Culture

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Vanessa Diener

Historienne de l’architecture

Vanessa Diener est historienne de l’architecture indépendante depuis 2019. Elle reçoit des mandats des autorités politiques cantonales ou communales ou encore d’institutions publiques pour produire des rapports historiques sur divers monuments.

Comment décririez-vous votre fonction ?

Je suis historienne de l’architecture indépendante ; je ne perçois donc pas de salaire comme employée. Je travaille à mi-temps, car j’ai deux enfants en bas âge. Le Canton de Vaud, les communes ou des institutions publiques peuvent faire appel à moi pour produire des rapports sur les bâtiments qui leur appartiennent, souvent avant restauration. Je ne manque pas de travail : les mandats affluent ; je dois même en refuser !

J’ai toujours été attirée par l’idée d’être indépendante. Il y a de nombreux avantages à ce statut : on bénéficie d’une grande autonomie et de la liberté de s’organiser ; on n’a pas de comptes à rendre à un patron et on peut travailler chez soi. Comme mes mandats sont de durée limitée, je me renouvelle continuellement : j’acquiers de nouvelles connaissances et je rencontre des personnes d’horizons variés : les architectes, le personnel de chantier, les employés communaux, les acteurs politiques, etc. Il y a bien sûr aussi des désavantages, comme la solitude dans le travail, l’incertitude financière – bien que cela ne soit pas le cas pour le moment ! –, l’absence de revenu en cas de maladie, l’obligation d’assurer financièrement ses arrières en cas de coup dur… Il faut aussi gérer toutes les difficultés liées à une activité intellectuelle intense, comme la tendance à procrastiner ou la difficulté de garantir une régularité dans son travail, phénomènes bien connus des étudiant·e·s ! J’ai heureusement un collègue architecte avec qui je collabore régulièrement : cela fait me fait sentir moins seule.

Pouvez-vous nous donner quelques exemples des mandats qui vous ont été confiés ?

Récemment, j’ai produit un rapport sur le Collège bleu de Vevey, qui date des années 1960. Le recensement cantonal lui a donné la note de 6, qui est une note plutôt mauvaise pour les monuments. Mais c’est en réalité un bijou des années 60. Comme la note a été attribuée dans les années 1980, il est question de réévaluer l’importance du bâtiment.

Parmi les bâtiments sur lesquels j’ai travaillé, il y a la cure catholique de Vevey, la cure et le temple protestants de Rougemont, quelques maisons bourgeoises à Vevey, ainsi qu’un autre collège de la ville, datant du XIXe siècle. En collaboration avec l'architecte Nicolas Meier, j’ai réalisé une étude historique et urbaine sur un quartier entier de Vevey. Nous nous penchons aujourd’hui sur un autre quartier de la ville.

Je ne suis pas une spécialiste du Moyen-Âge : ma période de prédilection est plutôt l’époque moderne et contemporaine. Travailler sur l’époque médiévale implique des connaissances poussées en latin et en paléographie. Lorsque je dois prendre en compte le Moyen Âge, je m’associe à un ou une spécialiste de cette période, comme Brigitte Pradervand, ou je m’appuie sur des recherches antérieures, comme celles de Monique Fontannaz quand j’ai eu l’occasion de travailler sur la Maison du prieur de Romainmôtier. Je souligne que nous manquons aujourd’hui d’historien·ne·s de l’architecture spécialistes du Moyen Âge. J’encourage les étudiant·e·s à considérer sérieusement ce débouché !

Quel parcours avez-vous suivi pour arriver à votre fonction actuelle ?

En automne 2005, j’ai commencé un Bachelor en Lettres à l’UNIL en français moderne et en histoire et esthétique du cinéma ; j’ai ensuite remplacé le français par le journalisme à Neuchâtel. J’ai malheureusement subi un échec définitif dans ce cursus en 2009. J’ai décidé de reprendre mes études de Bachelor avec UniDistance en langue et littérature françaises. Le programme était assuré par l’Université de Dijon. J’ai obtenu mon diplôme de Licence en Lettres en juillet 2013.

J’avais toujours l’histoire de l’art dans un coin de ma tête et j’ai décidé de m’inscrire au Master en Lettres de l’UNIL, sachant qu’il y avait une spécialisation autour de l’art suisse. Mais comme je n’avais pas de formation dans la discipline, j’ai dû réaliser un programme de mise à niveau préalable avant mon admission en Master.

Au cours de ce programme, durant lequel je suivais des cours de niveau bachelor en histoire de l’art, je me suis rendu compte que j’étais davantage attirée par le patrimoine suisse et l’architecture locale. Les œuvres d’art présentées dans les musées me passionnaient moins que les objets du quotidien avec leur capacité de raconter la vie et la société du passé. J’ai donc finalement choisi de m’inscrire au programme de spécialisation « Les arts et la Suisse » en plus de mon Master monodisciplinaire en histoire de l'art.

J’ai eu la chance de participer, dans le cadre de plusieurs séminaires, à l’inventaire du château de la Sarraz, dirigé par le prof. Dave Lüthi. J’ai beaucoup apprécié l’aspect pratique de cet enseignement : on sélectionnait des objets par rapport à une thématique précise ; puis on les inventoriait, les décrivait, les photographiait ; on établissait des liens entre eux ; on est parvenu à établir des généalogies. Cela a renforcé mon goût pour les objets fonctionnels, pour l’étude concrète de la réalité matérielle du passé. Cette expérience m’a permis de travailler comme guide puis comme chargée d’inventaire au château de la Sarraz.

Le programme de spécialisation « Les arts et la Suisse » m’a offert l’occasion de me familiariser avec le milieu professionnel de l’étude du patrimoine. Pour ma spécialisation, j’ai réalisé un stage de recherche sur une maison de Cully qui a appartenu à l’architecte Pierre Margot. Le stage m’a été proposé par Dave Lüthi, lui-même ayant été sollicité par le conservateur des monuments historiques, qui souhaitait qu’une étude historique soit réalisée sur cette maison.

Il faut souligner le rôle central de Dave Lüthi pour l’intégration des étudiant·e·s au milieu des spécialistes du patrimoine du Canton de Vaud. Grâce à ses nombreux contacts, Dave Lüthi met en relation les étudiant·e·s avec les professionnels du domaine. Il leur offre la possibilité d’écrire des articles dans la revue Monuments vaudois ou de contribuer aux volumes de la collection « Architecture de poche » de la Société d’histoire de l'art en Suisse. Il s’efforce, dans son enseignement, de garantir un lien entre la théorie et la pratique.

Pour mon stage, j’ai exploré les archives de Pierre Margot qui avaient été conservées par ses filles ; j’ai visité la maison avec elles, j’ai pris des photos, et j’ai retracé toutes les transformations réalisées sur le bâtiment par l’architecte. La maison remonte au XVIIe siècle et se situe dans le noyau historique de Cully, dans une parcelle d’origine médiévale. Pierre Margot est un personnage à part dans le milieu de la restauration des monuments. Il s’est lancé dans ce domaine en solitaire et ne s’est jamais conformé aux principes du service des monuments historiques du Canton de Vaud, qui a été créé à la fin des années 60 alors que sa carrière était déjà bien entamée. Il a fait œuvre de pionnier, mais s’est toujours comporté en franc-tireur. Le stage m’a mise sur la voie du mémoire, que j’ai consacré à la figure de Pierre Margot.

À la fin de mon Master, j’ai rejoint l’Association romande des historien·ne·s de l’art monumental (ARHAM). À l’occasion de l’AG où j’ai été acceptée, j’ai organisé une visite de la maison de Pierre Margot. Au contact des membres de l’association et grâce aux encouragements de Dave Lüthi, j’ai décidé de me lancer comme indépendante. On m’a très vite proposé un mandat sur les restaurations de Pierre Margot réalisés sur la Maison du prieur à Romainmôtier dans les années 1960. J’ai rendu aux architectes mandatés pour de futures rénovations un rapport sur les transformations apportées à la maison, le tout parallèlement à la fin de mes études. Le projet de restauration est malheureusement suspendu, mais mon expertise a permis une compréhension plus fine de l’histoire du bâtiment.

Pour être rémunérée par rapport à ce travail, je devais posséder le statut d’indépendante. Je me suis fait aider pour les démarches administratives par Catherine Schmutz, conservatrice au château de Nyon, indépendante depuis des années. Il fallait simplement que je m’affilie à une caisse AVS en prouvant que j’avais des mandats ou des promesses de mandats.

Quelles compétences vous ont apportées vos études de Lettres ?

Je dirais globalement une bonne capacité rédactionnelle, un esprit d’analyse et un sens critique. J’ai acquis aussi en Lettres une formation méthodologique pour la recherche historique et pour la consultation des archives. Je sais m’appuyer sur des sources et les citer correctement. Ce sont des compétences précieuses qui peuvent s’élargir à d’autres domaines. J’ai aiguisé ma curiosité et j’ai étendu le domaine de mes connaissances, notamment en ce qui concerne l’histoire régionale. Ce sont mes études elles-mêmes qui ont suscité mon intérêt pour le domaine du patrimoine. Elles m’ont ouvert les yeux sur des possibilités de travail que je ne soupçonnais pas : elles m’ont fait comprendre qu’il y avait d’autres débouchés que l’enseignement !

Quels conseils donneriez-vous aux étudiant·e·s de Lettres pour accéder au secteur de l’étude et de la préservation du patrimoine ?

J’encourage les étudiant·e·s à participer aux sorties, aux visites de musée ou aux voyages d’études organisées par leurs enseignant·e·s. Je leur conseille de choisir des séminaires de nature pratique, avec des travaux sur le terrain. Il faut aussi chercher à accomplir des stages en s’adressant au service des bâtiments ou des monuments historiques des communes ou des cantons ou à d’autres institutions publiques. Les enseignant·e·s peuvent les aider à cela. Il y a aussi des inventaires à réaliser dans les musées régionaux. Je recommande également les visites guidées ou les surveillances de musée. Un bon moyen de devenir guide est de participer aux Journées du patrimoine en prenant contact avec les personnes responsables de celles-ci. Enfin, avoir une expérience de rédaction est important, que ce soit dans des revues comme Monuments vaudois ou dans des guides comme ceux de la collection « Architecture de poche ». En résumé, je dirais qu’il ne faut pas hésiter à prendre contact avec les personnes clés du domaine, à se montrer créatif et surtout à manifester sa passion. Le patrimoine est un secteur de niche qui offre de bonnes perspectives de travail.

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Sarah Réal

Médiatrice culturelle
au Musée Suisse du Jeu de La Tour-de-Peilz

Comment décririez-vous votre poste actuel?

En tant que médiatrice culturelle du Musée Suisse du Jeu de La Tour-de-Peilz, je suis responsable de mettre sur pied et de superviser le programme des activités culturelles du musée, afin de créer un lien avec les différents publics susceptibles de le fréquenter. Je m’occupe de mettre en valeur les expositions en organisant des activités et des événements. Je dirige en outre l’équipe des guides et des animateurs, qui accueillent les visiteurs du musée pour des ateliers et des visites guidées personnalisés. Je suis chargée enfin de créer un réseau de collaboration avec des partenaires externes comme des écoles ou d’autres musées.

Quel cursus avez-vous suivi dans notre Faculté?

Au niveau du Bachelor, j’ai choisi l’histoire et l’archéologie comme disciplines de base et l’histoire et les sciences des religions comme discipline complémentaire. Dans mon Master, j’ai poursuivi l’étude de l’histoire et de l’archéologie (en sciences de l’Antiquité). J’ai présenté mon mémoire en histoire médiévale. J’ai réalisé le programme de spécialisation Histoire du livre et édition critique des textes. J’ai obtenu mon diplôme de Master avec spécialisation en janvier 2013.

Avez-vous profité des activités offertes par l’UNIL dans le courant de vos études?

Je n’ai pas été active sur le plan associatif pendant mes études. Mais l’archéologie m’a permis de vivre des expériences très enrichissantes, non seulement grâce aux chantiers de fouilles obligatoires, mais surtout par la participation à deux voyages extraordinaires – l’un en Sibérie et l’autre au Népal – qui ont élargi mon regard sur le monde.

J’ai également participé deux fois aux Mystères de l’UNIL, dont une fois pour l’archéologie. C’était déjà pour moi une première expérience de médiation culturelle, même si à cette époque-là je ne planifiais pas vraiment de carrière dans ce domaine. J’ai aussi participé deux années de suite à la Nuit des musées pour un stand d’animation au Musée romain de Lausanne-Vidy.

Aviez-vous des activités extra-universitaires lors de vos études?

J’ai toujours travaillé à côté de mes études. Pendant mes années de gymnase et par la suite à l’université, j’ai occupé un petit emploi à la boutique et à l’accueil du Béjart Ballet. J’ai également eu un job au Capitole grâce à une amie de l’uni. J’ai pu profiter du fait qu’ils cherchaient du monde après la vente du Capitole à la Ville de Lausanne pour la Cinémathèque. J’ai aussi occupé un poste d’assistante-étudiante en histoire médiévale.

Quelles sont les différentes étapes de votre parcours professionnel aboutissant à l’obtention de votre poste actuel?

À la fin du Master, j’ai dû m’inscrire au chômage. Cependant, pendant tout le temps que j’ai été au chômage, je n’ai pas arrêté de travailler pour de petits mandats; j’ai donc eu une activité salariée en gain intermédiaire.

C’est grâce à une collègue de la Section d’histoire que j’ai pu obtenir mon premier mandat dans un musée: j’ai travaillé pendant deux mois, en 2013, sur un fond de photographies au Musée historique de Vevey comme assistante de collection muséale.

À la même période, j’ai adressé une offre spontanée au Musée romain de Vidy. Ma postulation tombait heureusement au bon moment: ils recherchaient un guide-animateur. Mais ce qui a surtout joué en ma faveur, c’était le fait que j’avais participé comme bénévole à l’animation d’un de leurs stands à la Nuit des musées.

Les dix années que j’ai passées à la boutique du Béjart Ballet m’ont permis d’avoir des contacts qui se sont révélés fructueux: comme j’avais signalé ma disponibilité pour un remplacement ou un mandat, on m’a offert en automne 2014 de remplacer la personne chargée des accréditations, qui partait en congé maternité. J’ai occupé cette fonction pendant quatre mois. Puis, deux mois après, j’ai été rappelée pour un poste à 20%, créé pour les accréditations et le secrétariat de l’Association du Cercle des Amis du Béjart Ballet; le poste a été augmenté peu après à 40%.

Parallèlement, j’ai eu une nouvelle proposition du Musée historique de Vevey. Une exposition allait être montée en collaboration avec le prof. Karl Reber, de l’UNIL. Ma fonction a été prolongée sur une année et demie. J’ai occupé ce poste à temps partiel.

Puis j’ai pu remplacer la médiatrice culturelle du Musée romain de Vidy pendant une année. J’ai travaillé à ce poste à mi-temps, parallèlement à mon emploi de chargée des accréditations au Béjart Ballet.

J’ai reçu ensuite en 2016 une proposition de travail sur une collection privée comme chargée de conservation. J’ai démissionné de mon poste au Béjart Ballet, et j’ai assumé ce nouvel emploi pendant six mois parallèlement à mon poste au Musée romain de Vidy. Après la fin de mon mandat de médiatrice culturelle, j’ai pu augmenter mon taux d’activité pour mon emploi de chargée de conservation, mais j’ai gardé une place au Musée romain de Vidy comme guide-animatrice, fonction que j’occupe encore aujourd’hui à un petit pourcentage!

Début 2017, j’ai pris connaissance d’une offre d’emploi pour une médiatrice culturelle au Musée Suisse du Jeu de La Tour-de-Peilz. J’y ai répondu, on m’a proposé un entretien d’embauche, et j’ai été prise! Le caractère polyvalent de mon profil a sans doute été un point fort de ma candidature. On a apprécié que j’aie une expérience dans différents musées, mais plus particulièrement au Musée historique de Vevey, à cause du réseau de collaboration qui relie les musées de la région. J’occupe ce poste aujourd’hui à 70% tout en ayant encore, comme je l’ai dit 

Quelle a été la valeur de vos études pour votre carrière professionnelle?

Les études de Lettres m’ont surtout été utiles pour l’acquisition de compétences générales, transférables dans un autre contexte, comme l’esprit critique, la capacité de rédiger et de structure un discours ou les compétences de recherche, d’analyse et de synthèse. Mon parcours universitaire m’a aussi appris à être flexible, à savoir m’adapter à différents contextes.

Quels conseils donneriez-vous à nos étudiant·e·s pour leur passage à l’emploi?

Premièrement, je dirais qu’il ne faut pas attendre la fin des études pour chercher à travailler dans le secteur d’activité qui vous intéresse, même en assumant une fonction modeste comme employée à l’accueil. Mes employeurs ont souvent été sensibles aux petits jobs que j’ai pu occuper pendant mes études. Avec ces petits emplois, j’ai accumulé de nombreuses petites expériences dans la sphère culturelle large. Elles m’ont permis d’avoir un CV profilé.

Il est important de savoir dans quel secteur on veut travailler, mais sans se crisper sur des objectifs trop précis, de crainte de se rendre aveugle par rapport à de nombreuses occasions qui se profilent. Il faut se montrer ouvert aux possibilités et accepter d’assumer des tâches dans lesquelles on ne se projetait pas forcément a priori. Il vaut mieux ne pas s’enfermer dans une vision rigide de soi-même en faisant preuve d’audace et de flexibilité.

Le réseau que je me suis constitué pendant mes études m’a été très utile pour mon intégration professionnelle. Tout le monde a un réseau: amis, camarades d’études, enseignants, employeurs… L’enjeu est de le maintenir vivant en gardant le contact. Pendant ma période de chômage, je n’ai pas hésité à solliciter mes connaissances dans l’espoir d’obtenir des informations sur des possibilités d’emploi. Il ne faut pas avoir honte d’être en recherche d’emploi: il vaut mieux en parler largement autour de soi, pour provoquer l’apparition d’occasions favorables.

Si l’on souhaite travailler dans le milieu culturel, il faut s’attendre à devoir accumuler les petites expériences avant de décrocher un emploi important: mandats de brève durée, remplacements, contrats à durée déterminée… Très souvent, on est contraint d’occuper plusieurs jobs en même temps! Dans ce contexte, il est important de faire preuve de flexibilité et de persévérance. Il ne faut pas se décourager: cette période d’incertitude, voire de précarité, est presque un passage obligé. Mais la patience finit par être récompensée: on sera amené un jour ou l’autre à occuper un poste fixe et intéressant.

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Pour aller plus loin

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Vous souhaitez vous renseigner sur les débouchés après des études à l’UNIL, faire un stage après votre Master, optimiser votre CV et votre lettre de motivation, avoir accès aux ressources sur Moodle ? Les conseillères et conseillers du SOC sont à votre disposition toute l'année: unil.ch/perspectives

Statistiques 

Premier emploi après les études: enquête de l’Office fédéral de la statistique (OFS) sur la situation professionnelle des diplômé·e·s des universités suisses. Ses résultats sont disponibles en ligne: orientation.ch

De l’UNIL à la vie active: résultats de l’enquête de l'OFS concernant spécifiquement les diplômé·e·s de l’UNIL: unil.ch/unisis

TandemPRO

Proposé par le Bureau des alumni, TandemPRO offre la possibilité aux diplômées et diplômés de l'UNIL (Doctorat, Master ou Bachelor) de s’entretenir avec un membre du réseau pratiquant dans le domaine d’activité ou exerçant la profession qui les intéresse. Une facilité également ouverte aux alumni en transition de carrière.

unil.ch/alumnil

BNF - Programme national de qualification

Programme national de qualification de l'Université de Berne destiné aux diplômées et diplômés universtaires sous forme de conseils personnalisés, de mise en réseau avec d'autres spécialistes et de formations ciblées. 

bnf.unibe.ch 

Parcours de diplômé·e·s

Retrouvez d'autres portraits dans l'espace Moodle du Centre de carrières de l'UNIL.

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