Partenaires

Le CIRM collabore avec des partenaires scientifiques, autant à l’échelle régionale qu’à l’échelle internationale. Avec les partenaires régionaux (centres de recherche, musées, parcs, associations) nous mettons sur pied des événements scientifiques et de médiation, et ces partenaires participent aussi aux programmes de soutien à la recherche. Au niveau international, nous collaborons avec des réseaux et des centres de recherche interdisciplinaires sur la montagne.

 

Partenaires régionaux

ALPS

L'ALPS met à l’honneur les femmes, les hommes et la montagne. Une histoire de surprises, de courage, de diversité, au cœur de l’actualité. Il est « l’ambassadeur des Alpes » dans la capitale suisse. Il interpelle le public sur des thèmes qui l’intéresse : identité, mobilité, tourisme, tradition et innovation, culture et nature. L'ALPS apporte un éclairage pertinent sur des questions complexes. Il questionne, contredit, émeut, irrite et provoque.

L'ALPS associe à son travail des scientifiques et des artistes, mais aussi le public du musée. Il souhaite offrir une vision d'ensemble, incluant aussi bien les aspects culturels que ceux des sciences naturelles. Son regard couvre l'entier de l’arc alpin, de la Slovénie à la France.

Exemples de projets et études : Heimat. À la recherche de traces à Mitholz ; Bureau des souvenirs retrouvés N°3 : Repair ; Check-in Check-out.

Lien Internet : https://alps.museum/fr/

Personne de contact : Barbara Keller, Directrice adjointe

Association pour la recherche archéologique dans le Val d'Anniviers (ARAVA)

Association à but non lucratif fondée en 2015 et basée à Fang, dont le but est d’aider la recherche scientifique et sa vulgarisation dans les domaines de l’histoire et de l’archéologie du Val d’Anniviers. L’association a pour origine le projet archéologique conduit sur le hameau médiéval de Fang.

Exemples de projets et études : Fouilles du hameau médiéval de Fang, Tiébagette ; prospections archéologiques dans le secteur de Fang ; études historiques dans le Val d’Anniviers ; enregistrement des toponymes anciens du Val d’Anniviers ; création d’une carte archéologique pour le Val d’Anniviers.

Lien Internet : https://www.archeologie-anniviers.ch/

Personne de contact : Cédric Cramatte, responsable scientifique

Association Culturelle pour le Voyage en Suisse (ACVS)

Fondée en 1998, l’ACVS cherche à promouvoir les études et les initiatives ayant trait à la connaissance des voyages en Suisse et dans les Alpes, ainsi que les recherches sur le tourisme et les circulations historiques des Suisses eux-mêmes. Elle se veut une interface entre l’université et la société.

 

L’ACVS engage plusieurs moyens, notamment des visites culturelles guidées, une exposition itinérante, un bulletin annuel, ainsi que des excursions sur le thème du voyage en Suisse. Elle soutient une collection de publications, «Le Voyage dans les Alpes», collabore avec le projet Viaticalpes et promeut les recherches académiques ou d’autres formes de productions.

 

Exemples de projets et études : expositions itinérante « Le voyage en Suisse », excursions annuelles, visites guidées de Lausanne, vidéos multimédia, application Wonderalp.

 

Lien internet : https://www.levoyageensuisse.ch/

 

Personne de contact : Daniela Vaj, co-présidente

Association de soutien aux recherches archéologiques sur le Mur (dit) d'Hannibal (RAMHA)

L'Association de soutien aux recherches archéologiques sur le Mur (dit) d'Hannibal (RAMHA) a été constituée en octobre 2011 dans le but de soutenir les recherches menées autour du Mur (dit) d’Hannibal et d’en promouvoir la valorisation scientifique dans le cadre d’un tourisme de montagne durable.

Un groupe de recherche interdisciplinaire participe à ce projet sous la caution scientifique de l’Archéologie cantonale valaisanne et en collaboration avec la Surintendance des activités et des biens culturels de la Vallée d’Aoste. Plusieurs communes, des organismes publics et privés et des membres soutiennent ce projet.

Exemples de projets et études : études interdisciplinaires (archéologie, histoire, géologie, archéozoologie, anthracologie, palynologie, épigraphie) en haute montagne dans les Alpes poenines; publications scientifiques et vulgarisées; valorisation tous publics par sentier didactique ou de randonnées, visites guidées et mise en place d'un espace d'interprétation.

Lien internet : www.ramha.ch

Personne de contact : Romain Andenmatten, responsable du groupe scientifique

Centre alpien de phytogéographie (Fondation Jean-Marcel Aubert)

La Fondation a été constituée par la volonté de la Ville de Genève, de l’État de Neuchâtel et de Monsieur Jean-Marcel Aubert en 1967. L’État du Valais et la Commune d’Orsières l’ont reprise en 2008. Le Centre alpien de phytogéographie (volet scientifique de la Fondation) a été créé le 1991, avec le soutien du Canton du Valais et de la commune d'Orsières. En 2019 un accord de collaboration a été signé entre le Jardin botanique alpin Flore-Alpe et le Département d’Écologie et d’Évolution de l'UNIL.

Exemples de projets et études : Relevés permanents de végétation débutés dans le cadre du programme national prioritaire “Environnement” (1993-1999) (Val d’Arpette et Belalp/Naters) tous les cinq ans ; 8 chambres ITEX depuis 1996 (Val d’Arpette) ; participation depuis 2001 au réseau GLORIA (Massif des Combins) ; réseau d’observation phénologique d’altitude Phenoclim (depuis 2004) ; mesures de la croissance des aroles depuis 2000 (Val d’Arpette).

Lien Internet : https://www.flore-alpe.ch/fr/recherche/

 

Personne de contact : Dr Christophe Randin, Directeur, Jardin Flore-Alpe & Centre alpien de phytogéographie

Centre de recherche sur les environnements alpins (CREALP)

Fondation à but non lucratif fondée par la ville de Sion et l’Etat de Valais, le CREALP (Centre de recherche sur les environnements alpins) fonctionne sur la base de mandats de recherche pour des projets liés aux dangers naturels, à la gestion des ressources naturelles, à l’environnement, aux changements climatiques.

Le CREALP joue le rôle d’intermédiaire entre le Canton et les bureaux d’études : mise en place de nouvelles méthodes d’investigation, homogénéisation des données et des produits (cartes de dangers, SIG, etc.).

Exemples de projets et études : système opérationnel de prévision et gestion des crues (MINERVE), suivi des instabilités de terrain (GUARDAVAL), suivi de la nappe phréatique du Rhône, monitoring des instabilités géologique en haute montagne, stratégie cantonale pour la gestion des eaux.

Lien Internet : https://www.crealp.ch/

Personne de contact : Antonio Abellan, Directeur

Centre régional d'études des populations alpines (CREPA)

Association de 11 communes valaisannes financée par le Service des Hautes Ecoles de l’Etat de Valais, le CREPA a une double vocation de recherche et d’animation socio-culturelle. Le centre dérive du Centre de recherches historiques qui exploitait les généalogies du Val de Bagnes. Actuellement, la base de données généalogiques du CREPA couvre également les régions de St Maurice, de Saxon et d’autres vallées et contient des données sur 300'000 personnes.

Le centre emploie des historien.ne.s, une animatrice socioculturelle, une archiviste, un responsable de la base de données, deux chercheur.e.s associé.e.s et des stagiaires. Il entretient des partenariats avec des universités, laboratoires de recherches et autres institutions dans le cadre du réseau alpin.

Exemples de projets et études : consortages d’alpages, histoire religieuse, sexualité et généalogie, patrimoine culinaire.

Lien Internet :  https://www.crepa.ch/

Personne de contact : Yann Decorzant, Directeur

Fondation pour le développement durable des régions de montagne (FDDM)

Fondation à but non lucratif créée en 1999 par l’Etat du Valais et la Ville de Sion, la FDDM soutient et valorise des projets qui contribuent à une meilleure qualité de vie des populations de montagne, principalement en Valais. Elle accompagne les administrations cantonales et communales, les entreprises et les écoles vers plus de durabilité, en favorisant les activités qui réunissent les milieux de l’environnement, de l’économie, du social, de la culture et de la politique.

Exemples de projets et études : Stratégie de développement durable du canton de Valais, coordination du Plan climat de Sion région, accompagnement de OIKEN dans la définition de son programme RSE-durabilité, animation sur la thématique des déchets dans les classes valaisannes

Lien Internet : http://www.fddm.ch/

Personne de contact : Laurence Vuagniaux, Directrice

Forschungsinstitut zur Geschichte des Alpenraums

Le Forschungsinstitut zur Geschichte des Alpenraums a été fondé le 27 novembre 1990 sur la base d’un contrat passé avec la Fondation suisse pour le château Stockalper, le Canton et l’Université de Fribourg, le Canton du Valais et la Municipalité de Brigue.

 

L’Institut de recherches s’est donné pour buts :

  • l’édition des documents importants des archives Stockalper,
  • les recherches sur l’histoire des Alpes et
  • la médiatisation à travers les publications et les manifestations

 

Exemples de projets et études : Base de données climatiques et des dangers naturels

 

Lien internet : www.stockalperstiftung.ch 

Personne de contact : Dr Marie-Claude Schöpfer, directrice

Fédération des fondations et associations historiques du Chablais

Fédération de 17 associations et 8 communes vaudoises et valaisannes, fondée en 1997 avec pour but de préserver le patrimoine culturel du Chablais. En 2008, la fédération s’établit au Château de la Porte du Scex de Vouvry avec le Musée du Chablais, actuellement fermé.

 

Exemples de projets et études : expositions sur l’histoire et le patrimoine du Chablais, maquette interactive sur la plaine du Rhône.

 

Lien Internet : http://musee-chablais.ch/site/index.php/federation 

 

Personne de contact : Elfrieda Walder, Présidente

Fondation Maison des Alpes

Crée en 2002 pour promouvoir le patrimoine culturel et naturel de l'arc alpin, et pour créer un Centre de visiteurs sur les Géosciences alliant compétence et pédagogie. En 2005 la Fondation a acquis l’édifice «De Ribaupierre» de 1543 à La Fauchère (Evolène). En 2015 elle reprend le Centre de géologie et glaciologie, un espace d’exposition créé par l’association culturelle Evolèn’Art en 1990, situé dans l’ancien bâtiment de l’école à Les Haudères (Evolène). Il est ouvert de juin à octobre deux après-midis par semaine, et en hiver sur demande. En 2018 il y a eu environ 200 visiteurs.

Exemples de projets et études : expositions, ateliers, excursions et conférences sur les sujets : croûte océanique et volcans sous-marins, pierre ollaire, glaciers et changement climatique, géothermie, cycle de l’eau, dangers naturels, bois et forêts, plantes invasives et utiles, fibres minérales, pierres à bâtir et carrières de roches locales, insectes.

Lien internet : www.lamaisondesalpes.ch

Personne de contact : Romaine Perraudin-Kalbermatten et Hans-Rudolf Pfeifer, membres du comité

Institut d'ingénierie du territoire de la Haute École d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud

Au sein d’INSIT, l’ingénierie du territoire est comprise comme l’ensemble des techniques, connaissances et savoir-faire qui sont sollicités pour amener les territoires vers une plus grande qualité de vie, une meilleure qualité de l’environnement et plus d’efficacité économique.

L’institut a choisi de rassembler ses diverses compétences autour de deux défis :

  1. La relation entre le territoire et les changements climatiques 
  2. La numérisation des métiers de l’ingénierie du territoire

Un des défis abordés dans les axes stratégiques est d’observer et de modéliser l’évolution et le suivi des dangers naturels sous l’effet du changement climatique.

 

Exemples de projets et études : AlpFire, Slide-PM, Ollon-VD, FA-VD, CCRITER

 

Lien internet : https://heig-vd.ch/rad/instituts/insit

 

Personne de contact : Erika Prina Howald, Professeure en dangers naturels et géotechnique

Institut "Kulturen der Alpen"

L'Institut « Kulturen der Alpen » a été fondé en 2019 et se consacre à toute l'étendue thématique des particularités de la région alpine – des témoignages préhistoriques aux traditions spécifiques et aux défis du présent. Elle est axée sur les sciences culturelles et sociales et est transdisciplinaire, cherchant à échanger avec les sciences naturelles et les arts. L'institut est organisé comme un institut indépendant de l'Université de Lucerne et est basé à Uri. En plus de la recherche, l'Institut se veut un lieu de médiation: entre les approches des sciences naturelles, des sciences humaines et des sciences sociales, entre les sciences, les savoirs empiriques et les arts, entre les schémas de pensée et les discours académiques, culturels et politiques.

 

Exemples de projets et études : « Bergeis », « Kulturwirtschaft im Gotthardraum », « Die Alpen im Lied der viersprachigen Schweiz »

 

Lien internet : https://www.kulturen-der-alpen.ch

Personne de contact : Prof. Dr. Boris Previšić, directeur. 

LabiSAlp
Le LabiSAlp (Laboratorio di Storia delle Alpi) a été constitué comme la suite naturelle de l'Istituto di Storia delle Alpi, né en 2000 grâce à un accord entre l'Università della Svizzera italiana (USI) et l'Association Internationale pour l'Histoire des Alpes (AIHA). Depuis 2006 le LabiSAlp est intégré dans l'Accademia di architettura de l'USI et a son siège à Mendrisio.
 
Le LabiSAlp place au centre de son attention l’espace alpin, en considérant les aspects territoriaux, économiques, sociaux, culturels, démographiques et politiques qui sont abordés dans leur dimension historique et dans leurs interactions avec le monde extra-alpin.
 
Exemples de projets et études : Les processus de modernisation dans l’arc alpin ; Modèles touristiques et gouvernance territoriale ; Systèmes de propriété et dynamiques territoriales ; Histoire économique et industrialisation des Alpes ; Agriculture et ruralité dans l’arc alpin ; Dynamiques démographiques, mobilités et migrations.
 
Lien internet : www.labisalp.arc.usi.ch
 
Personne de contact : Prof. tit. Luigi Lorenzetti, Coordinateur
Landschaftspark Binntal

Le parc naturel de la vallée de Binn est un “Parc naturel régional d’importance nationale”. Il est situé dans le Haut-Valais dans le district de Conches et s’étend sur le territoire des communes de Binn, Ernen, Grengiols, Bister. Le parc de 165 km2 porte le nom de la vallée de Binn que la population locale a placé sous protection dès 1964 et qui fait partie de l’Inventaire des paysages, sites et monuments naturels d’importance nationale depuis 1977. Les deux principaux objectifs du parc naturel de la vallée de Binn sont de préserver le paysage intact et la nature diversifiée et de promouvoir l’économie régionale.

Exemples de projets et études : Réhabilitation de la route historique dans les Gorges de Twingi ; Valorisation de la tulipe de Grengiols (Tulipa grengiolensis) ; Conservation de l’habitat des tétras dans les Alpes de Binn ; Nombreuses offres éducatives et touristiques dans les domaines de la nature et de la culture ; Rénovation de la gare de Niederwald (Station Ritz) avec des expositions sur César Ritz et les deux peintres Lorenz Justin et Raphaël Ritz, tous originaires de Niederwald.

Lien Internet : www.landschaftspark-binntal.ch

Personne de contact : Moritz Clausen, Directeur

Lötschentaler Museum

Le musée du Lötschental est à la fois la mémoire et le centre culturel de la vallée. C'est un lieu de préservation des biens culturels, de documentation, de transfert de connaissances, de rencontres et d'échanges. Dans ses activités, le musée du Lötschental est guidé par le code d'honneur du Conseil international des musées (ICOM) et sa définition du musée, qui se lit comme suit : "Un musée est une institution permanente à but non lucratif au service de la société et de son développement, ouverte au public, qui collecte, conserve, recherche, communique et expose des preuves matérielles de l'homme et de son environnement à des fins d'étude, d'éducation et de divertissement". 

Exemples de projets et études : Fundbüro der Erinnerungen, en collaboration avec le Musée alpin de la Suisse (2020-21); Frauen im Berggebiet (2021); Fotografie im Lötschental, en collaboration avec la Médiathèque Valais – Martigny (2021-22)

Lien internet : www.loetschentalermuseum.ch

Personne de contact : Thomas Antonietti, conservateur

Musée de Bagnes

Le Musée de Bagnes conserve, gère et met en valeur des collections de biens culturels liés au monde alpin. Il organise des expositions thématiques et d’art contemporain. Il développe des projets de recherche en résonnance avec le territoire du val de Bagnes. Fondé en 1976, le Musée est un service de l’administration communale.

Exemples de projets et études : Exposition de photographie contemporaine sur le barrage de Mauvoisin. Expositions thématiques et recherches : « Ce Valais qui n’a pas été », « Valaisan par nature », « Giétro 1818 », « Le Raclette ».

Lien internet : www.museedebagnes.ch

Personne de contact : Mélanie Hugon-Duc, Directrice du Musée de Bagnes.

 

Musée d’Isérables

Le Musée est créé en 1966 par un groupe de passionnés. En 2003, la Fondation Pro Aserablos déplace le Musée dans un nouvel espace où le village d’Isérables est évoqué par 3 thèmes : la situation en pente, la richesse du blé et le symbole du berceau. De plus, l’espace d’exposition temporaire accueille 1 exposition par année.

Les buts du Musée sont de préserver et de documenter le patrimoine du village et de mener des recherches scientifiques orientées sur l’histoire et l’ethnologie.

Exemples de projets et études : Expositions : La Terre de Pentes (mutations de l’agriculture de montagne), avec le film « Ce qu’on fait de nos peines » ;  Souvenirs du Drotché (chantier d’Isérables 1954-1960 pour la Grande Dixence), avec le film « La vie de tunnel ».

Lien internet : www.iserables.org

Personne de contact : Narcisse Crettenand, président Fondation Pro Aserablos

Musée des Ormonts

Le Musée des Ormonts est installé depuis juillet 2008 dans le village historique de Vers-L'Eglise. Né d'une association créée en 1989 qui regroupe les communes d’Ormont-Dessous et Ormont-Dessus (Vaud). Ses buts sont de récolter et de conserver le patrimoine ormonan (objets, documents, images, films etc.) et de le mettre en valeur au moyen d’expositions, publications, conférences etc.

Exemples de projets et études : Expositions temporaires sur l’histoire des sports d’hiver, patrimoine photographique, 100 ans du train ASD (Aigle-Sépey-Diablerets), peintres, énergie hydraulique, histoire des routes. Etudes sur lieux-dits, parler ormonan, architecture.

 

Lien Internet : www.museeormonts.ch

Personne de contact : Virginie Duquette, conservatrice 

Musée valaisan des bisses

L’association du Musée existe depuis 2009 et le Musée s’est installé dans les murs de la Maison Peinte (Botyre) en 2012. L’institution remplit trois rôles clés autour du patrimoine « bisse » : conserver, transmettre et faire de la recherche. Depuis son inauguration, le musée propose une exposition permanente dédiée à l’histoire des bisses à travers les siècles au sein de dix salles. En 10 ans, le Musée a également créé 14 expositions temporaires, organisé plus de 200 animations, inventorié 280 bisses sur son site, conservé plus de 2’000 documents et 400 objets et plus de 30’000 visiteurs ont déjà passé les portes de la Maison Peinte. 

Exemples de projets et études : Le Musée s’organise par période de deux ans autour d’un thème de recherche. En 2021-2022, les consortages étaient au centre et en 2023-2024, c’est les liens entre bisses et environnement qui sont approfondis. Ces recherches bisannuelles se traduisent par deux expositions temporaires, un programme de médiation, un colloque scientifique et une publication qui clôture la recherche.

Lien Internet : https://bisses-valais.ch/

Personne de contact : Gaëtan Morard, Directeur et responsable scientifique

Office cantonal d'Archéologie

Préserver, recenser, documenter et valoriser le patrimoine archéologique constituent les principales missions de l'Office cantonal d'Archéologie (OCA) qui intervient sur l'ensemble du territoire valaisan.

Exemples de projets et études : Archéologie d’altitude dans la commune d’Evolène 2024-2025, les recherches sur le Mur (dit) d’Hannibal à Liddes (en collaboration avec l'association RAMHA, l’UNIL et l’UNIBA), les recherches archéologiques sur le site d’extraction de Fer des Tseppes à Trient (en collaboration avec l'association Vallis Triensis et l'UNIZH). 

Lien Internet : www.vs.ch/web/archeologie

Personne de contact : Caroline Brunetti, Cheffe de l'Office et Romain Andenmatten, archéologue

Parc Gruyère Pays-d'Enhaut

Le Parc Gruyère Pays-d’Enhaut s'étend entre Montreux et Bulle, Gstaad et Gruyères sur un territoire de 630 km2 sur 17 communes et touchant 3 cantons (VD, FR, BE). C'est un parc naturel régional au sens de la Loi fédérale sur la protection de la nature (LPN). L'association responsable de la gestion du parc a été créée en 2006 et a obtenu l'octroi du label parc d'importance nationale (parc naturel régional, PNR) par l'Office fédéral de l'environnement pour la période 2012-2021. Le renouvellement de la charte est en cours pour la période 2022-2031. 

 

Les missions du Parc Gruyère Pays-d'Enhaut sont notamment la préservation et la mise en valeur de la qualité de la nature et du paysage, le renforcement des activités économiques axées sur le développement durable, la sensibilisation du public et l'éducation à l’environnement, la garantie à long terme. 

 

Exemples de projets et études : Nombreux projets dans les domaines paysage, biodiversité, agriculture, forêt filière bois, tourisme, produits et entreprises partenaires, énergie et mobilité, sensibilisation, territoire en réseau, communication et gestion.

Lien Internet : www.gruyerepaysdenhaut.ch

Personne de contact : Bruno Clément, codirecteur

Parc naturel Pfyn-Finges

Le Parc naturel de Pfyn-Finges s'étend dans le Valais central, de Gampel à Sierre sur 12 communes. En 2013, ces communes ont reçu la distinction de Parc naturel régional d’importance nationale pour leurs valeurs naturelles et paysagères exceptionnelles. Le Parc naturel vise à pérenniser le développement de la région par des impulsions et des mesures régulières. Une convention de prestations conclue avec la Confédération et le canton définit les activités du Parc naturel Pfyn-Finges dans le cadre de projets concrets. Celles-ci veulent sensibiliser et former, préserver et valoriser, promouvoir et renforcer.

Exemple de projets et études : Le pacage de la steppe rocheuse et réserve forestière bois de Finges, la valorisation de zones écologiques, Bénévolat pour la nature. Registre régional avec des délices locales et saisonnières, conjointement avec les entreprises locales, sensibilise les habitants au sujet de l'énergie. Semaines Technique et nature, Jardin de l'école. 

Lien internet : https://www.pfyn-finges.ch/

Personne de contact : Evelyne Oberhummer, Responsable de secteur Nature et paysage. 

Parc naturel régional Jura vaudois

Le Parc Jura vaudois est un parc naturel régional, au sens de la Loi fédérale sur la protection de la nature (LPN), reconnu d’importance nationale en 2013. Il s'étend du sommet de La Dôle, jusqu’au bourg de Romainmôtier en passant par les villages du Pied du Jura et la vallée de Joux. Un territoire de près de 40'000 habitants et 34 communes réunies par une même volonté sur un territoire de 568 km2 (soit 20 % du Canton de Vaud). Le Parc est géré par une association à but non lucratif, dont le siège est à Saint-George.

La Confédération a confié 5 missions aux parcs naturels régionaux :  la préservation et la mise en valeur de la qualité de la nature et du paysage, le renforcement des activités économiques fondées sur le développement durable, la sensibilisation du public et l'éducation en vue d’un développement durable, la recherche ainsi que la communication, les partenariats et la garantie territoriale.  

Exemples de projets et études : Observatoire citoyen du paysage, aménagements paysagers en faveur de la qualité de vie, actions citoyennes en faveur d’espèces prioritaires, suivi et restauration de biotopes ainsi que des murs en pierres sèches, éco-volontariat pour la nature. Création de filière courte et valorisation des produits du terroir et des entreprises partenaires, alpages sentinelles (évolution face aux changements climatiques). Appui à la transition énergétique et à une mobilité durable. Sensibilisation et éducation au développement durable.

Lien Internet : https://parcjuravaudois.ch/fr

Personne de contact : Paolo Degiorgi, Directeur

Parc naturel régional de la Vallée du Trient

Le Parc naturel régional de la vallée du Trient s'étend sur un territoire de 222 km² dans le canton du Valais, en Suisse. Il englobe les communes de Saint-Maurice, Evionnaz, Vernayaz, Salvan, Martigny-Combe, Finhaut et Trient. Ce parc a été officiellement approuvé par la population en 2024, renforçant ainsi son statut de Parc naturel régional d'importance nationale, attribué par l'Office fédéral de l'environnement.

Le parc est un véritable écrin de nature, avec ses paysages alpins, ses forêts, ses alpages et ses crêtes spectaculaires. Il abrite une grande biodiversité et s'engage activement dans la conservation des milieux naturels, la gestion des ressources et la mise en valeur de son patrimoine. Son objectif est de garantir une gestion durable de son territoire tout en soutenant les activités économiques locales, notamment l'agriculture durable, le tourisme responsable et les entreprises régionales.

Les missions du parc incluent la préservation des écosystèmes et des paysages, la valorisation des produits locaux, ainsi que l'éducation à l'environnement et la sensibilisation des habitants et des visiteurs. Il soutient également des initiatives visant à favoriser la mobilité douce, à réduire l'empreinte écologique du tourisme et à renforcer les pratiques agricoles respectueuses de la nature.

 Exemples de projets : restauration des milieux naturels, gestion durable des forêts, préservation des paysages alpins, développement d'une agriculture biologique, promotion de l'éco-tourisme, et sensibilisation à la biodiversité et aux énergies renouvelables.

Lien Internet : www.parc-valleedutrient.ch

Personne de contact : Luc Pignat, Directeur du Parc

WNF-UNESCO World Heritage Swiss Alps Jungfrau-Aletsch

Le WNF a été inauguré en septembre 2016 à Naters, pour faire connaitre le site UNESCO World Heritage. Le but de notre exposition permanente est, entre d'autres, de répondre aux multiples questions qui se posent actuellement, comme « Comment transformer le tourisme valaisan lorsqu’il n’y aura plus de neige en hiver ? ».

Nous essayons, à travers des études et de la sensibilisation auprès de nos visiteurs, de faire face, « à notre taille », au changement climatique en cours, et au danger que cela représente pour nos Alpes.

Exemples de projets et études : expédition 2 Degrés (grâce à la réalité virtuelle nous sensibilisons le visiteur au réchauffement climatique), éducation au développement durable (écoles), visite guidée (sensibilisation), conférences en relation avec le réchauffement climatique, les Alpes, la culture alpine, etc.

Lien internet : www.jungfraualetsch.ch

Personne de contact : Hans Christian Leiggener, Président

 

Partenaires internationaux

Centre d’études francoprovençales René Willien

Le Centre d'études francoprovençales René Willien (CEFP) a son siège à Saint-Nicolas, Vallée d'Aoste (Italie). Fondé en 1967, sous le haut patronage de la Région autonome Vallée d’Aoste, il œuvre dans le domaine de la recherche et de la promotion du francoprovençal et de la culture alpine. Une claire visée internationale est présente depuis le début à travers les personnalités de trois professeurs d’université, Ernest Schüle (Université de Neuchâtel), Gaston Tuaillon (Université de Grenoble) et Corrado Grassi (Université de Turin), qui avec le premier Président René Willien entendent créer un lieu d’échanges et de discussion sur les études francoprovençales. Dès sa fondation, le Cefp a été le promoteur de chantiers de grande envergure comme l’Atlas des Patois Valdôtains et l’Enquête toponymique. Au fil du temps, les activités et les partenaires se sont multipliés, grâce au travail synergique des membres de l’équipe scientifique, spécialistes des différents domaines de recherche en sciences humaines et sciences du langage. Le Cefp organise un colloque annuel international, avec publication des actes, publie une revue avec comité de lecture international, l’unique entièrement dédiée aux études francoprovençales, organise des semaines interdisciplinaires de formation pour étudiants, chercheurs et professeurs, avec un focus sur la culture alpine et/ou la langue francoprovençale. À côté du travail scientifique et d'édition, il développe aussi des activités ciblées pour différentes catégories de public (conférences, capsules vidéo, expositions itinérantes), afin de restituer sur le territoire des contenus variés et utiles à stimuler le débat et la floraison d'idées nouvelles, en collaborant aussi avec les institutions scolaires.

 

Exemples de projets :

Entre 2017 et 2023, le Centre d'études francoprovençales a entamé des recherches au carrefour de l’anthropologie et de la linguistique, afin d'étudier les représentations spatiales dans la région intra-alpine historiquement d'expression francoprovençale, à cheval entre la France, l'Italie et la Suisse, et dans la première vallée adjacente, au sud des Alpes, à l'est de l'espace francoprovençal, auprès de deux communautés germanophones (dans les communes Walser de Gressoney-La-Trinité, Gressoney-Saint-Jean et Issime).

À partir de l'analyse de quelques structures linguistiques présentes dans le langage courant, il a été possible de constater la richesse de l'expression spatiale de ces groupes de locuteurs, mais aussi une extrême précision dans la définition du mouvement sur un territoire montagneux particulièrement complexe à décrire. L'existence de représentations spatiales comparables a suggéré au chercheur d’analyser ces structures linguistiques sur la base des modèles de Stephen C. Levinson (2003), ce qui a fait émerger l'extrême particularité de ces expressions, se caractérisant par la persistance d'un ancien cadre de référence spatiale de type absolu au sein de ces communautés linguistiques (Dunoyer, 2024a & 2024b ; Dunoyer, à paraître).

Cette première phase d’analyse constitue la base d’une interrogation anthropologique sur le rôle de l’habitat dans l’émergence des représentations culturelles, question débattue par les linguistes et les anthropologues depuis plus d’un siècle (Sapir 1912, Urban 2020). Au centre de la réflexion se trouve en effet la relation entre l'homme et l'espace, perçue comme un facteur déterminant dans le processus de structuration d'un certain style cognitif, propre aux locuteurs d'une langue spécifique.

La deuxième phase du projet s’ouvre maintenant et s’élargit à l’ensemble de l’arc alpin, voire à d’autres régions de montagne, afin d’explorer d’une manière approfondie le triangle homme-langue-espace sur une aire plus vaste mais ayant des caractéristiques physiques et culturelles comparables.

 

 Site internethttps://www.centre-etudes-francoprovencales.eu/

Contact : Christiane Dunoyer, directrice scientifique du CEFP

Global Mountain Biodiversity Assessment (GMBA)

Créé en 2000 par l'Académie Suisse des Sciences, le GMBA est une plateforme de collaboration internationale et interdisciplinaire sur l'évaluation, la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité dans les régions de montagne.

Le GMBA promeut la recherche sur la biodiversité de montagne ; facilite l'accès aux résultats de la recherche et leur utilisation par les scientifiques, les décideurs et les acteurs en charge de la conservation et de l'utilisation durable des écosystèmes de montagne ; et facilite le dialogue entre acteurs.

Exemples de projets et études : Portail en ligne de biodiversité en montagne ; inventaire des montagnes du monde ; rôle de la biodiversité pour le développement durable ; groupes de travail (p. ex., sur le monitoring à long-terme d’écosystèmes de montagne).

Lien Internet : http://www.gmba.unibe.ch

Personne de contact : Davnah Urbach, Coordinatrice scientifique

 

Institut für Interdisziplinäre Gebirgsforschung (IGF)

L'Institut de recherche interdisciplinaire sur la montagne (IGF) à Innsbruck est un centre de recherche de l'Académie autrichienne des sciences (ÖAW). L'IGF étudie les manifestations et les impacts des processus de changement global (changement climatique et mondialisation) dans les régions de montagne du monde entier. À l'aide de vastes bases de données et de modèles d'observation et analyse, l'IGF étudie l'interaction entre les humains et l'environnement dans les régions de montagne dans la cryosphère (glaciers et pergélisol), la lithosphère (glissements de terrain), la biosphère (biodiversité) et l'anthroposphère (processus démographiques et géographiques, utilisation des terres, changement de la couverture terrestre et des paysages culturels, développement des zones protégées).

 

Exemples de projets :

  • L'IGF promeut et active de nombreux projets de recherche et de développement pour la conservation et la durabilité des régions de montagne :
  • Caution : Glissements de terrain dans les environnements de haute montagne - impacts du changement climatique, exposition et implications politiques.
  • Highlands.3 : L'objectif est de contribuer au développement durable inclusif dans les hautes terres par des sessions de recherche et d'innovation collectives et axées sur l'impact dans les régions de montagne du monde entier.
  • GLORIA : Ce programme de monitoring et de recherche à long terme est consacré à la saisie et à l'évaluation des changements anthropogènes (changement global, en particulier changement climatique) dans la biodiversité des écosystèmes de montagne du monde.

 

Contact : Margreth Keiler, directrice 

International Mountain Society

Le CIRM est membre de l’International Mountain Society (IMS) depuis 2019. L'objectif de l’IMS est de faire progresser les connaissances et de diffuser des informations sur la recherche et le développement en montagne dans le monde entier. L'IMS vise à promouvoir le développement durable des montagnes par une meilleure communication entre les institutions et les individus, en mettant l'accent sur les écorégions montagneuses du monde en développement.

Afin de poursuivre cet objectif, l'association publie une revue trimestrielle, Mountain Research and Development (MRD). La revue est consacrée aux montagnes et aux plaines environnantes – des écorégions d'une importance mondiale particulière, dans lesquelles les communautés sont souvent marginalisées. MRD cherche à présenter les meilleures recherches et approches de développement récentes dans les systèmes montagneux du monde. Les articles sont évalués par des pairs et proposent des résultats de recherche aux niveaux international et national sur des sujets clés relatifs aux montagnes, aux populations montagnardes et au développement durable en montagne. Emmanuel Reynard et Iago Otero sont membres du comité éditorial international.

 

Lien internet de l’IMS : https://www.mrd-journal.org/international-mountain-society/

Lien internet de MRD : https://www.mrd-journal.org/

Personne de contact : Susanne Wymann von Dach

Labex ITTEM

Le Labex ITTEM – Laboratoire d'excellence Innovations et transitions territoriales en montagne – fédère des chercheuses et chercheurs issus de neuf laboratoires en sciences humaines et sociales des Universités Grenoble Alpes et Savoie Mont-Blanc et de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE). Encourageant une approche globale, il accompagne l’action publique en montagne par des projets construits avec les actrices et acteurs des territoires, dans une perspective de développement soutenable. Il réinterroge sous le double angle de l’innovation et de la transition les problématiques territoriales et environnementales : mutations socio-économiques et bouleversements environnementaux planétaires, déclinés à l’échelle locale.

Exemples de projets et études : Soutien à des programmes de recherche, financement de thèses et post-doctorats, d'ateliers pédagogiques ou de stages d’étudiants ; organisation de rencontres entre chercheurs et acteurs des territoires ; partenariats avec des acteurs académiques ou socio-économiques, en France et à l’étranger ; publications d’ouvrages…

Lien Internet : www.labexittem.fr 

Personne de contact : Kirsten Koop, coordinatrice scientifique du Labex ITTEM

Mountain Research Initiative (MRI)

Mountain Research Initiative est un réseau international qui promeut la recherche sur les régions de montagne au-delà des frontières et des disciplines à travers la communication et la collaboration, en vue de soutenir le développement durable.

À travers des activités phares, ateliers de synthèse, groupes de travail, et plateformes en ligne, MRI réunit des chercheurs et des intervenants de diverses disciplines. MRI travaille avec la communauté des chercheurs et la société en général pour identifier les priorités de recherche et les possibilités d’action commune, en soutenant cette action commune par le financement, la coordination et l’assistance administrative.

Exemples de projets et études : codirection de l’initiative GEO GNOME, publication du document de synthèse Leaving No One in Mountains Behind: Localizing the SDGs for Resilience of Mountain People and Ecosystems, publication de l’article Elevation-Dependent Warming in Mountain Regions of the World (Nature Climate Change).

Lien Internet : www.mountainresearchinitiative.org

Personne de contact : Dr. Carolina Adler, Directrice exécutive

Università della Montagna - Università degli Studi di Milano

Le centre d'excellence Università della Montagna (UNIMONT), un pôle de l'Università degli Studi di Milano, est un centre de formation et de recherche innovant, spécialisé dans l'étude des complexités du territoire montagnard. Il est basé au cœur de la chaîne alpine, dans la Valle Camonica, à Edolo, province de Brescia. Edolo est une petite commune de montagne de moins de 5000 habitants. UNIMONT fonctionne sur les trois axes de l'université : l'enseignement, la recherche et la troisième mission, qui travaillent en synergie pour promouvoir le développement des territoires de montagne. L'enseignement comprend le bachelor "Valorisation et protection de l'environnement et du territoire de montagne" et le master international en anglais "Valorisation et développement durable des zones de montagne", ainsi que des cours supplémentaires et un master en gestion de projets pour la montagne. Le site d'Edolo accueille également le Centro di Studi Applicati per la Gestione Sostenibile e la Difesa della Montagna, un centre de recherche composé de 9 départements de l'Università degli Studi di Milano.

Exemples de projets et étudesSous la direction de son centre de recherche, UNIMONT promeut et active de nombreux projets de recherche et de développement pour la conservation et la durabilité du territoire de montagne. Les projets d'UNIMONT ont un impact au niveau régional, national et international, et se concentrent sur trois domaines de recherche : agro-environnemental, socio-économique et développement territorial, et juridico-administrative. MountResilience – Accelerating transformative climate adaptation for higher resilience in European mountain regions // TranStat – Transitions to Sustainable Ski Tourism in the Alps of Tomorrow // ‘Agritech’: il Centro Nazionale per lo sviluppo delle Nuove Tecnologie in Agricoltura

Site internet : https://www.unimontagna.it/

Personne de contact : Prof. Anna Giorgi, directrice Università della Montagna et coordinatrice scientifique du Centro di Studi Applicati per la Gestione Sostenibile e la Difesa della Montagna.

Network for European Mountain Research (NEMOR)

Fondé en 2017, le NEMOR est une initiative collaborative comprenant 42 institutions publiques et privées engagées à faire progresser la recherche et le développement durable dans les régions de montagne européennes. L'adhésion au NEMOR permet aux institutions de s'engager avec la plus grande communauté de recherche sur la montagne en Europe, en participant à des groupes de travail spécialisés et en collaborant à des projets de recherche et d'innovation axés sur les défis uniques auxquels ces zones sont confrontées.

L'expertise du NEMOR englobe une grande variété de sujets liés à la durabilité des montagnes, notamment l'agrobiodiversité, l'écologie, le tourisme, l'énergie et le climat. Les principaux objectifs du NEMOR sont la promotion de la recherche transdisciplinaire, l'établissement de priorités de recherche conformes à la vision d'Euromontana et le renforcement des réseaux de montagne et des partenariats transfrontaliers. Il vise à faire progresser les initiatives alignées sur les priorités de l'UE en matière de transport de la recherche. Le NEMOR souligne également le rôle vital des montagnes dans l'écosystème européen et sert de pont pour relier la recherche européenne sur les montagnes aux initiatives mondiales.

Exemples de projets et études : La plupart des travaux de NEMOR sont réalisés par des groupes de travail tels que le groupe de travail sur l'agrobiodiversité en montagne, le groupe de travail sur les zones sans routes, le groupe de travail sur le climat et les migrations, le groupe de travail sur l'éducation ou le groupe de travail sur l'évaluation du capital naturel. En abordant ces domaines, le NEMOR vise à améliorer la recherche pour soutenir les communautés et les écosystèmes de montagne en Europe.

 

Site internet : https://nemor.creaf.cat/

Personne de contact : Dr. Bernat Claramunt, Coordinateur

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