La consommation d’énergie thermique et électrique consommée pour l’exploitation des bâtiments représente 24% des émissions de CO2 eq. de l’UNIL ainsi que 18% de son impact sur la biodiversité globale (en 2019). Les besoins thermiques dépendent essentiellement de la qualité de l’enveloppe des bâtiments ainsi que de la possibilité d’effectuer des réglages thermiques centralisés. Les besoins électriques sont liés à l’éclairage, à la ventilation et aux pompes à chaleur.
Repenser l’attribution des surfaces déjà bâties et en densifier l’usage représente une excellente solution pour éviter de devoir construire de nouveaux bâtiments dont les impacts environnementaux seraient considérables.