Questions personnelles
Petite, vous vouliez être…?
J’ai été un temps tentée par l’architecture, jusqu’à mes premiers stages en labo, qui ont créé le déclic pour la biologie.
Votre livre de chevet?
Je suis en train de lire le dernier ouvrage de Roberto Saviano, Piranhas.
Le film qui vous accompagne?
Récemment, j’ai été touchée par Wonder.
Un ou une artiste qui vous inspire?
Beethoven, un compositeur révolutionnaire dont la musique reste moderne encore aujourd’hui.
La ville de vos rêves?
La ville de mes rêves – qui n’existe pas, par définition – serait avant tout écologique, accueillante. Mais je choisis New York, pour son énergie, et parce que j’y ai habité quatre ans.
Un lieu, un jardin secret où vous aimez vous ressourcer?
La montagne.
La fleur que vous aimez?
Je n’ai pas de préférence arrêtée. Mais cela serait une fleur au dessin simple, je n’aime pas les fleurs trop compliquées.
Un animal-totem?
Je ne peux pas parler d’animal-totem, mais quand je vois mon chat, je me dis que cela doit être une vie agréable, à la fois indépendante et confortable.
Quel don souhaiteriez-vous posséder?
Pouvoir entrer plus facilement en contact. Je suis quelqu’un de plutôt réservé.
Et si vous aviez un superpouvoir?
Pouvoir résoudre les conflits.
Vos héros/héroïnes dans l’Histoire?
Marie Curie. C’est peut-être attendu, mais il est difficile de répondre autrement à cette question en étant femme et scientifique.
Et si vous étiez un personnage de fiction?
Aucune idée, ce n’est pas une question qui m’inspire.
Technophile, technophobe?
Plutôt technophobe, mais en restant tout de même curieuse, attentive aux nouveautés technologiques.
Vos 3 priorités aujourd’hui?
Ma famille et mon travail. Avec deux volets pour ce dernier aspect: d’abord maintenir une recherche de haut niveau, ensuite aider à lancer la carrière des personnes qui se sont formées dans mon labo.
Votre devise?
Je n’en ai pas, mais si j’en avais une, elle parlerait probablement d’intégrité.
Votre rêve de bonheur?
Un dimanche matin en famille.
Comment aimeriez-vous mourir?
Comme disait ma grand-mère: j’aimerais mourir jeune… le plus tard possible.
Quelle forme de spiritualité vous inspire?
J’évoquerai la Nature, sa beauté et les questionnements qu’elle suscite, sur le comment et le pourquoi des choses.