Tout d'abord, il est préférable de contacter la ou le destinataire de la traduction légalisée (université dans laquelle vous souhaitez vous inscrire, etc.) pour savoir quel type de légalisation sera reconnu. Certaines institutions souhaitent que la traduction soit reconnue par l'ambassade du pays ayant délivré le diplôme.
Dans le Canton de Vaud, il n'y a pas de légalisation des traductions à proprement parler, mais une légalisation des signatures: la préfecture valide la signature de la ou du notaire qui valide la signature de la traductrice ou du traducteur. En général les universités étrangères se contentent de ce tampon officiel.
D'autres cantons, comme par exemple Genève et Neuchâtel, ont un système de traductrices et traducteurs-juré·e·s. Il s'agit de traducteurs·trices assermenté·e·s qui obtiennent lors de leur assermentation le tampon permettant de légaliser les traductions.
Il est tout à fait possible de faire légaliser un document vaudois dans un autre canton.
La marche à suivre est comme suit:
Les Cantons de Genève et Neuchâtel ont un système de traducteurs et traductrices et traducteurs-jurés.