La mobilité pendulaire des membres de la communauté universitaire est responsable de 15% des émissions de CO2 eq. de l'UNIL, ainsi que de 14% de son impact sur la biodiversité globale (en 2019). La mobilité en transport individuel motorisé (TIM) de la communauté universitaire est également responsable d'une part de la pollution et du trafic dans l'agglomération.
La mobilité pendulaire a également un impact sur la biodiversité locale, notamment en raison de l'artificialisation des sols du campus dont 20% de la surface est dédiée aux routes et parkings.