Questions personnelles
Petit, vous vouliez être…?
Médecin! Un peu plus tard, j’ai voulu devenir rock star – je composais et je jouais dans un groupe, Fish and Chips. Mais je me suis dit que c’était un métier un peu risqué…
Votre livre de chevet?
Cent ans de solitude, de Gabriel Garcia Marquez.
Le film qui vous accompagne?
Le grand bleu, de Luc Besson.
Un ou une artiste qui vous inspire?
Rothko.
La ville de vos rêves?
Jericoacoara, au Brésil. Pas vraiment une ville, plutôt un village sur la plage. Mais le meilleur spot au monde pour le kitesurf.
Un lieu, un jardin secret où vous aimez vous ressourcer?
La forêt; j’aime cette odeur.
La fleur que vous aimez?
L’orchidée.
Un animal-totem?
Le «sea eagle», le pygargue. J’aime la mer, et quand on fait du kitesurf, on est à la fois dans le vent et sur l’eau, entre deux éléments – comme lui. Enfin, j’aime le poisson!
Quel don souhaiteriez-vous posséder?
Parler arabe. Pour la culture, et pour faire tomber les barrières que pose la langue.
Et si vous aviez un superpouvoir?
Parler toutes les langues du monde.
Vos héros/héroïnes dans l’Histoire?
Obama. Notamment pour sa classe oratoire.
Et si vous étiez un personnage de fiction?
Un personnage qui peut voler.
Technophile, technophobe?
Dans notre métier, la technologie est incontournable. Mais je trouve important de garder une vue globale; je ne veux pas être absorbé par la technologie.
Vos 3 priorités aujourd’hui?
En premier, ma famille. Ensuite, mon travail. Notamment créer des savoirs.
Votre devise?
«La force est dans le nouveau, dans l’inconnu.» Autrement dit, apprendre à penser «out of the box».
Votre rêve de bonheur?
Avec ma famille, j’ai trouvé. Je suis heureux.
Comment aimeriez-vous mourir?
Très vite.
Quelle forme de spiritualité vous inspire?
Honnêtement, il n’y a pas beaucoup de place pour cela dans la médecine universitaire. Mais les églises, ça me calme.