Le Baccalauréat universitaire en sciences sociales offre une formation solide pour la compréhension et l'analyse des phénomènes sociaux et culturels. Le cursus vise une large interdisciplinarité mettant la lumière tant sur le fonctionnement général des sociétés que sur leur diversité.
Le cursus d'études en sciences sociales réunit des enseignements dans quatre disciplines principales: l'anthropologie culturelle et sociale, la sociologie, la politique sociale et la psychologie sociale.
Les études dans ce domaine permettent l'acquisition des outils réflexifs et méthodologiques nécessaires pour comprendre les environnements sociaux dans lesquels vivent les individus, et pour analyser leurs comportements en relation avec les conditions de vie sociales (politiques, économiques, culturelles).
Organisateur |
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Adresse |
Faculté des sciences sociales et politiques |
Contact |
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Grade décerné |
Baccalauréat universitaire en sciences sociales |
Crédits ECTS |
180 |
Durée |
6 semestres |
Langue d'enseignement |
Français |
Délai d'inscription |
30 avril |
A l'UNIL, les Masters suivants sont ouverts sans conditions aux titulaires du Bachelor en sciences sociales:
Les études à la Faculté des sciences sociales et politiques offrent des plans d’études avec de grandes possibilités d’ouverture. C’est pourquoi les titulaires d’un grade en sciences sociales exercent des activités variées et se retrouvent dans de nombreux secteurs professionnels.
À l’exception de quelques domaines spécialisés qui exigent des diplômes d’une filière en particulier, le contenu de ces activités n’est pas forcément en lien direct avec la discipline étudiée.
Les perspectives professionnelles dépendent en partie du Master choisi.
L’Office fédéral de la statistique (OFS) réalise tous les deux ans une enquête sur la situation professionnelle des diplômé·e·s, un an après la fin de leurs études. Consultez en ligne les résultats concernant les diplômé·e·s en sciences sociales:
Sur la situation professionnelle des diplômé·e·s des universités suisses
Résultats de l’enquête concernant spécifiquement les diplômé·e·s de l’UNIL
« J’ai pris des cours sur diverses thématiques afin de préciser mes intérêts, notamment plusieurs en études de genre. La filière de sciences sociales permet de prendre plein de directions différentes, que cela soit dans les ressources humaines, la gestion de projet, le journalisme, etc. »
Après le gymnase, j’ai pris une année sabbatique, durant laquelle j’ai découvert ma vocation et me suis inscrite en sciences sociales pour la rentrée suivante. Je suis très satisfaite de ce choix! La première année est très intense, avec beaucoup de lectures. Cela dit, on se rend vite compte que ce que tout le monde dit est vrai: non, il n’y a pas besoin d’absolument tout lire. Il y a des choses qui ont déjà été bien assez développées durant les cours, des textes qu’on peut se répartir entre ami·e·s, etc. Après il ne faut pas tomber dans l’extrême inverse et ne plus rien lire ! J’ai pris des cours sur diverses thématiques afin de préciser mes intérêts, notamment plusieurs en études de genre. La filière de sciences sociales permet de prendre plein de directions différentes, que cela soit dans les ressources humaines, la gestion de projet, le journalisme, etc.
Je viens de Neuchâtel et fais les trajets tous les jours. En plus de cela, je travaille dans un magasin et fais du sport. Il est donc tout à fait possible d’avoir du temps libre à côté de ses études. C’est d’ailleurs nécessaire ! Typiquement, en première j’ai passé beaucoup de temps devant mon ordinateur, et me rends maintenant compte que j’aurais pu aller faire d’autre choses, comme du sport ou voir des ami·e·s, et accomplir la même quantité de travail en moins de temps en étant plus efficace! C’est une question d’organisation, mais c’est surtout quelque chose qu’on développe au fil des semestres, au fur et à mesure qu’on développe une meilleure compréhension de notre manière de travailler et de nos besoins. La première année est souvent un moment d’exploration, et il est important de rester indulgent·e envers soi-même. En arrivant à l’Université, cela peut faire un peu peur de devoir faire son horaire, comprendre le système informatique, etc., mais en réalité on s’adapte très vite et on est bien entouré·e. Je conseille vivement de suivre les tutorats proposés par notre association d’étudiant·e·s: c’est rassurant, motivant et plein de bonnes astuces ! Les enseignant·e·s sont aussi très à l’écoute et font tout pour que cela se passe bien.
L’Université est vraiment un environnement propice à faire de super rencontres. Ça peut être impressionnant au début quand on débarque, mais il faut se souvenir qu’au final on est toutes et tous dans le même bateau. Il y a une bonne ambiance dans les amphis et la plupart des gens sont à l’aise pour poser des questions (et toutes les questions sont les bienvenues !). Afin de développer sa vie sociale, il y a plein d’événements mis sur pied par les associations (d’ailleurs, rejoindre une association est aussi un excellent moyen de faire des rencontres), mais aussi un bar étudiant, des cours de sport, etc. C’est un environnement très accueillant, plein de diversité et d’indulgence. En parlant de diversité, il y a de nombreuses possibilités de faire des échanges universitaires. Parfois il faut un certificat de langue, mais l’Université propose des cours de langues. La conseillère est aussi très gentille et aidante. Il y a vraiment plein d’opportunités sur le campus dont on peut profiter!
Partir en échange universitaire est une expérience unique et très enrichissante, à condition de bien la préparer. La première chose à retenir est qu’il faut s’y prendre bien à l’avance pour débuter les démarches. Par exemple, si vous visez de partir en 3ème année de bachelor, il vous faut au plus tard commencer vos démarches au début de votre 2ème année.
Sous réserve de modifications. Seuls les textes réglementaires font foi.
Dernière mise à jour: 7 août 2024