Questions personnelles
Petit(e), vous vouliez être…?
Enfant, je voulais être astronaute puis, à l’adolescence, ambassadeur. Mon intérêt pour la médecine est venu plus tard.
Votre livre de chevet?
Le petit prince, de Saint-Exupéry.
La musique que vous aimez ?
J’aime danser, je dirais donc les musiques latines. Dans un autre registre, je citerais aussi Cesária Évora.
Un ou une artiste qui vous inspire?
Rodin.
La ville de vos rêves?
Une ville sans exclusion, simple à vivre, où il fait bon se promener.
Êtes-vous plutôt salé ou sucré?
Un peu trop sucré !
La qualité que vous appréciez le plus chez les autres?
L’ouverture, la disponibilité ; c’est-à-dire prendre le temps de s’écouter, de se sourire, de se dire bonjour.
Votre principal défaut?
Je suis très flexible, et j’ai tendance à demander la même chose à mes collaborateurs ; cela peut être une force, mais cela peut aussi mettre le système sous tension.
La fleur que vous aimez?
J’aime toutes les fleurs.
Si vous étiez un animal?
Un oiseau.
Avez-vous un dada, un hobby?
Flâner, rêvasser, j’en ai besoin pour être créatif. Et danser!
Quel don souhaiteriez-vous posséder?
Peut-être la téléportation?
Votre héros, votre héroïne dans l’Histoire? Et dans la fiction?
Le petit prince, parce qu’il est curieux.
Une personnalité actuelle qui vous inspire?
Greta Thunberg.
Si vous aviez une machine à remonter le temps, à quelle époque iriez-vous?
Une période où il y a de l’égalité, du dialogue.
Avez-vous un slogan, une devise personnelle?
“Whatever you think, think the opposite.”
Comment aimeriez-vous mourir?
Je pense à deux citations: «Il faut vivre comme si nous étions éternels», de Maurois. «Vis comme si tu devais mourir demain», de Gandhi. Il faut rester dans le mouvement, être en paix avec ce que nous faisons.
Quelle forme de spiritualité vous inspire?
Je citerais deux valeurs: l’ouverture, la gentillesse.
La découverte la plus importante dans l’histoire de l’Humanité?
L’éducation universelle et gratuite.
Une cause pour laquelle vous être prêt(e) à vous battre?
Dans ma position de médecin, pour le décloisonnement: que nous fonctionnions moins en silos, que nous fassions des ponts pour répondre aux besoins complexes.