Questions personnelles
Petit, vous vouliez être…?
J’ai d’abord voulu être vétérinaire. Puis j’ai changé d’avis, et dès 16 ans, j’ai su que je voulais faire de la recherche biomédicale.
Votre livre de chevet?
Je suis une grande lectrice. Actuellement, je lis un livre d’Alexander McCall Smith, qui fait partie d’une série sur une femme détective au Botswana. C’est un auteur très positif, c’est bon pour le moral.
Le film qui vous accompagne?
Peut-être Out of Africa.
Un ou une artiste qui vous inspire?
Gauguin. Je pense surtout à ses scènes sous les Tropiques, très paisibles.
La ville de vos rêves?
S’il fallait en choisir une, peut-être Paris, où j’ai passé trois ans. Mais je n’aime pas trop la ville, je préfère la campagne.
Un lieu, un jardin secret où vous aimez vous ressourcer?
La montagne.
La fleur que vous aimez?
Le lys.
Un animal-totem?
La tortue. Pour sa lenteur, sa carapace.
Quel don souhaiteriez-vous posséder?
Une grande facilité de contact. Je suis quelqu’un d’assez réservé.
Et si vous aviez un superpouvoir?
Mettre fin à l’injustice, abolir la pauvreté.
Vos héros/héroïnes dans l’Histoire?
Marie Curie.
Et si vous étiez un personnage de fiction?
Pippi Langstrumpf – ou «Fifi brin d’acier» en français. Elle est courageuse, rigolote, très extravertie…
Technophile, technophobe?
Plutôt –phobe. Je me suis enfin mise au smartphone, sur l’insistance de mes enfants!
Vos 3 priorités aujourd’hui?
Que tout se passe bien pour mes deux fils, qui ont 16 et 18 ans. Maintenir une bonne relation avec mon mari. Bien coacher les jeunes talents.
Votre devise?
Je n’ai pas de devise. Mais dans les périodes difficiles, je repense à ce que disait un de mes collègues: «Augen zu und durch!» On serre les dents et on y va !
Votre rêve de bonheur?
Une vie paisible proche de la nature, avec suffisamment de livres à lire.
Comment aimeriez-vous mourir?
De façon soudaine et inattendue.
Quelle forme de spiritualité vous inspire?
Aucune. J’ai envie de dire malheureusement, parce que c’est à l’évidence une ressource pour beaucoup de gens.