu que l’on réalise un stage de 3 à 4 semaines. La durée me paraissait trop courte pour faire une vraie expérience professionnelle ; j’ai donc fait mon stage au service de presse des éditions du Seuil pendant 6 mois à Paris. Une connaissance qui est écrivain et actif dans le domaine de l’édition m’a informée qu’un stage était proposé aux éditions du Seuil. Je me suis présentée et je l’ai décroché. Je pense que j’ai su mettre en avant mes compétences et ma détermination. Au Seuil, je faisais partie d’une petite équipe ; j’étais impliquée dans les revues de presse, l’événementiel, les envois des livres aux journalistes, et j’accompagnais les auteurs sur les plateaux télé et radio. J’étais en relation fréquente avec eux. J’ai beaucoup travaillé, par exemple, avec Jean Ziegler ou Alain Mabanckou. Je contribuais à la promotion de leurs livres. Il s’agissait de leur expliquer comment allaient se passer leurs interviews entre autres. À la demande de l’écrivain, je demandais parfois en avance les questions aux journalistes afin qu’il puisse se préparer. C’était un rôle très polyvalent qui allait jusqu’à la réservation des chambres d’hôtel dans certains cas !

De retour à Lausanne, j’ai rédigé mon travail de mémoire dans le domaine de la littérature subsaharienne francophone avec laquelle je m’étais familiarisée en suivant plusieurs cours de Mme Christine Le Quellec Cottier et aux côtés d’auteurs au Seuil dont les témoignages m’avaient interpellée ; je me suis penchée sur la rhétorique utilisée dans le traitement médiatique des auteurs subsahariens de langue française dans le Monde des livres en me demandant si elle différait ou non de celle utilisée pour les auteurs des autres pays francophones. En quelques mots, j’ai constaté qu’on attendait très souvent de ces auteurs·rices qu’ils parlent principalement de leurs origines, et de préférence sous les angles de l’imaginaire magique ou du post-colonialisme.

J’ai décroché un second stage pendant mes études, à la RTS, pour lequel j’ai postulé sur leur site internet. Il fallait que je sois encore étudiante pour y être admise. L’orientation de mes études en sciences de la communication et mon précédent stage au Seuil ont été favorables à ma candidature. Cette fois, j’étais dans la communication institutionnelle et dans les relations publiques. J’étais associée à certaines émissions, pour lesquelles je devais organiser des événements de promotion institutionnelle. Ainsi, pour les 50 ans de « Temps Présent », pour l’émission « 26 minutes » ou pour la Fête des Vignerons, nous avons invité des personnalités des sphères culturelle, politique et économique locales pour leur expliquer le rôle de la RTS et pour leur présenter le plateau et les coulisses. Comme pour les éditions du Seuil, j’ai dû faire preuve d’une bonne capacité d’autonomie et de débrouillardise.

J’ai terminé mon Master en été 2019. En décembre de la même année, j’ai commencé à travailler au CIO. J’ai obtenu le poste en répondant à une offre d’emploi. Avant d’être engagée, il m’a quand même fallu passer 5 rounds de sélection (tests d’écriture, test de personnalité, entretiens en anglais et français, etc.). J’ai commencé comme coordinatrice de projets. Après deux ans, je suis devenue junior manager. Il existe une possibilité d’évolution professionnelle au sein de l’entreprise : à titre personnel, je peux viser le poste de manager sur le plus long terme. J’ai observé deux dynamiques parmi les employé·e·s : les uns accomplissent toute leur carrière au CIO, les autres – souvent issu·e·s de générations plus jeunes – ne souhaitent pas faire toute leur carrière au même endroit et poursuivent leur parcours ailleurs, dans les fédérations sportives, dans les comités d’organisation des Jeux ou dans de grandes entreprises ou organisations internationales. Mais la porte du CIO est toujours ouverte : il n’est pas exclu qu’on puisse y retourner après quelques années. Je viens également d’obtenir mon brevet fédéral de spécialiste en communication, une étape qui me permettra, je l’espère, d’évoluer encore plus dans ma carrière.

Quel a été l’apport de vos études en Lettres pour votre carrière professionnelle ?

J’ai commencé mes études par passion en ayant l’ambition de devenir journaliste de presse écrite. Mais, en me familiarisant avec le secteur, je me suis rendu compte qu’il était en plein chamboulement et j’ai voulu explorer d’autres pistes. Dans le courant de mes études, j’avais aussi découvert qu’il existait des professions qui touchaient à la langue et que je ne connaissais pas, ou mal. C’était notamment le cas des relations publiques. Je me suis dit que c’était un secteur prometteur, qui pourrait faire appel à mes connaissances dans le domaine de la langue et de la communication. Au niveau du Bachelor, je me suis contentée de choisir mes cours selon mes envies. Pour mon Master, j’ai été plus stratégique : j’ai sélectionné mes cours en rapport avec différents domaines de la communication (politique, médiatique, digitale) en essayant de garder une vraie cohérence dans mes choix et en pensant à ce qui pourrait servir à mon futur parcours professionnel.

Les Lettres ont développé mon ouverture d’esprit et ma polyvalence ; elles m’ont dotée d’une bonne capacité d’analyse et ont renforcé mes compétences rédactionnelles. Comme étudiant·e·s, nous avons la chance d’être confronté·e·s à une telle variété de savoirs et d’apprendre à connaître le monde dans sa pluralité. Cependant, étant donné que les Lettres ne constituent pas une formation professionnalisante, il faut savoir valoriser ses capacités et ses compétences auprès des employeurs par la suite. Il y a un gros effort d’explication à fournir sur votre parcours d’études.

Avez-vous des conseils à donner aux étudiant·e·s actuel·le·s de la Faculté ?

J’invite les étudiant·e·s à participer à la vie associative du campus. J’ai été active au journal L’auditoire, pour lequel j’ai été responsable de la section « Sport et campus ». Par la suite, je me suis impliquée dans l’association Erasmus Student Network (ESN). Ces deux expériences m’ont permis de développer des compétences de gestion de projets et d’équipes par exemple. Je n’imaginais pas que l’engagement associatif serait autant valorisé par les employeurs dans ma recherche d’emploi.

Grâce à ces expériences, j’ai pu connaître des étudiant·e·s issues de diverses Facultés et me familiariser avec d’autres domaines d’études (et potentiellement d’autres débouchés professionnels) ; je me suis constitué ainsi un début de réseau. Il faut se dire que le premier réseau professionnel que l’on se crée est celui de ses camarades d’études : au-delà des amitiés, ce sont des personnes sur lesquelles on pourra peut-être compter plus tard pour trouver du travail ou nous orienter vers des carrières professionnelles auxquelles nous n’aurions pas pensé. 

Je conseille également de privilégier le temps des études pour réaliser des stages : nombre d’entre eux ne peuvent être accomplis que pendant les études. En France, par exemple, les stages sont très souvent inclus de manière obligatoire dans les formations universitaires elles-mêmes. Il serait souhaitable à ce propos que la Faculté des lettres élargisse la durée des stages : 3 ou 4 semaines, ce n’est pas assez. À mon sens, il faudrait compter au moins un semestre pour se familiariser réellement avec le monde professionnel. Faire figurer des stages dans son CV est un moyen de rassurer vos futurs employeurs en exemplifiant vos compétences. Grâce à mes stages, j’ai mis à l’épreuve mes compétences et j’ai appris à mieux me connaître. Le stage montre qu’on est capable de résultats pratiques, ce qui a pour avantage de modérer le côté « esprit critique » spontanément associé aux diplômé·e·s de Lettres.

TOP ^

Arnaud-Taurian.jpg

 

 

Arnaud Taurian

Chargé de communication
pour la Fédération vaudoise des entrepreneurs

Comment présenteriez-vous le poste que vous occupez actuellement?

En tant que chargé de communication, je définis et mets en œuvre des concepts de communication dont découlent des mesures telles que la conception de supports de communication (plaquette d’entreprise, dépliants, flyers, etc.), la création de contenus pour les médias (communiqués de presse, opinions et articles) ou pour nos moyens de communication numériques (sites internet, newsletter, réseaux sociaux, intranet), la gestion de publications comme notre journal institutionnel, l’élaboration de prises de position sur des sujets politiques, etc. J’ai aussi en charge l’organisation d’événements et de conférences.

Dans le cadre de mon travail, je collabore souvent avec des prestataires externes (graphistes, imprimeurs, agences digitales, traiteurs, etc.) et gère les appels d’offres pour les sélectionner. Au service «Communication» de la Fédération vaudoise des entrepreneurs, nous nous occupons d’informer nos membres sur nos prestations, sur les évolutions conventionnelles et législatives ainsi que sur les actions que nous menons pour défendre le secteur de la construction. Nous nous chargeons aussi de promouvoir les entreprises membres auprès du grand public ainsi que les métiers de la construction auprès des jeunes en fin de scolarité. Sans oublier les mesures de communication interne pour permettre aux collaborateurs de bien connaître l’entreprise et ses objectifs.

Comme nous sommes une petite équipe, j’ai la chance de toucher à beaucoup de domaines, comme les relations médias, la communication numérique, l’événementiel, la communication interne ou encore la communication marketing.

Quel est votre cursus universitaire en Lettres?

En Bachelor, j’ai étudié l’histoire et la géographie comme disciplines de base et l’histoire ancienne comme discipline complémentaire. Ayant pris goût à l’histoire ancienne, j’ai eu envie de continuer dans cette branche en Master. J’ai donc dû réaliser un petit programme de rattrapage de crédits en histoire ancienne pour être en droit de suivre la discipline «sciences de l’Antiquité». À côté des sciences de l’Antiquité, j’ai choisi la géographie comme discipline secondaire et j’ai décidé de viser le titre de «Maîtrise avec spécialisation» en accomplissant le programme de spécialisation «Métiers de l’archéologie et du patrimoine historique».

J’ai eu l’occasion de réaliser un stage dans mon programme de spécialisation au Musée cantonal d’archéologie et d’histoire de Lausanne (Palais de Rumine). Le stage a débouché sur un poste d’auxiliaire pour plusieurs mois. Je participais au travail de conservation par la saisie d’informations sur du matériel historique dans une base de données ou pour des tâches de restauration d’objets.

Avez-vous profité des activités offertes par l’UNIL dans le courant de vos études?

J’ai profité principalement d’activités proposées par le Centre sportif. En revanche, je n’ai pas été très actif sur le plan associatif, n’ayant pas beaucoup de temps entre mes boulots et activités à côté de l’UNIL. Mais, comme beaucoup de diplômé·e·s de l’UNIL, je regrette après coup de ne pas avoir assez profité de l’offre riche et variée d’activités.

Quelles activités extra-universitaires avez-vous eues pendant vos études?

Durant mes études, j’ai travaillé dans l’enseignement pour des remplacements ponctuels ou durant plusieurs mois. J’ai aussi été actif dans le monde muséal en tant que stagiaire puis auxiliaire au Musée cantonal d’archéologie et d’histoire, comme mentionné précédemment, ainsi que gardien d’exposition au Musée historique du Chablais, petit emploi qui a débouché sur un poste d’auxiliaire de recherche pour l’organisation d’une exposition.

À plusieurs reprises, j’ai également participé à la Nuit des musées en tant qu’animateur au Musée romain de Lausanne-Vidy. Enfin, j’ai travaillé régulièrement pour mon oncle, qui est vigneron. J’ai fait de la vente de vin, participé à la promotion du domaine et effectué des travaux viticoles.

Quelles sont les différentes étapes de votre parcours professionnel aboutissant à l’obtention de votre poste actuel?

Après l’obtention de mon Master, j’ai eu la chance de trouver rapidement un stage dans une agence de communication lausannoise: FTC communication. Celui-ci devait durer initialement six mois, mais l’occasion m’a finalement été offerte de rester une année, ce qui a été propice au développement de mes compétences par le suivi de projets importants sur une longue durée.

Si l’on veut débuter dans la communication, l’expérience en agence est très utile, car on touche à tout en réalisant des projets pour des clients très différents; on identifie ainsi les domaines d’activité qui nous plaisent le mieux.

Mon intérêt pour les questions politiques – qui m’a d’ailleurs accompagné pendant toutes mes études – et mes bonnes connaissances du contexte socio-économique vaudois m’ont amené à proposer ma candidature pour un stage au Centre patronal, qui était client de l’agence dans laquelle je travaillais. J’ai été pris pour un stage de six mois qui m’a permis de mieux comprendre les problématiques liées à l’économie, à la gestion d’entreprise et aux associations professionnelles.

Peu avant la fin de mon stage, le chef de la communication de la Fédération vaudoise des entrepreneurs, qui était également l’un des associés de l’agence dans laquelle j’avais fait mon premier stage, m’a contacté pour me proposer un entretien, parce qu’il avait décidé de créer un nouveau poste dans son service. J’ai été engagé, et cela fait maintenant trois ans et demi que j’y travaille, initialement comme chargé de communication junior et désormais comme chargé de communication.

Je tiens à préciser que j’ai accompli plusieurs formations pendant ces expériences professionnelles. Lors de mon premier stage, j’ai obtenu le Markom, un diplôme délivrant des connaissances de base en relations publiques et marketing. En parallèle de mon second stage en communication, j’ai réalisé une formation en gestion de projet. Il y a deux ans, j’ai suivi des cours pour développer mes compétences pour l’utilisation du système de gestion de contenu Wordpress. Enfin, l’année dernière, mon employeur m’a donné l’opportunité de réaliser un Diploma of Advanced Studies (DAS) en Management de la communication. Cette formation très intense, organisée par la HEG de Fribourg, m’a donné des connaissances méthodologiques solides pour définir et mettre en œuvre des concepts de communication.

Quelle a été la valeur de vos études pour votre carrière professionnelle?

Les études de Lettres sont à mes yeux de grande valeur. Bien loin de se limiter à des connaissances spécifiques, elles m’ont apporté d’importantes compétences méthodologiques générales. Elles nous apprennent en effet à structurer une réflexion, à analyser un problème et à le resituer dans un contexte, à développer nos capacités rédactionnelles et oratoires, à construire un argumentaire, à structurer un discours, à synthétiser et vulgariser des sujets complexes, etc.

En histoire, j’ai appris à prendre du recul face à des contextes complexes, à analyser rigoureusement des sources d’information et à mieux comprendre le présent à la lumière du passé. Je me suis plus particulièrement intéressé au domaine de l’histoire politique, où j’ai acquis des connaissances précieuses sur les idéologies et la rhétorique politique, ainsi que sur les contextes sociopolitiques vaudois, suisse et européen.

En géographie, j’ai suivi des cours en urbanisme, en aménagement du territoire ou encore en développement durable, domaines qui se sont révélés très utiles dans le secteur où je travaille.

Quels conseils donneriez-vous à nos étudiants pour leur passage à l’emploi?

Je donnerais d’abord trois conseils généraux:

  • Accumuler des expériences professionnelles durant ses études, si possible dans le domaine où l’on se voit travailler plus tard; ou être actif dans un cadre associatif, par exemple pour l’organisation d’événements, expérience utile pour un emploi dans la communication.
  • S’investir totalement dans ses jobs ou ses stages, se montrer curieux et motivé. Vos employeurs se souviendront ainsi positivement de votre engagement et vous recontacteront peut-être un jour pour un poste, ou vous recommanderont à d’autres employeurs.
  • Poursuivre son effort de formation. L’obtention d’un diplôme de Master ou de doctorat ne marque pas la fin de notre apprentissage. Il est recommandé de viser continuellement l’acquisition de nouvelles compétences et connaissances afin de rendre son profil professionnel plus attractif.

Plus spécifiquement pour la communication, il est important de:

  • suivre l’actualité de son secteur et des technologies de l’information;
  • bien connaître le potentiel des nouveaux outils de la communication et être en mesure de les exploiter;
  • avoir un sens de l’organisation très rigoureux, qualité essentielle notamment pour l’événementiel;
  • bien comprendre le contexte idéologique dans lequel on travaille;
  • être flexible au niveau des horaires;
  • avoir une bonne capacité à gérer le stress et l’imprévu, à définir les priorités et à trouver rapidement des solutions pragmatiques dans les situations d’urgence.

TOP ^

Suivez nous:          

Pour aller plus loin

Parcours de diplômé·e·s

Retrouvez d'autres portraits dans l'espace Moodle du Centre de carrières de l'UNIL.

Centre de carrières 

Vous souhaitez vous renseigner sur les débouchés après des études à l’UNIL, faire un stage après votre Master, optimiser votre CV et votre lettre de motivation, avoir accès aux ressources sur Moodle ? Les conseillères et conseillers du SOC sont à votre disposition toute l'année: unil.ch/perspectives

Statistiques 

Premier emploi après les études: enquête de l’Office fédéral de la statistique (OFS) sur la situation professionnelle des diplômé·e·s des universités suisses. Ses résultats sont disponibles en ligne: orientation.ch

De l’UNIL à la vie active: résultats de l’enquête de l'OFS concernant spécifiquement les diplômé·e·s de l’UNIL: unil.ch/unisis

TandemPRO

Proposé par le Bureau des alumni, TandemPRO offre la possibilité aux diplômées et diplômés de l'UNIL (Doctorat, Master ou Bachelor) de s’entretenir avec un membre du réseau pratiquant dans le domaine d’activité ou exerçant la profession qui les intéresse. Une facilité également ouverte aux alumni en transition de carrière.

unil.ch/alumnil

BNF - Programme national de qualification

Programme national de qualification de l'Université de Berne destiné aux diplômées et diplômés universtaires sous forme de conseils personnalisés, de mise en réseau avec d'autres spécialistes et de formations ciblées. 

bnf.unibe.ch 

Partagez: