Une transition énergétique et écologique ne se fera pas sans une transition vers une mobilité à basse empreinte environnementale. En Suisse, 38% de l’énergie finale est consommée par les transports, qui sont ainsi responsables d’un tiers des émissions nationales de gaz à effet de serre.
La promotion des formes de mobilités dites "actives" (vélo, marche) constitue ainsi un levier important pour lutter contre le dérèglement climatique, l’extraction de ressources, la préservation des habitats naturels et diminuer les pollutions atmosphériques. Ces formes de mobilité apportent qui plus est de nombreux bénéfices en termes de santé et de bien-être pour les usagers et la population générale.